That's the story of my life - Part 1 : il y a quelques jours, j'ai croisé une personne qui a fait ses études dans mon lycée (Qui est aussi celui de Lionel Jospin). Nous avons passé le BAC la même année. Depuis quelques heures, je sais qu'elle s'appelle Frédérique. J'enquête (La connaissais-je ?).
That's the story of my life - Part 2 : dans vingt-quatre heures, je survolerai La Mer Méditerrannée. Direction La Tunisie. Les portes du désert. Comme un souffle d'aventure... Je suis Wilfried d'Arabie !
Retour prévu dans une semaine. En attendant, je vous embrasse (Ou je vous bave sur la joue parce que c'est beaucoup plus sensuel).
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Cette année, j'ai suivi, pas à pas, étape après étape (Et vive le Tour de France ?), la gestation du film de John B. Root : Inkorrekt(e)s. Et bien... Ca y est ! Le film est tourné ! Monté ! Bientôt disponible à la vente (Et, en version Korrekt(e)s, sur Canal +)... En attendant, vous pouvez jouer avec le Site Internet : Inkorrekt(e)s.
Vacances. J'oublie tout. Toi aussi ? Ca tombe bien... 1. 2. 3. Prendre un verre en terrasse. Tu fumes, Chéri (Bibi) ? Dans la rue, un enfant pleure.
Cet après-midi (Un mot masculin ou féminin), j'ai feuilleté un livre sur Leigh Bowery. J'aime beaucoup Leigh Bowery. Il s'agissait du catalogue (?) de l'exposition "Take a Bowery : The Art and (larger than) Life of Leigh Bowery" qui se déroule (En ce moment ?) au Museum of Contemporary Arts (MCA) de Sidney - Australie... Les antipodes, c'est un peu loin. Dommage ! Et si l'exposition venait à Londres ? A suivre...
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Mon corps sur ton corps. Une fille en jupe. Elle se caresse le genou. Encore un midi solitaire à manger des gaufres liégeoises (Une, en vérité). Un café plus tard, j'écris. Pause du midi. Corps sans tête. Headless Torso... J'ai écrit ceci (Cela ?) quelque part. Le mot m'amuse. Fétiche (Ou Fetish). Un autre mot amusant. Piss Fetish ou Piss Christ.
Je ne vais pas bien. That's a joke. Cela s'appelle : FATIGUE (With some FAT in it !). Il ferait mieux de dormir... Au lieu d'aller au cinéma (Voir ça. Et c'était bien !).
Agenda cinéma : L'Etrange Festival - Edition 2004 (La douziéme !) se déroulera du Mercredi 01/09/2004 au Mardi 14/09/2004. C'est toujours au Forum des Images. Qu'on se le dise... Comme d'habitude, je connais peu (Ou pas) les réalisateurs invités. Après consultation de L'Etrange Festival (Le website), je retiendrais Sogo Ishii (Oeuvres ouvertement punks et satyriques) et Derek Jarman (Courts métrages qui s'inspirent de Kenneth Anger)... Côté films, "Horrors of a Deformed Man (Aka Kyofu Kikei Ningen)" de Teruo Ishii (Parce que ce film est inspiré de Edogawa Ranpo) et "Sid and Nancy" de Alex Cox (Parce que ?) m'attirent assez. Voilà.
Tailleur chic, talons hauts, rouge à lèvres... SMS.
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Note personnelle - Begin - Surprise ! Surprise ! Blogger is going WYSIWYG (What You See Is What You Get)... Pratique mais chiant. C'est plus lent (Pour l'instant) et moi j'aime/aimais (?) taper mes posts (Mes billets en français dans le texte) en HTML. HTMLiser vous avez dit ? Yes ! A voir... - End.
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Un joli lieu : Boobsbourg (Un café du côté de Beaubourg - 26, Rue de Montmorency) et une belle expression : "Moi, j'suis droit dans mes bottes" (C'est à dire "Je suis franc, pas d'ambiguïté !"). Le nouveau Ralf König, "Comme des lapins", est sorti. La clim' était trop forte ! Bris de glace... Mots épars.
