Quatorzième location chez Hors-Circuits : "Inugami" de Masato Harada. Masato Harada ? J'en ai déjà parlé sur MMIY (Cf. Post du 04/09/2003). Je venais alors de voir "Bounce KoGirls", un film sur les "écolières" japonaises à L'Etrange Festival. Dans ce même Festival, "Inugami" a été projeté. Je ne l'ai pas vu... Comme quoi, il n'est jamais trop tard !
"Inugami" est un film bordélique. Le scénario est digne d'un roman gothique ("Le château d'Otrante" d'Horace Walpole, par exemple) : on y trouve des intrigues familiales, des rebondissements, du fantastique... Le tout bien ficelé et bien emmêlé (Il n'est pas forcément aisé de tout bien comprendre). On peut aussi dire... "Inugami" est un film fantastique (Pour son côté "Ring"). "Inugami" est un film poétique (Pour son côté esthétique). "Inugami" est une histoire d'amour (Mais ce serait réducteur)... "Inugami" est un film japonais (Quoi ?). Il n'est pas facile de le ranger dans une, et une seule, catégorie. Pour Moi, "Inugami" c'est une tragédie grecque ("Oedipe" n'est pas loin)... Le poids de la tradition familiale, Takanao, le chef de famille, dans le rôle du Roi. Ses soeurs. Ses frères. Leur descendance qui souhaite remettre en cause le "Système". Il y aussi les villageois dans le rôle du choeur... Le Maire dans celle de la figure mythique. L'histoire qui ne peut finir que dans le sang et les larmes... Tragédie grecque dans la campagne japonaise.
"Inugami" est un film à tiroirs. Il faut, à mon avis, le voir deux ou trois fois avant d'en comprendre toutes les subtilités... D'autant plus, qu'à moins de parler japonais, vous ne pourrez le voir qu'en version originale sous-titrée anglais.
A propos de "Inugami", vous pouvez aussi lire CECI (Cette critique contient des images et des Spoilers ! You've been warned !).
Who's paying attention ? It's Halloween... God damned ! Things will go bump in the night... Je n'ai jamais fêté Halloween car, pour Moi, cela n'a pas de sens... Il parait que c'est une fête européenne qui remonte à la nuit des temps. Joli discours mercantile... Comme le Père Noël ? Relooké rouge et blanc comme une cannette de Coca-Cola... Récupération. Propagande... Sortez vos grands et sooooo beautiful discours.
Discours. Interdiction... Censure. L'Oncle Sam (Enfin CCBill) a encore frappé. Aux USA, s'il est permis de faire de la pornographie, il n'est pas permis de faire de la pornographie Gore. Burning Angel l'a appris à ses dépends. Lisez l'article... Et, si cela vous intéresse, je vous propose de voir le Trailer de "Re-Penetrator" ICI !
Même pas MORT(e) ! La Femme Fatale vit encore. La Femme Fatale c'est un gars, Punk, poète, indien peut-être (?), qui joue de la guitare dans le Métro... Si vous êtes parisien, vous l'avez sûrement croisé. Moi je le vois... Tous les trois ans... Régulièrement. Et Fuck ! Me dire que les "poètes urbains" peuvent survivre au 21ème Siècle dégueulasse OGM nique ta race et j'te marche sur la gueule connard... Ca me rassure. Quelques grammes de finesse dans un monde de brutes, dit-on ? Pour une fois, on (Cet illustre inconnu) a raison.
Dans le genre fin, je vous conseille le dernier LP de Osama McDonald + Jon Benet Milosevic + George W. McVeigh + Saddam Disney... Autrement dit Jello Biafra et les Melvins. Mon achat du soir et du bonheur pour les oreilles.
2. Le Guest de la Part 1 (Vendredi 12/11/2004) du Festival Lollipop Records n'est autre que Dimi Dero Inc. ! Pass à 18 € pour les deux soirs en vente chez Sonic Machine* (143, Rue Saint-Maur - 75011 Paris)... Sinon, c'est 11 € par soir. Et, au cas où, sachez que Dimi Dero Inc. est en concert au Glaz'Art le Jeudi 25/11/2004 (+ Wok + Sheeloves). 8 €.
3. Si vous ne savez pas quoi faire le 28/11/2004 vers 17h00, vous pouvez aller voir les bons vieux Oi Polloi + Ratwaster au CICP (21 ter, Rue Voltaire - 75011 Paris). 5 € (Et la bière n'est pas chère !).
4. Tokyo Sex Destruction (Leur dernier album "Black noise is the new sound !" est putain d'dansant !) est en concert le Mardi 07/12/2004 au Glaz'Art (+ Legendary Tigerman + Bamboo Kids). 14 €.
5. Il va falloir penser au Festival Nova Express (La Psychotronic Nova Express Review) qui aura lieu le 15/12/2004 au Nouveau casino avec les Cowboys From Outerspace + Hawaii Samuraï + Holy Curse (Brand NEW blend ! Giddy up ! Taste it ! It's gonna kick some ass !).
* : pourquoi faut-il acheter ta place chez Sonic Machine ? Parce que tu fais une bonne action et qu'en plus il n'y a pas de frais de location. Et puis, aller chez des disquaires indépendants, c'est bien !
Il faudrait retourner à L'1TiMe. Parler de Moi... Vous avez noté que je mets toujours (Ou presque ?) un grand "M" à Moi. Mon Ego s'exprime... Sur MMIY, vous êtes chez Moi et, si cela ne vous plait pas, je vous "BIP !"... Et encore ! Ce serait vous faire honneur. Stop. Dingue ce que je suis violent quand je me lâche. Une claque pour le p'tit con (Moi !)... Merci Madame (Yes, Mistress ?).
Retourner à l'1TiMe. Ca veut dire parler des trucs importants... Ceux qui collent au foie et au coeur. De l'intestinal, du gros colon qui fait mal (Et Yasser Arafat vient d'arriver en France. Direction l'hôpital Percy de Clamart... P'tain, le seul qui tient toujours la route, c'est Fidel Castro. Pas de doute... Etre communiste, ça conserve !). L'1TiMe... L'art de déclarer, sur tous les tons, que je suis une SOUS-MERDE et que c'est très bien comme cela (T'en crois pas un mot, dis ?)... Intelligence éponge. Jouer les vampires et SUCER le cerveau de l'autre... Bien le POMPER (Goulûment ?). Bien AVALER... Digérer. Recracher... Passer pour un Cador ! C'est dég' !
(Post à terminer...)
C'était la Saint Narcisse. Bonne fête Wilfried !
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Une toute ch'tite Preview de la dernière Update de No Fauxxx... Meet Vini !
Treizième location chez Hors-Cicuits. Treizième. Treize... Comme Vendredi 13 ou Halloween ! Le film s'appelle "Rote Sonne" ("Soleil Rouge" en allemand... Rien à voir avec le "Soleil Rouge" de Terence Young avec Alain Delon et le fantastique Toshiro Mifune). "Rote Sonne" est un film allemand tourné en 1970... Et ça se voit ! Esthétique 70's... Peu de dialogues et presque pas de bande-son (Ca nous change des blockbusters US !)... Silence... Cela me fait penser à du Godard, à ce genre de cinéma "intellectuel"... Oui, un film de Godard avec une trame digne d'Austin Powers : de (Jolies ?) filles courtes vêtues ont décidé de tuer tous leurs amants... Evidemment... Un "ex (Bellâtre, looser, glandeur... Macho Man !)" se pointe... Je vous laisse imaginer la suite... Facile ! Un film qui, en 2004, est devenu kitsch, drôle... Je ne suis pas sûr qu'il le fût à l'origine...
Joli bonus sur ce DVD : les commentaires de Rudolf Thome (Le réalisateur) et de Reiner Langhans. 87' de commentaires ! Problème... Ces commentaires, comme tous les autres bonus, ne sont pas sous-titrés. Frustrant pour quelqu'un qui, comme Moi, ne comprend rien à l'allemand.
Sur le même thème, on (Je) préférera "Faster, Pussycat ! Kill ! Kill !".
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Réflexion en passant... Discuter (Echanger des idées... VERITABLEMENT échanger), c'est peut-être l'un des derniers trucs intimes que l'on peut faire sans préservatif. Et si le café était la Backroom du futur ? Et la bière un lubrifiant ? Et les alcooliques des échangistes...
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Vox Populi Vox Dei (Penchez-vous là-dessus). La voix du peuple est divine. Principe con... P'tit con (Oui ? C'est moi...) ! Je VOUS entends. Ecrire. Ecrire. Ecrire... C'est ce que je fais, là, très précisément. Devant VOUS, en live, je déblatère... Un mot puis l'autre. Rien de construit. Rien de concret. Une pyramide VIDE (Désespérément ?). Peste ! Tu n'es qu'une petite peste... Hier soir, je l'ai vu ton...
Oui, LUI. Ruisselant. Sueur et foutre. Evidemment, tout devient sexuel... Car là sont les vrais pulsions. Douleur et plaisir. Je pourrais bavasser, VOUS donner mon point de vue sur le Monde (Et le reste de l'Univers) mais je m'abstiens car je ne suis ni philosophe ni politicien. Même pas journaliste... Ou alors journaliste du temps qui passe. Journaliste de chez Moi. Mon Monde... Ma tête et ma bite.
Non, je fais dans la prose, le rose... Comme un slam sur papier. Le flow, les mots... Le truc qui ne s'arrête pas. Moi, j'appelle cela de l'écriture automatique. Faire confiance à la forme. Le fond s'adapte. Manier la phrase courte et éviter les subjonctifs... Règle d'Or.
Calendrier à poil. Les poils, il en parle (- 14), il les montre (- 15) et je trouve cela bien. Toi aussi, tu les montres et je t'Aime plus que bien. Il y a des jours comme cela. Des jours Love. Qui puent le jus de cactus et le miel si doux... The Moon is made of cheese. Everybody knows that (Mais on le sait mieux maintenant... Surtout le Jean) !