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Il y a quelques temps, j'ai reçu, par Discobabel interposé, une nouvelle de Benjamine Dorno intitulée "In bed with J.Mascis" (Et dédiée à James Hetfield). Je ne reviendrai pas sur la qualité de l'opus. C'est une jolie nouvelle. Fraîche... Bonbon acidulé et câlin (Un inédit ICI - Cherchez le post du 09/07/2004).
Je reviendrais, par contre, sur l'utilisation de l'italique. Pourquoi, dans un roman, mettre des mots en italique ? Parce que qu'il s'agit d'un dialogue (Raison 1) ? Parce que l'auteur souhaite attirer l'attention du lecteur (Raison 2) ? Parce qu'il y a un sens caché, un code, un truc... (Raison 3) ? Pour une tout autre raison ? Réfléchissons... Dans "In bed with J.Mascis", les mots en italique sont :
- A James Hetfield (Dédicace).
- Allons prendre le petit déje (Dialogue).
- Mais pourquoi tu m'as pas appelé ? (Dialogue).
- Yeah ! je suis content de te rencontrer, chicana (Dialogue).
- Bien (Raison ?).
- On connaît la chanson (Raison ?).
- Moi, je couche pas mal, enfin je veux dire de temps en temps quoi (Dialogue).
- Ah ! (Dialogue. Soupir).
- Poc. Poc poc poc (Bruit).
- Poc poc poc poc (Bruit).
- Le bonheur de la tendresse, le réconfort d'un câlin (Raison ?).
- Rock (Pensée).
- Rock (Pensée).
- OK J.Mascis. Je sais que tu l'aime ta femme (Pensée ou Dialogue ciliaire).
- Chabadabada (Raison ?).
- Embrasse-moi encore une fois (Pensée).
- De retour au monde (Raison ?).
- Absolument (Raison ?).
Et si les mots en italique constituaient un roman dans le roman ? Moi, j'aime bien cette idée... Et je m'excuse auprès de l'auteur (Benjamine Dorno) : les extraits ci-dessus ont été utilisés sans sa permission. Mea Maxima Culpa.
A paraître dans la collection "La carte du tendre" (Rock + Amour), "So doom" de Guillaume Gwardeath et "Kim Fowley" de Philippe Maneuvre. A suivre... (Et bonne chance !).
Je viens de m'en apercevoir... Aujourd'hui, c'est la Saint Donald. Tout le monde s'en fout... Sauf moi. TRAUMATISME. Je pense régulièrement à Donald. Donald Duck. Pas celui de Disney... Non ! Celui que j'ai découvert dans L'Echo des Savanes (?). Un Donald doté d'une bite monstrueuse*... TRAUMATISME. Un truc crade et qui, à l'époque, m'a marqué (La preuve, j'y pense encore !). TRAUMATISME, je vous dis... En souvenir du bon vieux temps : BURN DONALD BURN !
* : si quelqu'un posséde cette image, merci de me l'envoyer. Je vous en serai éternellement reconnaissant.
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Fête Nationale Française. Moi vois. Moi chronique... Mais que s'est-il passé ce Mercredi 14/07/2004 ? Pour nos amis américains, je rappelerais que Wednesday, July, 14th is the French equivalent of Independence Day (July, 4th). You got it ?
Ce Mercredi commence Mardi soir. Et oui, c'est comme ça, tradition (Et lendemain où l'on ne travaille pas... On peut faire la grass' mat' !) oblige. Et toc ! Mardi soir, donc... Petit tour du côté du Quai François Mauriac (Face à la Bibliothèque François Mitterand, à Paris) pour assister au "Bal des Ginettes". Mais qui sont les Ginettes ? Les Ginettes ce sont les Ginettes armées, organisatrices des soirées "Je hais les dimanches" à la Flèche d'Or (Rest In Peace ?) et "tenancières" du Troisième Lieu. Ce Mardi soir, le Batofar accueille les Ginettes... Au programme, concerts, jeux de plage et transats... Le tout suivi d'une soirée Electro. Personnellement, je n'ai vu que deux concerts et demi, je ne suis pas monté sur le taureau mécanique et je ne me suis pas allongé (Ndla : 'tain ! J'suis un warrior moooooa !). Résumé.