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- Vendredi 12/11/2004 et Samedi 13/11/2004 au Nouveau Casino, Lollipop Records fait son Festival. Part 1 (Vendredi) : The Briefs + Neurotic Swingers + Guest. Part 2 (Samedi) : Petit Vodo + Jerry Spider Gang + The Hatepinks. Nous sommes la Haine Rose !
- Mercredi 17/11/2004 au Nouveau Casino : The Soundtrack Of Our Lives + The Parisians + DJs (Un concert qui me fait penser à Virginie Despentes 'cause Pete Doherty !). Soirée Gloria. Aftershow au Petit Garage (61, Rue Jean-Pierre Timbaud - 75011 Paris) jusqu'à 2h00 du matin.
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Marquer la soirée d'hier d'une Pierre Blanche (Tiens ! Voilà deux prénoms...). Je t'Aime ! Hips ! Et j'ai un beau slip vert.
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Début de journée pas très Rock'n'Roll... J'allume la TV (Pour faire du vélo d'appartement). M6. Un clip d'Alain Chamfort... Très inspiré du "Subterranean Homesick Blues" de Bob Dylan (Comme l'avoue Alain Chamfort). Tourné en une heure... En arrière-plan, Patrick Eudeline (Crédibilité Rock ?). Estampillé "Coup de coeur M6"... Etonnant car, dixit le clip, Alain Chamfort a perdu sa maison de disque... La chanson s'appelle "Les yeux de Laura" et son dernier album "Le Plaisir". C'est bientôt Noël ! Idée cadeau... Je zappe. Euronews (Diffusé sur France 3). J'apprends la mort de John Peel. Pas glop ! Quel fan de rock digne de ce nom n'a pas, au moins, une John Peel's Session dans sa discothèque ?
Hier soir, à la sortie du Métro, j'ai vu le mot "Enfer" tagué sur l'affiche ci-dessus... Bref, Pink TV, la chaîne gay en régie chez TF1 (C'est-à-dire que TF1 vend les espaces publicitaires de Pink TV... "Ce que nous vendons à Coca-Cola, c'est du temps de cerveau disponible"), et, si j'ai bien compris, tous les gays ont été condamnés (Par certaines personnes) à rejoindre le second cercle de l'Enfer de Dante, celui de la luxure... Vive l'intolérance !
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Retour sur "Putain"... Un livre de Nelly Arcan. Une pièce de (Proposée par ?) la compagnie In Ex. Mise en scène de Marjorie Burger-Chassignet... Et surtout, Julie Trannoy sur scène (Et responsable de l'adaptation du texte ?).
Julie Trannoy... Sa brassière et ses pantalons roses. Julie Trannoy et son corps d'anorexique. Julie Trannoy... J'ai pensé à une Lolita ayant poussée comme ça... Pof ! Corps de liane. Danseuse ? Fragile... Grande tige qu'habite une âme de rebelle ? Julie Trannoy (Dans le rôle de la "Putain") c'est aussi un masque : de grands yeux, un sourire crispé (Qui me fait penser à celui de Choi Min-Shik dans "Old Boy"... Et qui veut dire "Je t'aime" ? Ou "Aime-moi" ?). Une belle incarnation.
J'ai acheté "Putain", le livre, il y a deux ans... Un peu par hasard. Je l'ai feuilleté. Je ne l'ai pas lu. Pas envie... La pièce me donne envie de le lire. Depuis quelques jours, le livre est dans mon sac à dos. Il m'attend. Est-ce aussi ça le "double effet Trannoy" ?
Coincée entre le conte de fée dont elle a toujours rêvé et la violence de la vie qu’elle s’est choisie, une jeune femme raconte l’amour et la haine de soi avec une morbidité enfantine.
Voilà. La pièce c'est exactement ça (J'ai copiée cette phrase sur Célia Bleue). Je ne sais pas pourquoi mais... J'ai du mal à parler de "Putain". Ce qui suit est un sentiment. Une suite de mots sans queue(s) ni tête(s)... Clients anonymes qui ne sont queue des bites... Des ventres. Une émotion brute. Si vous voulez du raffiné, du beau... Du propre, lisez CECI et regardez le cliché ci-dessous :
Texte con (Edité vers 20h30).
Oui... Morbidité enfantine... Morbidité adolescente anorexie obsession du corps obsession tout court obsédantes obsessions les chiffres doivent être impairs... Etre seule MÊME surtout dans les bras (AU BOUT DE LA QUEUE) d'un HOMME... Un trois cinq sept neuf onze treize... DES MILLIERS D'HOMME(S) 1000 2000 3000 et 1 ! IMPAIR ! IMpair... Un père ? Oui... Une mère aussi... Ils ne font RIEN ou - Mon Dieu ! - beaucoup trop ? Ils parlent d'elle celle qui n'est plus la soeur morte Cynthia. Conclusion. Pour être aimé(e), il faut être morte ? Je suis elle Cynthia... (Se) Détruire. Dépravation... Réalisation... Etre ? Réduire ce corps (Le faire tout petit petit petit...) En faire un produit - Marchandise ? - asocial (Putasserie !), étéicos al ed tiafrap fitagén. REGARDEZ-MOI ! Je suis votre fantasme... Je suis LA PLUS BELLE ! LA PLUS BELLE !!!!!
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Ce post, c'est du pur copinage... Sachez que les Beach Bones sont en concert (Leur premier concert ?) le Mercredi 03/11/2004 vers 19h00 au Politburo (25, Rue du Roi de Sicile – 75004 Paris). Les Beach Bones c'est un trio (Une fille, deux garçons... Trois possibilités ?). Ils se définissent de la façon suivante : "Du bon Rock'n'Roll brut de décoffrage, la meilleure K7 pour l'autoradio de la Chevrolet, les meilleurs morceaux pour le BBQ du samedi soir... Les Beach Bones, c'est toute la plage dans votre saloon !". What ? Ah... Un concert !
Pour ceux qui auraient oublié, je vous rappelle que No Means No est en concert au Nouveau Casino le Mardi 02/11/2004. Alors... Les Beach Bones en "after", ça s'rait pas mal... Don't you think ?
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Cela fait deux fois qu'en regardant les statistiques de MMIY (Les fameuses statistiques ! Ce truc limite honteux qui nous prouve, à nous autres pauvres Blogeurs, la queue entre jambes ou la chatte en berne, que nous ne sommes pas tout à fait seuls au monde. Et vive la dépression !), je vois apparaître l'URL de Liability, un Webzine, un truc, qui parle de musique. Et, comme, il y a, sur ce site (Dans les Forums ?), un lien vers chez Moi, je fais un lien vers chez Eux. CQFD. C'est fait... Après deux minutes de surf, je dirais que Liability est un site bon enfant, estampillé Rock Indépendant, qui à le mérite d'exister. Un bon point de départ pour un surf à tendance musicale ? Ride the Cyber Wave ?
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Fini ! Elle aura été plus vite que Moi. Il faut dire que je prends mon temps. Page 161. J'ai bien aimé le chapitre 57 (Et non pas 50 !). Technique éprouvée... Simple et efFicace. Le chapitre 60 comme une métamorphose, un changement de perspective.
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Post obscur (Vous avez le droit de ne pas le comprendre). Lundi. Page 117... Le contrat va-t'il être "signé" ? Depuis hier, la nature du livre a changée... L'héroïne, que j'imaginais trentenaire (Me serais-je identifié ?), s'avère être une cinquantenaire. Ca change pas mal de choses... Son corps, son joli cul, il faut que je les imagine autrement.
En 70 pages (Hier, j'en étais à la page 45), j'ai eu le temps de découvrir l'héroïne... Assister à sa rencontre entre elle et la Domina. Deux choses qui me font tiquer. Le point de vue de Chris (C'est le "surnom" de l'héroïne) sur le monde (Tel qu'il est révélé par la Partie II - Les lettres. Un point de vue pas très surprenant ?) et puis cette propension à se masturber, à utiliser son vibromasseur, à tout bout de champ. Voilà quelque chose qui m'étonne... Je n'arrête pas de lire dans des livres "érotiques" et sur les sites US que je fréquente que "Waouh ! Je me masturbe très régulièrement, j'adore ça, c'est cool !". L'onanisme est un sujet de conversation "commun" (Est-ce que c'était bien ou pas ? Les différentes techniques. Les différents accessoires...). Presque l'équivalent d'un "Ca va ? (Qui ne l'oublions pas, signifie : "Est-ce que tu vas bien à la selle ? Est-ce que tu chies droit ?")". Bref... Chez certaines femmes, la masturbation semble fréquente. Or, dans mon entourage (En France), on en parle peu et, si on parle, c'est pour dire "Non ! Je ne le fais jamais !". Alors... Qui se fout de ma gueule ? Les américaines ou les françaises ? Est-ce un truc culturel ? En tout cas... C'est bien un questionnement de mec ça (Dis-je en me grattant, très élégamment, l'entrejambe) !
Retour au livre. EfFectivement, il se lit vite. A peine 24h00 et j'en suis déjà à la moitié... Sans me forcer. Et vous ?
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Dimanche. Page 45. Pour l'instant, je dirais "Roman lesbien et SM. Très matérialiste. L'héroïne va-t'elle se débarrasser de cette gangue matérialiste... Et découvrir des plaisirs, des objets, plus spirituels ?"... La transcendance par le fantasme ? Réalisation du Moi ? To be continued (Ca se lit assez bien, assez vite). Et vous Miss F ?