En ouverture, j'ai vu le concert des Flaming Pussy, groupe de Rock (Tendance Punk et 70's... Avec orgue à la Austin Powers. Moi j'adore !). Un bon concert... Sympathique. Je n'avais jamais vu les Flaming Pussy. Je ne suis pas certain de les revoir (Se déplacer tout spécialement pour les voir me parait un peu "too much" !). Néanmoins, je conseillerais à tout le monde (Enfin, ceux qui ne les ont pas vues) d'assister (Ne serait-ce qu'une fois), à un concert des Flaming Pussy. Pour moi, le Rock, c'est essentiellement un truc "à l'énergie (High Energy Rock'n'Roll ?)". Et, d'énergie, les Flaming Pussy n'en manquent pas ! Joli jeu de scène, de la hargne et du bonheur... Du sexe aussi. Flaming Pussy ? Sex, Drug and Rock'n'Roll ? Oui Madame ! Précision : les Flaming Pussy, c'est un groupe monté par les filles du Pulp (25, Boulevard Poissonnière – 75002 Paris). Vous pouvez les retrouver régulièrement dans le cadre des soirées "Dans mon garage" (Le Mercredi 21/07/2004, par exemple). Mention spéciale pour les Pom-Pom Girls qui accompagnaient, ce soir, le groupe. Comme Jean-Luc Fonck, moi, j'aime les Filles Pom-Pom !
Une petite balade sur la plage du Batofar et deux bières (4 € pièce, l'arnaque ?) plus tard, Le Maximum Kouette entre en scène... Dois-je vraiment chroniquer ce concert ? Non... Pas vraiment (Because "J'ai déjà chroniqué plusieurs concerts des Kouettes dans ce blog" et puis, là, je n'ai pas la temps. C'est con !). Sachez que ce fût un chouette (Oh ! Le joli adjectif estival !) concert. Que Le Maximum Kouette ne jouait pas devant son public. La joie (L'hystérie ?) mis donc plus de temps que d'habitude à gagner la foule... Le Maximum Kouette joue. Le soleil se couche. Séquence émotion. Ah oui ! C'est con mais par moments Moon (La chanteuse) m'a fait penser à Janis Joplin... Ne me demandez pas pourquoi. Je n'ai mangé que des sucettes.
Et le lendemain ? Et bien, le Mercredi 14/07/2004, j'ai fait vomir un enfant et c'est tout ce que vous saurez. Private Property (Mais il est où le feu d'artifice ?).
D'aucuns m'ont rapporté quelques problèmes d'accès à cette page (Problèmes résolus puisque vous êtes en train de la lire). Je les prie de m'excuser... Tout récemment, un méchant troyen (Trojan en anglais) s'était introduit dans mon ordinateur. Ceci explique peut-être cela...
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Une erreur s'est glissée dans mon avant-dernier post. Hier soir, ce n'était pas la cinquième mais la sixième fois que je voyais "L'Homme Tatoué", spectacle indélébile écrit et interprété par Pascal Tourain (Texte disponible aux Editions du Yunnan).
Ce n'est pas sans une certaine émotion que je vais chroniquer cette dernière représentation de "L'Homme Tatoué". Snif. Snif. Snif. Et oui ! Chaque représentation d'une pièce de théâtre (De bar) est différente : lieu différent, public différent... Emotion différente. Je m'étais habitué à trouver un nouveau détail, à privilégier l'un des aspects du spectacle (Plutôt que l'autre), à parler des gens et de Pascal (Monsieur Tourain ! Permettez-moi de l'appeler Pascal. OK ?)... Bref. Faire un boulot de chroniqueur ne souhaitant pas pondre sempiternellement (Ndla : joli mot !) le même article... Cherchant un nouvel angle (A l'affût tel le chasseur*).
Hier soir donc, Lundi 12/07/2004, nous (Sofi, Mes Parents et Moi) sommes arrivés vers 20h30. D'ordinaire, à cette heure-ci, une petite moitié de L'Ecume-bar est occupée. Hier, la salle était déjà pleine... 60 à 70 personnes étaient réunies (Au final, le spectacle sera joué devant 90 personnes. Estimation : Pascal Tourain). Quelques têtes connues (Des gens du "milieu", tatoués, piercés... Quelques amis), une tête célèbre (Coralie Trinh Thi, ex-actrice X, co-réalisatrice du film "Baise-moi", scénariste, journaliste, écrivain... Touche-à-tout ?)... La foule des grands jours était là.