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Je suis sûr de l'avoir vu ! Il y a un concert de Pusse à Paris fin Octobre ou fin Novembre (Aux Trois Frères ?). Bon. Je vais continuer mes recherches... En entendant, sachez que Pusse est en concert :
- Du Jeudi 28/10/2004 au Samedi 30/10/2004 au Valseuses (1, Rue de la Coudraie – 22300 Lannion). - Jeudi 04/11/2004 aux Valseuses. - Dimanche 07/11/2005 au Violon Dingue (Nantes). - Dimanche 14/11/2004 au Dirty Dancing (Derrière le chapiteau du Cirque Electrique - 75018 Paris) + Zea + Stanley Kubi + Flytrap. C'est entre 1 € et 6 € (Le prix se joue aux dés, mon enfant !). - Lundi 15/11/2004 aux Valseuses. - Vendredi 28/01/2005... Aux Valseuses (Info à vérifier parce que j'ai trouvé plein de choses contradictoires sur plein de sites différents) !
Bon allez... Je confirme (Merci les Zingueurs !), Pusse est en concert le Dimanche 24/10/2004 (Ce soir ?) aux Trois Frères (14, Rue Léon – 75018 Paris). Sur le Website, j'ai aussi vu plusieurs concerts de Nosfell... Par exemple, le Vendredi 29/10/2004 à la Guinguette Pirate.
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Nouvelles d'un monde Alternatif et Pornographique... Premièrement. J'ai retrouvé la trace de Suzannah Breslin, The Invisble Cowgirl. Il ne s'agit plus d'un Blog (The Invisible Cowgirl's Blog – RIP) mais d'un Website (Youpi ?). Deuxièmement. Un peu de publicité pour Sinn, jeune brésilienne (Je crois ?), Altporn Model aux USA. Son Website c'est Beautiful Sinners et c'est gratuit. Vous y trouverez, non pas des photographies, mais des Visions. Et une petite bannière pour finir...
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J'ai aussi fait une petite Update du côté de My First Time (Là où je stocke mes toutes premières photos... L'histoire de mon oeil ?). Depuis hier soir, vous pouvez voir quatre photos prises dans la salle de bain. Heureux ? Je le savais.
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Une petite soirée de Quadragénaires... Back in the 60's & 70's. C'était hier soir à La Maroquinerie. Le Gloria Festival. Oui... Il est de plus en plus rare que, dans une salle de concert, je fasse partie des "Jeunes (C'est-à-dire ? Teenager ?)".
Vers 19h20, tout s'annonçait mal. La salle était fermée (Problèmes techniques ? Retard ?). Le bar ne pouvait pas servir de bière (Désolé ! On n'a pas de monnaie !). The Curse of La Maroquinerie (Deux concerts ratés en moins d'une semaine) allait-elle frapper ? Non ! Après une trentaine de minutes d'attente, tout semble rentrer dans l'ordre... Descendre dans la salle. Boire une bière. Attendre le premier groupe.
Hush Puppies. Seul groupe français invité par le Gloria Festival, ils conjuguent garage rock débraillé et psychédélisme late 60's. C'est le flyer qui le dit ! Effectivement... Leur premier morceau m'a fait penser au Rolling Stones période "Their Satanic Majesty's Request". Bonne référence... Et puis ? Et puis c'est tout. Je n'ai pas réussi à rentrer dans le trip Hush Puppies. A un moment j'y ai cru. Une bonne intro... Et le chanteur qui crie "Arrête !". Là, je me dis : "C'est bon ! Le p'tit gars s'énerve... Problème avec le public ? Get some action..." et puis... Non. Ce n'est que le début d'une chanson. Il faudra attendre les derniers morceaux pour que je trouve cela un brin intéressant... Dans ce groupe, j'ai bien aimé le guitariste... Par contre, le bassiste ! My God ! Je ne pouvais pas le regarder sans éclater de rire ! Il joue de la basse comme Julio Iglesias doit faire l'Amour. Sérieux et kitsch "Sens mes dessous de bras, Chérie ! Heureuse ?". Suivant !
Nic Armstrong. Ce petit gars sent l'Angleterre à plein nez (Ou alors c'est très bien imité). Cela m'a fait penser au Kinks... Ou au Monkeys (La ça tue !) pour l'allure je m'en foutiste et débile du groupe sur certains morceaux. Une allure/attitude bien agréable. Nonsense ? Dandysme ? Humour anglais... A un moment, je me suis dit que ces quatre-là auraient pu jouer les Hobbits dans "Lord of the Rings". Sérieusement... Ils avaient la bonne coupe de cheveux, le regard suffisamment espiègle (La PREUVE). Un vrai petit moment de bonheur même si toutes les compositions n'étaient pas bonnes (Je me suis fait chier sur certains des morceaux "lents"). Je pense acheter l'album et le faire écouter à ma mère... Je suis sûr qu'elle va aimer. Un son très 60's, enlevé et romantique (?).
The Barracudas. "Surf Punk" pour les Quadras... Oui. C'est exactement ça. Un moment de bonheur qui commence avec la mise en place du groupe... Thunder Telecaster, Rickenbaker... J'aime ces noms de guitares. Pour moi, cela sonne tout de suite "Surf". Jérémy Gluck au chant, Robin Wills à la guitare... Les titres s'enchaînent : "Summer Fun", "Rendez-vous"... Arrivée de Chris Wilson (Ex Flamin' Groovies. Notez-le !)... L'ambiance monte... Je suis au premier rang. La moyenne d'âge doit avoisiner les quarante ans. Go surf ! C'est beau de voir des Quadras heureux... Et puis, c'est con mais j'aime bien les groupes de "Vieux" parce que pour oser monter sur scène et balancer ce genre de sauce (Sans pour autant se faire des couilles en or ?), il faut avoir une grosse envie... L'envie d'être heureux et de le faire savoir. "Codeine", "Surfer Joe" (Des Surfaris)... Ca déferle. Et pour finir "I Can't Pretend" et "1965". Tout cela sent la bonne humeur... Bon OK. Il ne faut pas exagérer... Il n'y a pas de PoGo(s) d'Enfer ou de copulations hystériques... Non. Mais j'ai comme l'impression que tout le monde (Autour de moi) à la banane. C'est à mon avis dû (En grande partie), à Jérémy Gluck qui est un Front Man selon mon coeur, déconnant, militant (Un Front Man d'époque ? On n'en fait plus des comme ça ?)... L'heure des rappels a sonné... Et là (Surprise !), Roy Loney (Ex Flamin' Groovies) entre en scène (Pour ceux que cela intéresse, il est en concert à 15h00, aujourd'hui, à La Maroquinerie)... Roy Loney + Chris Wilson. C'est la Story des Flamin' Groovies qui se déroule sous nos yeux! Ils chantent "Teenage Head", "Slow Death"... Ce n'est plus un concert des Barracudas mais un concert des Flamin' Groovies ! Waouh... Du bonheur. Comme je l'ai lu sur Sefronia (Website musical) :
Réécouter les Flamin' Groovies aujourd'hui, c'est aussi et surtout s'offrir le luxe de pouvoir encore emmerder ses voisins, ses parents ou ses enfants en le jouant en boucle, à volume maximum. Ca vous rappelle quelque chose ? On est là pour quoi déjà ?
En sortant, j'ai entendu une fille (20 ? 30 ans ?) dire (Citation de mémoire) :
Voir des Quadras chanter "Teenage Head", je n'ai pas compris... J'ai trouvé ça pathétique.
Ah oui ? Si les Quadras chantent encore "Teenage Head", c'est peut-être parce qu'aujourd'hui les gens de moins vingt piges, trop formatés ("J'ai la panoplie StarAc keupon et j'en suis fier !"), n'ont plus les couilles (La volonté) de le faire ? Ce n'est pas (Simplement) pour se donner l'illusion d'être "Jeunes"... Et puis, après tout, who cares ? Du moment qu'il y a du plaisir !
En vrac... Que cette journée est futile ! Que cette journée est sexuelle ! Pleine de tensions. Bite tendue. La sève monte. Histoire de bêtes. Histoire de chiens... Bestialité. Demain, "La Laisse". Echange France-Québec. Miss F... Qu'en pensez-vous ? Quelles sensations ?
Ecouter Señor Coconut reprendre "Smoke On The Water" ou "Radioactivity"... En live sur Arte. C'était hier soir... Tout cela en mangeant des gâteaux. C'est une certaine forme de bonheur. Happy !
Et puis "La Puta". Une image qui, à elle seule, résume tout plein de choses. Merci. J'y pense... Il faut que je vous parle de "Putain".... Pièce de théâtre, adaptation du texte de Nelly Arcan, que j'ai vue hier soir... Laissez-moi le temps. Il faut que je digère tout cela ou (Mieux !) courez voir la pièce ! Elle se joue au Théâtre de Nesles (8, Rue de Nesles – 75006 Paris), ce soir et demain soir, à 21h00.
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"La Voie du Samouraï, c'est la Mort". Je l'ai lu dans le "Hagakure"... Ce matin, dans "Baby Cart 3 – Dans la Terre de l'Ombre", j'ai lu/vu : "La Voie du Samouraï, c'est vivre avec la Mort". Nuance subtile... Qui dois-je croire ? J'enquête.
Google. On trouve un certain nombre de liens vers "Ghost Dog", le film de Jim Jarmusch. C'est un peu facile. On trouve aussi ce LIEN. Ca fait tout de suite plus sérieux.
Là, je me suis arrêté de taper (Sur le clavier. Pas sur mon chien... Parce que je n'ai pas de chien). J'ai un peu travaillé. Me revoilà... Je décide de piquer une petite colère 'cause, depuis deux jours, Wanadoo fait des siennes et m'empêche de publier ce que je veux (Ce blog) quand je veux (Maintenant !). Pas cool.
Revenons à des choses sérieuses... Infos concerts. Le Mardi 02/11/2004 (Le jour où je vais voir No Means No et où certaines se font tatouer des trucs pas croyables. Publicité : the best Tattoo Artist in Paris is Yann ! MoFo !). Le Mardi 02/11/2004 donc... Les Demolition Doll Rods + Cool Kleps + The Scientists sont en concert à La Maroquinerie. C'est à 20h00. C'est 16 € (+ Frais). Vous vous en voudriez de manquer ça ? Non ? Demolition Doll Rods. It's from Detroit and it's sooooo sexy !