Pascal est nerveux (?). Il "case" les gens où il peut, boit de l'eau (Incroyable mais vrai !) et décide d'avancer le spectacle d'une petite demi-heure... Est-ce l'habitude ? J'ai l'impression que le début du spectacle est rapide, que Pascal file son texte, ne marque pas les pauses habituelles... Cette impression dure un tiers du spectacle. Petit à petit, Pascal ralenti, attend les réactions du public (Pas forcément plus chaudes qu'à l'ordinaire, malgré le nombre...) et s'installe tout à fait dans la peau de "L'Homme Tatoué" (Vous me direz, cette peau, c'est la sienne. Oui, mais...). On enchaîne... Un brin de vraie fausse improvisation. Quelques instants grandioses (D'autres où je me dis que j'ai déjà vu mieux)... Tout c'est plutôt bien passé. Pas de choses réellement surprenantes. Le spectacle a duré (Un peu) plus longtemps que prévu... Je crois que Pascal s'est amusé. Après tout, cette dernière de "L'Homme Tatoué", c'est un peu son heure de gloire (Ou, je l'espère, l'une des ses nombreuses heures de gloire passées et futures).
Nostalgie. C'est étonnant de penser que ce corps d'homme tatoué, on ne le reverra pas de sitôt, que les rendez-vous du lundi, c'est fini... Allez, on remballe la machine à pleurer et on regarde droit devant : Lundi 11/12/2004 à La Cantada, Pascal nous propose un autre spectacle, des sketchs... A voir ABSOLUMENT (Ndla : OK... Là, je suis un peu démago. Et alors ?) !!!!!
* : je regarde trop la TV le matin (Histoires naturelles).
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Cette journée a très bien démarrée. De 6h10 à 6h50, en faisant du vélo d'appartement, j'ai regardé les 40 premières minutes de Sick : The Life and Death of Bob Flanagan, Supermasochist de Kirby Dick édité par le British Film Institute. J'ai adoré... Je n'aimerais pas être Bob Flanagan mais, par certains côtés, j'aimerais lui ressembler. Je regarde le reste du film et je vous en parle...
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Jeu con (Ce sont les meilleurs !) : "Get your Porn Name (Autrement dit votre nom d'acteur de films à caractère pornographique)". Mon Porn Name est : "Rocco Rider". Ce qui me plait assez puisqu'en français cela signifie "Chevaucheur de Rocco" et que, tant qu'à être un acteur X, autant se faire une star... En l'occurence, Monsieur Rocco Siffredi. Allez Rocco ! J'arrive...
Ce soir, c'est la dernière de "L'Homme Tatoué", spectacle indélébile écrit et interprété par Pascal Tourain (Texte disponible aux Editions du Yunnan). J' y serai. Ce sera la cinquième fois que je vois le spectacle (Et, à chaque fois en compagnie de personnes différentes. Ce soir, je serai en compagnie de mes parents, 56 ans)... J'ai beaucoup parlé de ce spectacle sur MMIY. A juste titre me semble-t'il (?). C'est donc avec une petite larmichette au coin de l'oeil que j'irai, ce soir, à L'Ecume-bar.
Et comme il n'y a pas de hasard, samedi, en surfant sur Internet, je suis tombé sur la photo suivante :
Sauf erreur de ma part, le tatoueur, à gauche, c'est Tin-Tin et le tatoué, à droite, c'est Pascal Tourain (En tout, cas, cette "Tentation de Saint-Antoine" ressemble fort à celle qui illustre le dos de Pascal Tourain). J'en saurai certainement plus ce soir... To be continued.
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Hier. Stop. Pourquoi toujours parler d'hier ? Et si l'on parlait d'aujourd'hui (Qui n'est autre que l'hier de demain) ? Il fait beau, parait-il. Beau et chaud. Chaud et beau. Hier soir, sous la pluie, j'ai chanté. Là, comme ça, en pleine rue. La voix rauque (Pensez Serge Gainsbourg)... J'ai vu New York. New York USA.
English love... I love english. C'est le titre d'une revue à laquelle, enfant, j'étais abonné (Note : mes parents sont formidables). I love to write in english. Vraiment. English is music. Words are dripping from my mouth. Twisting. Making noise. Tic tac toe. Sur internet, j'écris surtout en anglais. Forum Made In USA. Journaux intimes plus ou moins Live(s). English Mistresses. Trucs... L'anglais est poésie. English is poetry. Jack Kerouac déclamant Mexico City Blues. Chorus 1, 2, 3... It's your come. Itself. Appurtenant is future. Welcome to my past.
Sucer une bite. To suck a dick. En bon phallocrate, j'aime ma bite.... Cet organe ridicule, laid, si important. Essentiel (Sens/Essence). Yeaaaaah ! Il y a longtemps que je voulais publier cette image.
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Sur ma gauche, une femme aux cheveux châtains, longs, porte un pull vert. Dans ses bras, un vase. Dans le vase, de grosses fleurs rouges. Il pleut. Je me crois à la campagne... Comme une odeur de terre. Quelques remugles.
Boum. Quand mon coeur fait boum. Une certaine lassitude s'installe. L'impression d'en avoir trop fait. Une chose curieuse et insensée. Il va falloir positiver. Cela risque d'être sexe. Positiv' Sex ? La maladie s'installe. Je m'installe dans la maladie. Déficience.
Entre voyage, assurance et vente d'appartement, le monde (Mon monde) devient complexe. Ces derniers temps, j'ai comme l'impression (Désagréable impression) de devenir responsable, de devenir un homme. Faire face à la société, l'administration et ses sbires (Toujours bien-pensants) fait grandir beaucoup plus sûrement qu'une poussée de poils sur le menton ou les couilles. Pourquoi l'Etre beau, grand (Je parle de grandeur d'âme) et viril que je suis, ne veut-il pas devenir un Homme ? Est-ce un problème personnel ou générationnel ? Réponse (La plus plausible) : les deux mon capitaine. J'ai 30 ans. Je fais donc partie d'une génération d'adulescents élevés à grands coups de Récré A2 (De Vitamine ou de Club Dorothée) et de Hip-Hop Made In Sydney ("A chiper, à chopper")... Platine 45 et Les Enfants du Rock aussi. Stop. Exit le problème générationnel. Reste le problème personnel... Ne pas vouloir être un homme c'est, (Soit) vouloir être un enfant, (Soit) vouloir être une femme. Et là, mon coeur (Mon cerveau) balance. Je me plais, tel Superman, à endosser le costume adapté à la situation. Explication... Une cabine téléphonique et "Hop !", me voici devenu le Wilfried responsable... Une cabine d'essayage et "Toc !", Wilfried /Suzy apparaît, sexy en diable... L'enfant se révèle au détour d'une confiserie. Fort... Très fort. J'aime cette polyvalence. Elle me permet de rester hors norme, à la marge ("Marginal, le mot est jeté"), Queer (J'adore cet anglicisme !). J'assume ma différence (Réelle ou fantasmée), mon côté Freaks. Ma plus grande peur, c'est de perdre cette capacité à changer de forme, de devenir "normal", de devenir adulte... Ma plus grande peur c'est de devenir con* sans m'en apercevoir. Oui mais... Et si devenir con signifiait être heureux ? Fuckin' Happiness !
* : à l'heure actuelle, je suis un petit con assumé. Je le sais... Tiens, à 12h33, sur France Inter, Jacques Dutronc chante "Je suis un homme responsable". Coïncidence ?
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En attendant d'être tout à fait Straight, je vous propose un lien, honteusement piqué chez Bezabel, et parlant de masturbation féminine (Un grand fantasme masculin). J'ajouterais l'adresse du site de Violet Blue : Tiny Nibbles, un site intéressant qui parle de sexe (Et de pornographie) au féminin. Enjoy... Bon surf (C'est de saison) !
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Une soirée (Sur laquelle j'ai 00000 opinion... Mais j'aime assez le(s) flyer(s) où la DJ se met en scène) :
No post today I want to go away (Tribute to Herman's Hermits). Gimme a ticket for an aeroplane (Tribute to The Box Tops)... De préférence pour la Croatie (Ou la Floride). Merci d'avance !