Note : à 11h45, j'ai enfin pu publier ce que je voulais. Merci qui ?
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CORRECTION. Vendredi 22/10/2004. 10h30. Je ne le fais jamais... Mais, il y a (Faut ?) toujours une exception à la règle. Je vais suivre vos conseils, vos suggestions (Oui ! Les vôtres !). Je vais corriger le post ci-après et appliquer des règles "typographiquement correctes". C'est à dire :
1. Pas de majuscule dans la parenthèse lorsque celle-ci est incluse dans une phrase. 2. En conséquence : si majuscule, la ponctuation est dans la parenthèse.
C'est la première et la dernière fois (Enfin, je crois...) !
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Chronique. Critique. "Divines Grenades" de Nathalie Ours (Ed. La Musardine). En version téléchargeable, ICI.
Il s'agit du quatrième livre de Nathalie Ours. Ses trois ouvrages précédents sont :
- "Pot-Pourri" (en version brochée, aux Ed. Blanche. En version poche, dans la Collection "Lectures amoureuses" aux Ed. La Musardine). - "La Ceinture" (Ed. La Musardine). - "Spirales de Femme" (Ed. du Rocher).
Pieux, tailleur de pierres précieuses (lapidaire), extrêmement religieux (intégriste*), s'est remarié. Sa femme s'appelle Johana et elle a le Diable entre les jambes (un diable que d'aucuns appellent clitoris mais, ça, Pieux ne le sait pas)... Exorcisme. Taille de pierre. Mafia. Voilà pour le "pitch" (Je n'en dirai pas plus !).
L'action se passe en France (pour vous en persuader, cf. "La Ceinture", page 20). Pourtant, dans les premières pages, j'étais persuadé que tout cela se passait dans le Maghreb. Environnement politique actuel oblige. Déformation Made In Medialand... Les intégristes* sont forcément des fils (ou filles...) d'Ismaël ! Un bon "tour" (une volonté ?) de l'auteur... Tout, dans ce livre, est à double sens... D'abord, le nom du narrateur, Pieux, qui signifie aussi bien croyant que pilier ou phallus (faites votre choix)... Pieux façonne les pierres comme il façonne sa femme. Il façonne une alexandrite, une gemme à l'éclat rouge... ou vert. Double. Double. Double.
"Divines Grenades". Roman à clés ? Encore... (Private joke.)
"Divines Grenades". Livre actuel. Roman "rose" sur fond noir (ou le contraire ?). Bouquin de cul... Ce livre m'apparaît comme plus "technique" que les autres romans de Nathalie Ours** (à cause de l'emploi de termes de joaillerie ? D'un vocabulaire de "béni oui oui", d'intégriste* ?). Plus écrit (littéraire ?) peut-être... Il est aussi plus âpre. Rude. Il y a plus de violence (dans les idées et dans les actes)... Aussi excitant que "La Ceinture" (dans un genre légèrement différent... Plus S&M : coups de fouet. "Jeux" de corde. Rapport passionnel à la douleur. Privation...),"Divines Grenades" est le livre de Nathalie Ours qui m'a fait le plus réfléchir (et, symétriquement, le moins ressentir ? Encore que ?). Je l'aime parce que 24 heures après, il me hante encore.
Néanmoins... Je confesse (con & fesse. Quel joli mot !) une tendresse toute particulière pour "Pot-Pourri". Peut-être parce que c'était LE premier. Peut-être parce que c'était l'été. Peut-être... Passons.
Technicité... Précision. Voilà des notions sur lesquelles j'aimerais revenir. Dans les livres de Nathalie Ours les gestes sont précis. Qu'elle traite de la réalisation de pots-pourris, des caractéristiques d'une ceinture de chasteté, des gestes de Monsieur Jean, des gemmes, du "savoir-faire" de Pieux... Dans tous les cas, Nathalie Ours se répand en détails techniques. Précision extrême. Utilisation du jargon... Personnellement, je trouve cela jouissif. Même s'il y a d'autres auteurs aussi "techniques" que Nathalie Ours, il y en a peu chez qui je le remarque, chez qui j'ai comme l'impression que cela fait partie du style.
Sexe interdit. Même si "Pot-Pourri", "La Ceinture" et "Divines Grenades" sont des bouquins de cul (des livres où les scènes de sexe sont explicites. Des bouquins classés, en librairie, dans le rayon "érotique"), il n'y a, dans ces trois livres, que peu ou pas de scènes de sexe "classique" (pénétration vaginale). Vous trouverez des fellations (bien souvent assez violentes, beaucoup plus proches de la pénétration buccale que de la pipe gentiment taillée), des doigts de-ci de-là, quelques sodomies... De jolies masturbations bien (désespérément) solitaires. Pourquoi le sexe "classique", le "faire l'Amour", est-il prohibé dans les écrits de Nathalie Ours ? Elle seule connaît la réponse... M'est avis que c'est parce que les mots, la tension, qui accompagnent les scènes de fellation, de sodomie... s'avèrent beaucoup plus excitants que ceux qui entoureraient une scène d'Amour.
Sur ce... Bonne lecture !
* : dans la critique ci-dessus intégriste signifie intégriste RELIGIEUX. Cela va sans dire mais je trouve que cela va mieux en le disant. Mea Culpa.
** : j'ai lu "Pot-Pourri" et "La Ceinture". Je n'ai pas lu "Spirales de Femme".
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Citons des marques. Deux concerts à La Maroquinerie. Deux concerts réservés sur Billetel (Logiciel FNAC). Deux conneries... Qui dois-je blâmer ? La Maroquinerie ou Billetel ?
Hier soir, il y avait bien un concert de Girls In Hawaii à La Maroquinerie... Mais Sharko n'était pas en première partie. Quand tu viens voir Sharko, c'est con. Résultat : deux billets revendus (Heureusement que le concert était complet. Lucky Me !). Bénéfice net : 1,56 € (Et 1h00 de perdue). Pas si mal... Avant de revendre mes billets, j'ai quand même eu le temps de faire un tour dans la salle et là... Stu-Peur ! Il y a longtemps que je n'avais pas vu un public "normal" (De 20 à 30 ans, propre sur lui, à 95% non tatoué)... Waouh ! Ca fout les jetons ! Ils ont l'air gentils et cons. Tous prêts à s'amuser mais ABSOLUMENT PAS prêts à être dérangés.... Comme engoncés dans leurs certitudes. Vous me direz "Il ne faut pas juger un livre sur sa couverture" ou "P'tain tu fais du délit de sale gueule !". Vous avez tout à fait raison. Je voulais juste vous donner mon sentiment. Un truc glauque...
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Merci Nathalie. Chut... C'est ma façon à moi d'être pudique.
Nathalie... Nathalie Gassel. Nathalie Ours. Nathalie la comédienne (Pas vue depuis un an). Je me sens comme entouré par les Nathalie. Nathalie, comme la chanson de Bécaud (Dont je ne connais pas les paroles. Cette chanson... La référence systématique, le souvenir pénible, pour les Nathalie ?). Je me souviens de Nathalie Mauvais (Je ne sais pas si j'ai le droit de citer son nom ? Partons du principe qu'elle ne lira jamais ce blog et que Toi, lecteur, tu ne la connais pas). Nathalie. Années collège. L'un de mes premiers émois d'adolescents. Premier béguin*... Je me souviens d'un garçon manqué. Vilain petit canard dont la plupart des gens se foutait. Elle n'était pas très belle. Juste émouvante (Elle m'émouvait, me faisait craquer... Ah ! Mon petit coeur d'adolescent !). Et puis ce nom de famille : Mauvais... Il faisait l'objet de pas mal de plaisanteries. Je me souviens avec douceur de toutes ces filles avec lesquelles je ne suis jamais sorti (Avec lesquelles je n'ai, évidemment, jamais couché). En y repensant, aucune d'entre elles n'étaient considérées comme belles (Si ce n'est par Moi. CQFD)... J'ai toujours détesté les canons, les bimbos d'avant le silicone. J'aime les beautés alternatives.
* : quoi que ? En y repensant, je ne sais plus si c'était d'elle ou de sa soeur dont j'étais "épris".
En première partie de (Jon Spencer) Blues Explosion, il y avait The Hunches, un groupe de Portland (Oregon – USA). Bizarre, à priori, je les aurais taxés d'allemands. Le chanteur, Hart, avait l'air d'un artiste, d'un étudiant, berlinois. Un bonhomme tout à l'énergie. Un vrai faux déglingué du ciboulot. Shooté à (Oui mais à quoi ?). Un CloWn... Et Moi, je n'aime pas les cLOwNs. Il en font toujours trop. Oui.... C'était trop. La descente dans la fosse (Pour communiquer avec le public ?) était trop évidente, trop téléphonée... Bref. D'la Rock'n'Roll attitude au rabais (Cheap ?). On applaudit bien fort... Mais, au final, bof.
Par contre certains de leurs morceaux n'étaient pas mal. Leur spectre musical, essentiellement Rock'n'Roll, va de la Pop anglaise un brin noise (Certains morceaux m'ont fait penser à la vague Made In Manchester du début des 90's. Certains citent Jesus & Mary Chain...) au Hardcore bruitiste et gentiment lourdingue (Helmet & consorts ?). Bref... The Hunches est un groupe moderne. Si je n'ai pas trop aimé le chanteur, j'ai bien aimé les musiciens. Un gros faible pour la bassiste dont le balancement (Mouvement de reins d'avant en arrière. YUM ! Saccadé) était tout ce qu'il y a de plus Macho (Et sensuel !). Le batteur arborait un magnifique T-Shirt Stax Records (Un garçon qui a du goût ?). Le guitariste (Tendance survoltée) avait l'air d'un ange.