Comme prévu, Michael n'est pas venu... Michael ? Michael Jackson ? Non ! Michael Moore. Hier soir, je suis allé voir "Fahrenheit 9/11" en "Avant-Première Exceptionnelle (En présence du réalisateur)", dixit le flyer distribué par UGC. Mais voilà ! Michael n'est pas venu pour cause de "Le film est distribué aux USA et, compte-tenu du climat politique actuel, de l'importance de l'enjeu (La réélection de Georges W. Bush), Michael Moore a préféré rester aux USA histoire de parler au peuple américain". Dire que je ne m'y attendais pas, ce serait faux... Mais bon, j'aurais bien aimé voir la trogne de l'ami Michael, l'entendre clamer un ridicule "Don't vote Bush !". Mais bon... Rien de tout ça. Too bad ? J'ai (Enfin nous, Sofi, Bezabel et Moi, avons) juste eu le droit à "Fahrenheit 9/11"... Un mauvais film, un mauvais documentaire, un bel instrument de propagande. Ne vous y trompez pas, je suis dans le camp de Michael Moore. Ce que fait cet homme est bien. Mais, là, il est allé un peu trop loin, un peu trop vite... Ne parlons pas du fond (De nombreux sites, de nombreux journaux... L'ont déjà fait. Vive la polémique !). Parlons de la forme. J'avais beaucoup aimé "Bowling for Columbine". Je ne m'étais pas ennuyé une seule seconde. Je peux donc l'avouer... La dernière moitié de "Fahrenheit 9/11" est chiante (Et gentiment larmoyante). Elle manque de rythme. Tout ce qui concerne l'Irak est à la limite du supportable, beaucoup trop guimauve (La mère du soldat US mort en Irak) ou beaucoup trop horrible (Les victimes américaines ou irakiennes. Des images choquantes, à déconseiller aux enfants*). Quant à l'objectivité du documentaire (Le montage, la conduite des interviews...), elle laisse vraiment à désirer et ça, pour un documentaire, c'est chiant. Un documentaire non objectif, cela s'appelle de la propagande... Vous pourriez me dire : "Oui mais pour qu'un documentaire soit intéressant, il faut bien que le documentariste choisisse un angle, au détriment de l'objectivité !". Et moi, je pourrais vous répondre "Ce manque d'objectivité, c'est peut-être ce qui différencie le journaliste, avide de scoop, du documentariste ?". A voir... En tout cas, Michael Moore enfonce le clou un peu fort, il martèle un peu trop son propos... Bref. Michael Moore, il est lourd (Non, je ne parle pas de sa corpulence. OK ?) ! Son film ne méritait vraiment pas la Palme d'Or (Comme l'a dit Michael Moore à Quentin Tarantino lors de la cérémonie de clôture du Festival de Cannes : "Qu'avez-vous fait ?". Oui... Quentin, qu'as-tu fait ? De la politique, peut-être ?).
Dans le cas de "Fahrenheit 9/11", je dirais qu'il ne faut juger ni le film, ni le réalisateur (Car aucun des deux n'en sortirait grandi), il faut juste s'intéresser aux retombées politiques du film, son impact sur la (Les ?) conscience américaine. "Fahrenheit 9/11" est un film important.
* : le film ne semble pas être interdit au moins de 12 ans. C'est étonnant... Surtout lorsque l'on sait ça (Ndla : toujours finir sur une note humoristique).
On Saturday and Sunday (The third and the fourth), I was in London. Erm… J'aime beaucoup Londres. Comme diraient certaines, Londres ressemble à Bruxelles, en plus londonien.
Que dire ? Que mon quartier préféré reste Soho, que j'ai bien aimé le calme de Camden (Quoi que ?), le charme de Covent Garden (La nuit), que je déteste Oxford Street... En fait, je connais assez mal Londres. Je me souviens d'une vague visite lors d'un voyage scolaire. Je me souviens de passages furtifs, en transit... Faux !!!!! Archi... Faux !!!!! Je connais bien Londres, le Londres littéraire, le Londres musical. Je dirais même qu'une grosse part de ma culture est anglaise. Hissez l'Union Jack ! God save the Queen (The facist regime)... London calling ! Ce week-end, à Londres, j'ai fait les soldes. Baby has a new pair of shoes (Encore !).