En résumé. Un bon début... En attendant (Jon Spencer) Blues Explosion.
Il faut le savoir, je n'avais jamais vu (Jon Spencer) Blues Explosion sur scène. D'après la rumeur, (Jon Spencer) Blues Explosion c'est bien mais c'est chiant En gros : "Les morceaux se ressemblent tous et tu te lasses grave". Effectivement... Le show de Blues Explosion m'a paru irréprochable mais pas exceptionnel. Vraiment. Bonne entrée en matière, toutes guitares dehors... Et puis Jon Spencer entame le second morceau. Il chante. Et là ! Bingo ! Le spectre de Lux Interior m'apparaît... Comme une évidence ! Jon Spencer est un croisement entre Lux Interior (Vieux) et Elvis Presley (Jeune). Une version light et policée de ses deux fabuleux aînés. Le concert est d'ores et déjà foutu... Les morceaux de (Jon Spencer) Blues Explosion sont bons mais ils ne me semblent pas assez crades (Vive The Cramps !). Une espèce de Rock Garage, du Blues, arrangé par Burt Bacharach. Quelques envolées Hendrixiennes deci delà. Bref... De courts moments d'exaltations et, dans l'ensemble, un goût de trop peu (Même si vraiment... Oui ! Oui ! Oui ! C'était de qualité !). Je suis sorti vers 22h00. Je n'ai pas vu les rappels (S'il y en a eu ?). Moi aussi, j'ai succombé au syndrome (Jon Spencer) Blues Explosion. Je me suis lassé GRAVE !
Un coup de langue bien râpeux. Profond. Dans le C... Voilà ce qu'on me propose. Pas mal. Violent. Juste ce qu'il faut. That's right... YOU SMELL ! Envie de bouquins ("Fear and Loathing in las Vegas" de Hunter S. Thompson, "Comme si notre amour était une ordure" de Jacques Henric). Une belle rencontre. Nathalie Ours... Vue samedi dernier à La Musardine. Un auteur (Quel est le féminin du mot auteur ?) éminemment sympathique, joliment timide. Pull rouge. Jupe de cuir noir(e). Cheveux blonds. Courts... Elle me rappelle quelqu'un (Ne cherchez pas. Vous ne trouverez pas...). Vieil Amour. Ce matin, j'ai commencé "Divines grenades", son dernier livre (Ed. La Musardine). "Un vrai style, une écriture crue". L'expression n'est pas de moi. Mais oui... Nathalie Ours c'est une VRAIE (Unique. Personnelle... La sienne) écriture. Crue... Et proche. Proximité. Monsieur et Madame Toulemonde... Pas plus... Pas moins dépravés que la plupart d'entre nous. Poussez la porte et Next Door, vous trouverez les héros (Et héroïnes) de Nathalie Ours. Histoire de cul (Le trou ! Il est bien trop p'tit pour passer une bite ! Il s'y connaît ton Monsieur Jean. Page 20. Cherchez !). Sexe interdit. Vie. Des sentiments gris. Par trop normaux... Nathalie Ours s'y entend.
Il est des questions que j'aurais aimer poser à Nathalie Ours mais c'est comme cela. J'ai oublié. Exemples. Qui est le narrateur dans "La ceinture" ? Nathalie, écrivez-vous au stylo ou sur ordinateur ?
Constat. J'ai du mal à parler de Nathalie Ours, de ses livres. Peut-être parce qu'ils me semblent trop... Trop proches de la vie, de ma vie... Non pas de mon histoire mais de certains sentiments salaces (Et pourtant nobles) qui m'animent. Dans les livres de Nathalie Ours, je ne m'identifie pas (Est-ce possible ? Wilfried... Ton nez - Ce truc facial et phallique - s'allonge !). Et pourtant, en tant que critique (Ouh ! Le vilain mot !), je n'arrive pas à prendre la distance nécessaire par rapport aux textes de Madame Ours (C'est marrant ça... Madame Ours. Plaisant ?). Je n'arrive pas à être un simple observateur. Les écrits de Nathalie Ours. Trop ancrés dans la vie... Trop fort pour Moi ? Encore un truc sur lequel il faudra que je revienne. Next.
Piqûre de rappel. Ce matin, je suis passé au Monde du Jeu, le rendez-vous annuel des joueurs de jeux de rôles et de jeux de cartes parisiens (Français ?). Comme ça... Presque par habitude, pour voir des amis (Qui n'étaient pas tous là) et (Re)attraper ce satané virus du jeu... Redépenser des fortunes dans des magasins interlopes où les mots "Fumble", "D20" ou "Uncos" ont un sens... Et puis voilà, bouffée de nostalgie, j'apprends que "Maléfices, le jeu de rôle qui sent le souffre" existe encore (Et toujours ?)... Relancé par le MYTHIQUE (Et je pèse mes mots !) Club Pythagore. Diantre ! Fuck ! Je croyais ce jeu mort et enterré... Un vieux machin dont seuls les rôlistes (Ndla : joueurs de Jeux de Rôle ou JdR) de plus de 30 ans se souviennent. Mais non ! Il y a même de nouveaux suppléments. Le premier s'appelle "Danse Macabre". Et si vous souhaitez le commander, je vous propose de cliquer sur l'image ci-dessous :
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That's Rock'n'Roll Baby ! Retour sur les soirées Motor Psycho... Deux pour le prix d'une ! Vous ne savez pas quoi faire le Mercredi 20 et le Vendredi 22 Octobre 2004 ? Alors... Pourquoi ne pas aller à une soirée Motor Psycho (Vous me direz que le Vendredi, il y a aussi les Barracudas à La Maroquinerie dans le cadre du Festival Gloria. OK ! La choix est dur...) ? N'empêche... Voici les flyers :
xxxxxSinon... Je vous signale (C'est du copinage !) que la Compagnie IN EX (Enfin... Surtout Julie Trannoy) joue "Putain" (Texte extrait du livre de Nelly Arcan publié dans la Coll. Points Seuil) au Théâtre de Nesle jusqu'au 23/10/2004. Plus de renseignement sur Célia Bleue (Post du 12/10/2004). Je n'ai pas encore vu la pièce. Je la vois et on s'en reparle. OK ?
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Hier soir, le concert de Damo Suzuki était annulé. Too bad (Me suis déplacé pour rien !)... Mais, en rentrant à la maison, je suis passé devant Exxxotic Tattoos et j'ai vu ça... That's French and Burlesque !
Vous êtes fan de Star Trek – The Original Series (Celles avec Kirk, Spock, McCoy...) ? Vous ne savez pas quoi faire de vos longues soirées d'hiver ? Le tricot vous intéresse ? Si vous avez répondu OUI à ces trois questions alors... J'ai la solution ! Tricotez un pull (Ou une écharpe) à l'effigie de vos héros préférés ! Voici les Knitting Patterns Star Trek. Rien que du bonheur ! Star Trek, la série qui vous emmène là où personne n'est jamais allé... Aux frontières du ridicule et au-delà !
Tous les goûts sont dans la nature. J'aime savoir que MMIY (Ce blog, ce torchon, que vous êtes en train de lire) peut être, le même jour, sur deux sites différents, qualifié de "Lien alacon inqualifiable" et de "Site loin d'être des plus inintéressants". Au moins, il ne laisse pas tout à fait indifférent ! Je suis heureux.
Et comme, j'ai reçu l'autorisation de celle qui se fait appeler "b_is_4_bruises", je me permets de publier cette jolie photo (Fort gauloise !) signée Carrie Adams.
Une petite précision concernant Carrie Adams. Le site Progirl est une (Je n'ai pas traduit la suite. Désolé !) Queer-centered artists experiment in female erotica for anyone who is interested in creative sex and the knowledge imparted upon those who boldly court the dissolution of self in the pursuit of their own pleasure. All girls portrayed here are engaged in creative-sexual exploration and actively involved in the making of these images.
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SMILE, HONEY !* (Click to see some kinda green and pink thingie !).
*Lesson #7, le Samedi 16/10/2004 (Dans 2 jours !) au Twin's. Je ne suis jamais allé à une soirée "Smile, Honey !*" mais j'ai du chopper à peu près tous les flyers (Ou presque)... Et à chaque fois, je me suis dit : "Waouh ! ca à l'air cool !". Une réaction toute pleine d'à priori(s). L'idée que je m'en fais... Dont acte ! C'est la journée des posts courts.
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Ce week-end, dans le cadre de l'opération "Lire en Fête", la conciergerie (2, Bd du Palais - 75001 Paris... L'ancienne prison !) devient la Palais de la BD. Il y aura plein d'auteurs connus (Et inconnus), des débats et, si vous êtes fan de Thorgal, il y a aussi une exposition Rosinski (Du 11/10/20004 au 07/11/2004). L'opération "Lire en Fête", ça a l'air bien...
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Réflexion du matin. Pourquoi ai-je le droit de baver (Dire des conneries et donner un avis négatif) sur certains spectacles ? Tout simplement parce que je paye ma place... Je n'ai de compte à rendre à personne. Liberté d'expression. Ca ou autre chose... N'empêche que je viens (Encore) de filer 23 € à la Fédération Nationale d'Achat des Cadres histoire d'aller voir (Jon Spencer) Blues Explosion Lundi soir à l'Elysée Montmartre... Sur 23 €, combien reviennent au groupe ? Combien au tourneur ? Et la location de la salle dans tout ça ?
Matinée pleine de ressentiment. Et l'Amour dans tout ça ? Luxure, orgie, sodomie... C'est jeudi !
Post à caractère informatif. Je l'ai déjà crié haut et fort 1000 et 1 fois : "J'aime No Fauxxx !"... J'ai donc décidé de vous tenir (Régulièrement) informé des mises à jour du site. Depuis quelques semaines (Le 17/09/2004 - La dernière fois que je vous ai parlé de No Fauxxx), vous pouvez voir sur No Fauxxx :
Des vidéos (Muette.. Le son c'est pour bientôt !) :
Datura
Trouble
Des choses écrites : "FI[R]ST" de Elaine Miller.
Une série de photos :
Saturnalia in "Devil ducky"... Devil Ducky, you’re the one, you make No Fauxxx so much fun ! Devil ducky, we’re awfully fond of you !
Et, je vous le rappelle, l'inscription sur les Message Boards de No Fauxxx est gratuite. Qu'attendez-vous ?
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Les jours pluvieux, je ne suis pas heureux. Je suis grincheux. Et moi qui pensais être indifférent au temps qu'il fait ! Cruelle déception... Néanmoins, ce midi, j'ai sauvé un ours en peluche Porte Maillot. Et ça... Ca vaut bien une coupe de champ' (Même si je préfère la bière) !
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Pornographie. Jour de pluie... Je vois la vie en gris, je m'expose en sépia. Je m'impose. Cadeau.
Pornographie 047 (Click on the thumbnail to view a larger picture - Moins de 18 ans s'abstenir)
Hic... Bulldozer ? Vous c'naissez Bulldozer ? Hic... Moi... J'l'ai rencontré hier soir à La Cantada où il triomphe depuis... Euh ! Réfléchissons... Hier soir ? Oui, c'est ça. Depuis hier soir (Et tous les lundis vers 20h30 et pendant une trentaine de semaines), vous pouvez voir "Bulldozer", le NOUVEAU (Et vive la nouveauté !) spectacle de Pascal Tourain à La Cantada... Mais qui est Bulldozer ? Bulldozer c'est un garçon svelte, élancé, qui imite à la perfection le sourire de Mona Lisa (C'est bien ce qu'il fallait retenir ? Non ?). Mouais... Bulldozer c'est aussi un gros crado en Marcel blanc (Enfin... Bulldozer n'est pas SI gros que cela et son Marcel n'est pas SI blanc que cela) qui, bien aidé par sa petite famille (Son frère, son pépé et sa mémé), vous donne la banane et des crampes à l'estomac pendant une bonne heure (1h30 ?). Sans déconner, Bulldozer c'est (Parfois... Parce qu'il ne faut pas exagérer non plus) à se pisser dessus*... On reprend. On vous le fait plus descriptif. "Bulldozer", c'est une succession de sketches d'humour trash (Voire pornographique ! Warning : le spectacle est interdit au moins de 12 ans). Bulldozer c'est une vison monde assez "Not Politically Correct"... Un monde où l'on peut fumer si l'on veut (Même s'il est déconseillé de fumer pendant le spectacle pour ménager les cordes vocales du comédien), où l'on peut boire jusqu'à rouler sous la table, où la baise est plutôt rare (Même si on en parle beaucoup)... Bref, le monde de Bulldozer c'est le notre et (Attention ! Poncif !) derrière l'humour et la dégueulasserie du personnage se cache des trucs bien intelligents et bien humains...
Honnêtement, Bulldozer c'est bien (J'éviterai, cependant, d'y amener mes grands parents, des gros coincés du fion ou des homos susceptibles). Et puis, je trouve toujours chez Pascal Tourain ce petit quelque chose qui, Moi, me touche... Dans un sketch où il vous parle du passé de Bulldozer (De sa "transformation". Mais chut... Je ne vous en dirai pas plus)... Ou lorsqu'il évoque l'affiche du spectacle dessinée par Vuillemin (Vous pouvez l'acheter à la sortie du spectacle. C'est 3 €) et son respect pour ce grand buveur de bière qu'est Vuillemin... Moi aussi, j'ai des idoles, des gens que je respecte... Il y en avait même (Je crois ?) quelques uns, hier soir, dans la salle. Par exemple, Reuno, le chanteur de Lofofora... Même si je ne suis pas toujours d'accord, j'apprécie les textes de Lofofora (Il font partie de mon éducation) et puis sur scène, Lofofora c'est du bon, du lourd ! Tout ça pour dire qu'entendre Pascal Tourain dire "Qu'un p'tit gars comme moi soit sur affiche signée Vuillemin c'est plutôt émouvant (Bon D'accord ! La citation n'est pas exacte et, là, j'interprète pas mal...)" cela m'a renvoyé à mon actualité... Actuellement, j'ai l'impression d'être à deux doigts de côtoyer des gens dont je suis "fan" et j'avoue que ça me fout les jetons parce que 1. Passer pour le fan de base (Un peu con !) ce n'est pas très enviable et 2. J'ai peur d'être déçu par mes "idoles" (J'ai déjà écrit un truc comme cela à propos de Virginie Despentes). Stop. On arrête les violons.
Pour finir... Je ne vous l'ai pas dit mais Bulldozer est un cas social, il sort de prison, il a une famille (Même pas roumaine !) à nourrir, il a les couilles pleines... Alors, si'ou plaît, aidez-le ! Allez voir son spectacle !
* : au sens figuré... Quoique ? Je suis sûr que le sens propre (Ou crade... Parce qu'on parle quand même d'urologie là !) ne dérangerait pas Pascal Tourain. Il pourrait même aimer ça l'gamin ! Il faut dire qu'en "tout buveur de bière se cache un amateur d'uro" (Rendons à César ce qui lui appartient... Je crois que c'est Pascal Tourain qui me l'a sortie celle-là ?).
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Superman (Enfin Christopher Reeve) est mort. C'est con mais ça me fait un petit quelque chose.
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Voilà. C'est fait... Hier soir, j'ai vu Le Tigre en concert au Café de la Danse. Sachez-le tout de suite, je n'ai jamais vu de bon concert au Café de la Danse (J'espère que ça va changer... Car je viens de m'inscrire sur leur liste VIP). Donc, hier soir, ce n'était pas très bon... Attention ! Le Tigre a plutôt bien fait son boulot... En tout cas, les filles ont donné très exactement le concert que j'attendais MAIS (Car il y a un gros MAIS !) le public (Gentiment hype, au vu de certains accoutrements "Punk Chic") avait le cul plutôt gelé. Un public de parisiens, bien intégriste (Enfin, Moi, ça me fait penser à de l'intégrisme...), qui a oublié que la musique se vit aussi avec le corps (Mais pas seulement. OK !)... Une bande de pingouins même pas endimanchés. Bref, le Café de la Danse nous promettait "Un Electro Clash Turbo apte à désintégrer tout Dance Floor normalement constitué". Pendant les deux tiers du concert, la promesse n'a pas été tenue. Et pourtant ! Le Tigre a su enchaîner ses titres les plus dansants (Comme Keep on Livin' ou FYR) à grand renfort de clips vidéos et autres chorégraphies ("Chorés" ou "Korés" ?) à la Bioman. Le Tigre ? It's so 80's !
Donc... Pendant une bonne GROSSE moitié de concert, le public ne faisait rien (Ou presque) malgré les appels du groupe : "You're so quiet !". Il a fallu attendre la dernière partie du concert et "What's Ya Take on Cassavetes" pour entendre quelques cris et voir plus d'une vingtaine de pékins danser... Bref, il a fallu attendre la dernière partie du concert pour voir un semblant de show Made In Le Tigre. Le dernier morceau fut "Hot Topic" (Avec, en "fond visuel", un collage composé de bouquins et de disques : le "It Takes a Nation..." de Public Enemy, du Sonic Youth, du Babes In Toyland...). Puis, en rappel (Car il y a quand même eu un rappel !), "I'm So Excited"... Le concert a duré 1h00 (D'après une estimation toute personnelle). C'était la première fois que je voyais Le Tigre. J'y retournerai (Mais p'têt pas dans ces conditions ?).
Hors-Circuits - Location 12 : "Die Jungfrauen Maschine" de Monika Treut. Comme je l'ai dit dans l'un de mes derniers posts, j'ai envie de découvrir le cinéma de Monika Treut. J'aurais aimé louer "Gendernauts" mais le film n'était pas disponible chez Hors-Circuits. Donc... J'ai loué "Die Jungfrauen Maschine" (Ou "Virgin Machine" en anglais).
"Virgin Machine" est un film plus intellectuel que "My Father Is Coming". Il est en noir & blanc et fait immanquablement penser aux films expressionnistes allemands des années 20. L'histoire ? Dorothée, une journaliste allemande, fait une enquête sur "L'Amour Romantique (Un truc très allemand ? Souffrances du jeune Werther et autres... ?)". Elle finira par suivre les traces de sa mère et partira pour San Francisco où, à l'instar de Dorothy dans "The Wizard of Oz", elle vivra ne multiples aventures... Toutes plus Queer les unes que les autres ! Je ne vous dirais pas si, elle aussi, finit par conclure "There's no place like home".
Si je voulais être simple, je dirais que "Virgin Machine" c'est l'histoire d'une renaissance (Un Coming Out)... Un film assez proche d'une cure psychanalytique (Avec tous les fantasmes et toutes les obsessions qui vont bien).
Monika Treut semble être l'amie d'un certain nombre de "Personnalités (Des gens que j'aime et dont je respecte le travail)" : Annie Sprinkle, Fakir Musafar & Cléo Dubois (Je ne dirai jamais assez combien j'ai été impressionné par "The Pain Game"), Susie Bright... Ces "Personnalités" jouent dans les films de Monika Treut et y exposent (Parfois) leurs théories. C'est le cas de Susie "Sexpert" Bright dans "The Virgin Machine" : elle fait un très joli cours sur les dildos et nous présente le "Susie" (Court... Mais large !). On retrouve aussi Fakir Musafar & Cléo Dubois dans le rôle des voisins étranges.