Et Bruxelles dans tout ça ? Dans un supermarché anglais, j'ai acheté un Blueberry Bagel Made In Belgium. Au Victoria & Albert Museum (Expositions "Vivienne Westwood" et "Bill Brandt"), nous étions suivis par des belges. Mes aventures londoniennes ? To be continued.
C'était un post pour ne rien dire (Et j'aime beaucoup les baked beans).
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Mercredi 07/07/2004 de 20h00 à 22h00, Korozif Studio (The Girlie Shop !) s'offre Denis Grrr... Vernissage de l'exposition "Z.I. Apocalyptic Girrrlz Against Mutafukazs". In God we trust !
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Demain, je serai à Londres. En attendant, un brin d'éducation anglaise. Je suis un Angle. Je suis à l'angle...
- Au coin ! - Yes, Mistress.
Pornographie 036 (Click on the thumbnail to view a larger picture - Moins de 18 ans s'abstenir)
Festival Mo'Fo - Day 2 (Fo') : the MotherFucker has landed ! Dernier jour du festival Mo'Fo pour votre serviteur. Non ! Je n'y serai pas ce soir (Ce soir, à Mains d'oeuvres, vous pourrez voir : Comet Gain + Da Brasilians + El Boy Die + Herman Düne + Jad Fair + Kevin Blechdom + Mahayoni Mundra + The Projects + Troy Von Balthazar)... Retour sur hier soir :
J'ai passé la soirée seul ce qui signifie (Pour ceux qui n'ont pas lu mon post du 01/07/2004), que j'ai passé plus de temps dans la salle de concert (Proprement dite) qu'au bar. Résultat : neuf concerts vus, entendus ou entraperçus sur neuf concerts proposés. Pas mal !
Légende (Parce qu'il en faut une) :
- Entendu : je n'étais pas dans la salle. - Entraperçu : je n'ai vu qu'une partie du concert (En règle générale, parce que cela ne m'a pas plu). - Vu : j'ai vu l'intégralité du concert.
OK ? Alors... Dans l'ordre et en alternance sur les scènes Mo' et Fo', j'ai assisté aux concerts de :
1. The Blow (Vu) : une jeune fille blonde venue d'Olympia fait dans la chansonnette. Urk ! Rien d'exceptionnel (Niveau paroles et musique), des mélodies simples, des histoires de filles, leurs problèmes, l'(A)mour... Petit concert charmant. D'autant plus charmant que Khaela Madrichi est seule sur scène, sans backing band... Si j'ai bien compris, d'ordinaire, elle ne fait que chanter et danser. Là, j'ai (Nous avons) eu le plaisir de la voir jouer de la guitare, claquer des doigts, faire appel au DJ pour lancer une beatbox (B1 et B3, si j'ai bien tout suivi et si cela dit quelque chose à quelqu'un ?), danser Robot Style et parler (Et même en français). This girl somehow touched my heart.
2. Kim (Vu) : tout a commencé par une guitare un brin Surf, ensuite, des morceaux Rock mais pas Rock'n'Roll... Je n'ai pas trop aimé si ce n'est le morceau final, un peu plus enlevé, sur lequel sont apparus en Guest Stars Damo Suzuki (Un cri, un chant, une voix !) et Khaela Madrichi... Dans la salle, la moitié des membres de Pull (Cf. 4.)
3. Kimya Dawson (Entraperçu - 1 chanson + Entendu) : une jeune fille métisse aux jolis tatouages. Cheveux courts et blonds. J'ai bien aimé la voir évoluer backstage (Oui ! Je sais... Juger d'une personne sur son attitude, c'est mal... Méfiez-vous de la première impression, c'est souvent la bonne ! M'enfin, elle avait de jolis dessins d'enfant (?) sur les bras). Elle vient des Open Mic et tient son Live Journal sur Internet. De la chanson intime à la guitare sèche... Agréable. Pendant ce temps là, je buvais une bière. Promis, j'irai lire ses textes. Je suis sûr qu'ils sont intéressants.
4. Pull (Entraperçu - 2 chansons) : sur scène, une moitié des membres de Kim (Cf. 2.) et dans la salle, l'autre moitié. Indie-Rock que je n'ai pas aimé. Next please !
5. All Girl Summer Fun Band (Vu) : des jeunes filles qui m'ont rappelé Shonen Knife en moins bien. Sans plus. De problèmes de son...