Je me permets d'insister sur la bande originale de "Virgin Machine" que j'ai beaucoup aimé avec notamment des morceaux de Laibach et de Pearl Harbour (Une charmante chanteuse de Rock'n'Roll / Garage que je ne connaissais pas. Son titre "Voodoo Voodoo" est vraiment bien !).
Petite déception... 80% des bonus du DVD "Virgin Machine" (Distribué par K Films) sont les mêmes que ceux du DVD "My Father Is Coming". Heureusement, il y a les quatre "Outtakes" dont un (Autre) fantastique cours sur les dildos par Susie Bright pour Good Vibes (1986 ?). De la même manière, j'ai déploré la qualité du sous-titrage (Bien souvent difficile à lire !).
Conclusion (Histoire d'être parfaitement clair) : "Virgin Machine" n'est pas un bon film mais un film gentil et intéressant. Je ne le conseillerais pas pour "Réussir une soirée entre ami(e)s"... Sauf si vos amies sont toutes des lesbiennes un brin intellectuelles !
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Off. En PAUSE ( ). Même le cul (Gratuit) ne m'excite pas. Pas envie... Ce matin, j'ai surfé sur Internet. De site en site. Et, au détour d'un blog, je suis tombé sur la Planète Vassilia. C'est du cul et c'est gratuit. Images... Récits (Dignes d'un sexe shop ?). Quel est votre fantasme ? Urologie ? Sodomie ? Transexuelles ? Filles à lunettes ? Vous le trouverez sur Planète Vassilia. Ca semble trash ("Gaulois" diront certains)... Et pourtant il y a, dans certains textes, comme du RESPECT (Tiens ! J'écris de plus en plus souvent en lettres capitales). J'ai trouvé cela étonnant... Evidemment, ce n'est pas du cul de qualité (Glossy Paper & Co). Et alors ? C'est fait avec passion... Et c'est ça qui compte.
Planète Vassilia se définit également comme "le site des sexualités alternatives, des fantaisies sexuelles et de la liberté de nos corps". C'est peut-être cela qui, inconsciemment, m'a plu ? Queer... Et si, pour tout comprendre, vous lisiez l'Edith Orial ?
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Rien à voir mais j'ai appris que Lydia Lunch devrait être en concert fin novembre (Le 21/11/2004 ?) au Glaz'Art. On s'en reparle. Lydia Lunch est une déesse.
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Hors-Circuits - Location 11 : "My Father Is Coming" de Monika Treut (Produit par Hyena Films et distribué, en France, par K Films*). Monika Treut... C'est (C'était ?), pour moi, une réalisatrice qui fait des films entre BDSM et Transexualité. Une cinéaste allemande, indépendante, Fetish (Et non pas fétichiste) et féministe. Sur le boîtier du DVD, on peut lire les noms de la divine Annie Sprinkle et du non moins respectable Fakir Musafar (Deux personnages déjà évoqués sur MMIY). Je m'attendais donc à un film relativement trash traitant, entre autres, de l'underground américain (New Yorkais ?). Et bien non... "My Father Is Coming" est un très gentil film qui aurait presque du mal à déranger vos grands-parents. Un film plein de bons sentiments (Ou presque), de gestes amoureux... Comme quoi il ne faut absolument pas se fier à la bande annonce (Disponible dans les bonus du DVD) bien tapageuse et underground. Certains (Qui ont vu le film) me diront qu'on y parle de lesbiennes, de gays, de transexualité (Female to Male) et qu'il y a une petite image BDSM (Une Dominatrice chevauchant un soumis ?)... On y voit même une bite ! Oui... Mais aucun de ces éléments n'est montré de manière choquante. Tout cela m'a semblé fort sympathique !
L'histoire de "My Father Is Coming" est simple. Hans (Alfred Edel), rend visite à Vicky (Shelley Kästner), sa fille. Celle-ci vit à New York dans un milieu assez "underground" (Personnellement, je dirais "citadin". La plupart des capitales occidentales me semblent ressembler au New York de Monika Treut. Cette vie "underground" ne me semble pas si exceptionnelle que cela. Je me trompe peut-être ?). Choc des cultures et des générations... Pour savoir si cela se passe bien (Quid du "vieil allemand" Hans et de la "jeune américaine" Vicky ? De leur relation ?)... Regardez le film !
L'histoire de "My Father Is Coming" est simple mais je ne suis pas sûr que le cinéma de Monika Treut soit si simple que cela. J'ai comme la vague impression qu'il est lourd de symbole... Qu'en regardant le film une deuxième fois (Voire plus !), je n'y découvre pas une foule de détails significatifs. Exemple (Si vous voulez voir "My Father Is Coming", ne lisez pas ce qui suit) : Hans (The Father) est en "transition". Il franchit un pont (Coincé entre deux bâtiments : un vieux et un neuf !). Dans la scène suivante, il rencontre Fakir Musafar... Symbolique ?
Mention spéciale pour les bonus du DVD qui ne sont pas trop mal foutus. On trouve des bandes annonces, des critiques, des biographies... Une interview de Monika Treut (Extraite de "Lavender Limelight" de Marc Maureci). Cela m'a donnné envie de découvrir le cinéma de Monika Treut...
Hans (Et Annie).
Vicky.
* : Attention ! Pop-Ups ! Une rétrospective Monika Treut (En présence de la réalisatrice ?) devrait être organisée lors du prochain FFF (Festival du Film Fétichiste)... Enfin, si le FFF a lieu.
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Jessica est OBSEDéE ! Par son poids, par son bronzage, par son Make-Up... Rien que des trucs très féminins (Sans vouloir jouer les machos ?). Jessica vit une histoire COMPLEXE... Très complexe (Amour ! Amour... Cul !). Jessica is "My Friend the Stripper". Bien souvent... Elle écrit des choses intelligentes. En anglais :
Relationships are nothing because we are all connected whether we want to be or not... Love the one you are with because it is the same exact thing as loving everyone that you are not with. Mathematical equation solved.
En français (La traduction est de Moi) :
Les relations ne sont rien car nous sommes tous liés que nous le voulions ou pas... Aimez celui (Ou celle) avec qui vous êtes car c'est exactement la même chose que d'aimer ceux avec qui vous n'êtes pas. Equation mathématique résolue.
Réfléchissons... Cela veut-il dire que toutes les choses sont égales (Ou équivalentes) ? Que l'Amour étant un sentiment... Qu'importe le sujet de ce sentiment (Celui ou celle que l'on AIME !), c'est avant tout de l'objet (Le sentiment lui-même) dont on est amoureux ? Une sorte de fatalisme BCBG (Ou TTBM). Un truc qui m'irait bien... Moi, le "Je m'en foutiste (BIP !)" patenté. Je ne sais pas mais je sens qu'il y a, dans les propos de Jessica, soit un truc super intelligent, soit une grosse connerie. Les deux solutions me vont bien... Je pose l'équation :
Proposition (1) : AIMER CELUI AVEC QUI L'ON EST.
Proposition (2) : AIMER CEUX AVEC QUI L'ON EST PAS
(1) = (2) Donc (1) - (2) = 0
Les deux sentiments s'annulent... L'être aimé vaut-il autant que le reste de l'Univers (Y compris nous) ? Je ne sais plus quoi penser. Elle est TOUT pour Moi.
AJOUT DU 08/10/2004 AU MATIN (Parce que la nuit porte conseil) : si (1) = (2) alors on doit pouvoir vivre (Ou survivre ?) en aimant UN et UN seul être et en détestant le reste de l'Univers. Cela n'a-t'il pas un (Lointain) rapport avec l'Amour de Dieu... Rentrer dans les ordres, faire partie du clergé régulier ? Vous me direz qu'aimer Dieu c'est aussi aimer nos frères humains quelqu'ils soient. OK. Match nul.
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Ma boîte (Là où je passe 35h00 par semaine en échange d'un salaire) commercialise un "Logiciel de Presse". Chaque support (Le nom barbare que l'on donne à un journal, un magazine...) est codé par un chiffre. Le code de Rock & Folk c'est 1977. Cela ne s'invente pas.
REACTION by MAIL
Anale, oui. Vénale, non. Comme un arrière-goût de bout rouge. Dog street (Vient de dire Tom Waits). Listen to him young girl... He's wise.
Pornographie 046 (Click on the thumbnail to view a larger picture - Moins de 18 ans s'abstenir)
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Blague de potaches. Voilà ce qu'on s'échange entre collègues de bureau... Et, dans les cinq minutes qui suivent, certains veulent partir au Japon. Quelles sont leurs raisons ? Pas les bonnes.
Moment érotique 14 : danser dans la salle de bain sur "Sins of the Father" de Tom Waits. Nus.
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Le Dimanche 10/10/2004, au Café de la Danse, Le Tigre est en concert ! J'y serai !
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A part ça ? RIEN... Si ce n'est (Parlons blog) que j'aime me faire traiter de "naze adoré" par John B. Root. No joke. C'est du premier degré : J'AIME CA ! Au Diable l'indifférence... Et si vous aimez Groland (Et son président), voilà une belle INVITATION. Quant à ceux qui cherchent du boulot et qui se sentent une âme de réalisateur de Film X (Et qui ont les compétences nécessaires), je vous conseille de jetez un oeil là-dessus.
Les sanglots longs des violons de l'automne et blah, blah, blah... Mais encore ? Il y aurait comme du nouveau sur Me, Myself and I (You ?) :
- Et un de plus ! - De quoi ? - Un lien de plus... En haut à gauche de cette page. T'as rien vu ? - Non. - Bon. J'te dis tout. Il y a un nouveau lien qui s'appelle "My First Time". Jusque-là, je me suis toujours trouvé nul en photographie. Et puis... Voilà ! Révolution digitale... Mon AMOUR de photographe s'est mise à la Photographie Numérique et, à force de fréquenter les bons sites (Le Live Journal de Anouck Grrl par exemple...), j'ai décidé de tenter ma chance.... Ce week-end, j'ai pris une petite trentaine de photos à l'instinct ! En voici six (Pas forcément les meilleures mais un échantillon assez représentatif). Ce sont My First Photographies. - Wahoo ! D'accord.
Evidemment, votre avis m'intéresse. Vous pouvez m'envoyer un e-mail. Merci d'avance !
REACTION by MAIL
Et voilà ! Dixième location chez Hors-Circuits : "Surrender Dorothy" de Kevin DiNovis (Written, directed & edited by Kevin DiNovis. Presque un Self-Made Movie !). Un film Low Bugdet en noir et blanc... La jaquette du DVD étant en couleur (Et le propos plutôt moderne), j'étais quasiment persuadé qu'il s'agissait d'un film en couleur (Comme quoi, je ne suis pas du genre à lire 100 et 1 critiques avant d'aller voir un film. En règle générale, une simple phrase, une belle affiche... Et hop ! Je vois le film !). Dans le même genre d'idée, à la lecture du verso du DVD, je pensais avoir affaire à un film dans la lignée des romans de Hubert Selby Jr. Ce n'est pas vraiment le cas... Non, le film m'a fait penser à une pièce de théâtre... Peu d'acteurs, peu de décors (Quasiment pas d'extérieurs)... Low Budget. La psychologie un peu simpliste des deux personnages principaux (Trevor joué par Pete Pryor et Lahn/Dorothy joué par Kevin DiNovis) m'a aussi fait penser au théâtre. Attention ! Psychologie simpliste ne veut pas dire psychologie inintéressante... On a bel et bien affaire à deux "détraqués (Psychotiques ? Névrosés ? Très certainement traumatisés pendant l'enfance)" : Trevor aime les femmes (He isn't a faggot !)... Mais il en a peur (On le voit dès la première scène) ; Lanh/Dorothy est un toxicomane qui, enfant, a été battu par son grand frère (Je crois que la scène où il parle de son enfance à Vicky/Elisabeth Casey définit, à elle seule, la psychologie du personnage). La relation entre les deux personnages constitue la majeure partie (L'unique partie ?) du film... Comme le font certaines espèces animales, Trevor et Lanh vont "s'entraider"... Pour le meilleur et pour le PIRE (Surtout ! Sinon, où serait le ressort dramatique ?). Pour en savoir plus sur l'histoire, je vous conseille la Review by James Berardinelli (En anglais). Bien évidemment, cette Review contient des spoilers (Je vous aurai prévenu !). De la même manière, si vous louez le DVD, évitez de regarder le trailer qui, comme presque tous les trailers Made In USA, dévoile tout le film.
Sinon, sur un plan plus "formel", c'est un film artistique (Je dirais même "arty") avec de très jolis plans et un très joli grain (Parait-il dû à l'emploi d'un film 16 mm... Mais je en suis pas un technicien, alors ?) qui renforce l'intensité dramatique du film et qui font de Trevor un personnage bien inquiétant (Sous ses airs parfaitement débonnaires). Tout ceci est, je pense, dû à Jonathan Kovel (Le directeur de la photographie) dont la biographie est disponible dans les bonus du DVD (Ce qui est plutôt rare pour un directeur de la photographie). Beau travail !
Au final, on peut dire que j'ai bien aimé ce film même si, selon moi, il souffre du côté Low Budget. J'aime à penser qu'avec un peu plus d'argent Kevin DiNovis aurait pu apporter une dimension supplémentaire à ces personnages. Ce film a comme un goût de trop peu... Peut-être est-ce dû à la psychologie simpliste (Dont je parlais plus haut) qui ferme trop de portes, ne laisse pas assez de place à l'imagination (Ou l'intellect ?) du spectateur... Et ceci en dépit de la scène finale... Mais chut !
Etrangement, ce film m'a aussi fait penser à du David Lynch ("Eraserhead", "Blue Velvet"...).
Love Making. I didn't come. Pas d'éjaculation. Tout cela manque de poésie. Retrouver l'inspiration... I need to. Les mots doux. Le canal spermatique. Langage médical. Je te dis les mots tendres, les mots bleus chers à Christophe. Flux. Reflux. La bête à deux dos court aux toilettes. Refuge... Sale et excitant. Ondine. What are little girls made of ? Pisse... Elle sont faites de pisse. Un petit morceau d'humanité.
Ecriture automatique.
Retour à la case départ. Le carré d'origine. Ton pré carré... Celui qu'ensemble nous avons tondu. Depuis, l'herbe pousse... Légèrement bouclée. Pour la sueur rien ne vaut le poil. Protection. Massive. Protection... Contre l'attaque. Chimique et nucléaire. Mes sinus sont aux abois. Tu sens cette odeur ? Quartz. Entre parfum et marée. Ca sent la mer et les embruns... Ca ne sent pas les terrils. Ca ne sent pas la crasse. Le Nord s'éloigne et se fait proche. Il nous faut du bleu. Bleu de méthylène. Côte d'Opale. Tes yeux sont beaux...
Un album insolite et click. Ce lien ne fonctionne pas.
Donnez une fausse information puis la démentir, c'est donner deux informations. Le 13ème Salon du Livre de Cinéma et du DVD... Suite. John B. Root sera-t'il là ? Oui (Mais pas tout à fait sûr ?), selon La Musardine. Non, selon l'intéressé. Bref, tout ce que je peux vous affirmer, c'est que le Dimanche 10/10/2004, à 14h00 aura lieu une "Signature d'Auteurs" sur le thème du Cinéma X. On est bien avancé !
Par contre, le Samedi 16/10/2004, dans le cadre de l'opération "Lire en Fête", à La Musardine (C'est-à-dire, dans la boutique – 122, Rue du Chemin Vert – 75011 Paris), aura lieu une dédicace de Nathalie Ours pour son nouveau livre "Divines Grenades". Je suis justement en train de lire "La Ceinture" de Nathalie Ours... Ca tombe plutôt bien ? J'aime le style de Nathalie Ours. Simple et pourtant littéraire (Fait avec de jolis mots). J'aime ses héros (L'adolescent de "Pot-Pourri", son premier roman) et ses héroïnes (La mère dans "Pot-Pourri", Christiane Seignier dans "La Ceinture"). Ses héros / héroïnes sont des gens simples et tout à fait normaux : la voisine d'en face, Vous ou Moi... Des gens laids. Extraits :
C'est que tu commencé à être passablement usée : pas autant que Mémé Glaize mais quand même (Je tairai ta date de naissance par discrétion mais aussi parce qu'elle ne nous avancerait pas à grand-chose ; il suffit juste d'imaginer tes flétrissures aux endroits stratégiques et tes beaux yeux las les regardant).
Ton ventre bombe ta jupe droite car tu as grossi. Tu ne reconnais pas tes traits (Normal : à chaque fois, tu cherches ceux de ta jeunesse).
Tes seins, à tes trente ans opulents, ont désormais le mamelon en berne. Sous tes cheveux teints ton visage n'est que ruine. Tu enfiles un jogging pour te cajoler l'âme. Dans le four, les tomates farcies frissonnent. Tu n'as pas faim mais il est temps de manger.
Christiane Seignier est une femme solitaire de 40 ou 50 ans. Ses cuisses tremblent comme de la gelée. Et pourtant, elle est sexe... L'héroïne d'un livre de cul. Gloire à Christiane Seignier ?
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Réflexion Queer : ce midi, sur Canal +, j'ai entendu la phrase suivante : "On parle beaucoup de la féminité des hommes et jamais de la virilité (Masculinité ?) des femmes". Je crois que tout est dit... Une femme masculine (Une "camionneuse" ?) ne saurait être considérée comme une "vraie" femme dans notre société. Notre société est con(-ne) ! De la même façon (Et là, on entre dans des considérations plus BDSM), avez-vous remarquez que si un soumis masculin singe bien souvent la femme (La soubrette, la putain...), une Dominatrice féminine ne singe pas l'homme. Au contraire, elle s'ultra-féminise (Corsets, vêtements en latex, talons hauts...). L'homme serait-il une chose sacrée à laquelle on ne touche pas ? Homo Erectus... Connard !
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La prochaine soirée Motor Psycho c'est le Mercredi 20/10/2004 et c'est toujours au 72, Avenue Félix Faure – 75015 Paris. Vous pourrez voir : Dead and the Stuff + The Marshmallow Dykes + The Gee String. Participation : 6 €.
Et dire que Russ Meyer est mort ! A ce propos, il y a une projection de "Faster Pussycat Kill Kill !" le Vendredi 08/10/2004 au Kata Bar (37, Rue Fontaine – 75009 Paris). Is Russ Meyer REALLY dead ?
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Parce que deux personnes ne se connaissant pas m'ont parlé de cette exposition. Parce que je sais (Vaguement) qui sont les dessinatrices par l'intermédiaire d'une troisième personne... J'ai décidé de vous parler de l'exposition de Madame Trash et Madame Gruiikk à La Fourmi. Détails ci-après :
Pour le vernissage, c'est aujourd'hui, dans deux heures... Et, en théorie, j'y suis.
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). Même le cul (Gratuit) ne m'excite pas. Pas envie... Ce matin, j'ai surfé sur Internet. De site en site. Et, au détour d'un blog, je suis tombé sur la Planète Vassilia. C'est du cul et c'est gratuit. Images... Récits (Dignes d'un sexe shop ?). Quel est votre fantasme ? Urologie ? Sodomie ? Transexuelles ? Filles à lunettes ? Vous le trouverez sur Planète Vassilia. Ca semble trash ("Gaulois" diront certains)... Et pourtant il y a, dans certains textes, comme du RESPECT (Tiens ! J'écris de plus en plus souvent en lettres capitales). J'ai trouvé cela étonnant... Evidemment, ce n'est pas du cul de qualité (Glossy Paper & Co). Et alors ? C'est fait avec passion... Et c'est ça qui compte.