Et c'est maintenant que les choses sérieuses commencent.
6. Cyann & Ben (Vu) : pour moi, la première (Vraiment) bonne prestation de la soirée. Post-Rock français... Piano, orgue, synthétiseur, truc, guitare et batterie. De l'ambiance. Tout ce qui m'avait manqué jusque là... C'est con mais j'aurais aimé qu'ils ne chantent pas (Pour moi, la seule faiblesse du groupe). Comme un préambule au bonheur...
7. Damo Suzuki's Network (Vu) : en remplacement de The Fall, le festival Mo'Fo nous a gentiment proposé Damo Suzuki's Network et il a bien fait !!!!! Second chanteur de Can (Souvenez-vous !), embarqué dans un Never Ending Tour... Presque trop beau/bon/jouissif pour être raconté. Autour de Damo Suzuki, un batteur, deux bassistes, deux "éléctroniciens (DAT, machine & Co)", parfois une guitare... Trois morceaux, un concert qui ne semblait pas vouloir s'arrêter (Mais pourquoi l'ont-ils arrêté ? Pour que JR Ewing s'installe ? OK !)... Un concert, l'un des plus longs du festival Mo'Fo. La musique ? Indescriptible... Bruitiste, n'importe quoi, Post-Rock, Krautrock et j'en passe (Vive les étiquettes !)... De la bonne musique. Un point. C'est tout !
Je m'excuse (Sorry ! Sorry ! Sorry !) auprès de tous les groupes qui sont passés après Damo Suzuki's Network mais je n'étais plus en état mental (Ou/et physique) d'apprécier leur prestation. Ma critique s'en ressent (Ne pas la lire ?).
8. C.O.C.O. (Entraperçu - 3 chansons) : une femme (Olivia Ness), un homme (Chris Sutton), alternativement à la basse puis à la batterie. J'ai pensé "Binaire Happy Dancefloor". Du funk bien enlevé, avec le gros son, 80's et basique... De la poudre à canon spéciale dancefloor. Un truc à danser. Youpi ?
9. JR Ewing (Entraperçu - 4 chansons) : les bourrins de la soirée. Rock'n'roll, hardcore... On martyrise les guitares... Ca joue fort. Ca joue vite. Tout à l'énergie. Why not... Mais pas ce soir. JR Ewing : à revoir (Car je reste persuadé qu'un concert de JR Ewing, c'est un bon moment).
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Festival Mo'Fo - Day 1 (Mo') : tout cela se passe à Mains d'Oeuvres. Hier soir, il y avait huit groupes au programme répartis sur deux scènes (Mo' et Fo'). Chaque groupe joue à peu près 30 minutes (En tout cas, ça m'a paru durer une trentaine de minutes à chaque fois... Mais je n'ai pas vraiment la notion du temps ?).
Mo'Fo, concert copain... J'y ai retrouvé des amis et, comme d'habitude (Lorsque je retrouve des amis), je finis toujours par passer plus de temps au bar que dans la salle de concert (Proprement dite). Bref, sur huit concerts, j'en ai réellement, intégralement, vu deux (Shannon Wright + Dragibus). J'en ai vu trois autres en touriste (Married Monk + Wilfried* + Lesser Lewis)... Au final ? Au final, je retiendrai la performance de Shannon Wright, glauque et poignante... J'aime sa façon d'ETRE à la guitare. Une Shannon Wright électrique (Et terriblement organique)... OK. Shannon Wright au piano est belle, dépressive (?), mais derrière elle, je vois trop se profiler des fantômes tels Tom Waits ou Nico (Et parfois Leonard Cohen).... Au final, je signalerai aussi la performance de Wilfried* dont les trois chansons (Celles que j'ai pu entendre) m'ont bien fait rire (Et puis il s'appelle Wilfried* et je m'appelle Wilfried... Il chante Isabelle et Pierre et moi, hier soir, j'étais avec Isabelle et Pierre. Alors ?). Married Monk ? A revoir. Lesser Lewis ? J'étais trop fatigué. Et Dragibus ? Well... Dragibus, c'est de pire en pire : no comment.
Bref. Un concert charmant que je n'ai pas vraiment vécu... Dans un sens, c'est dommage et, en même temps, je trouve que Mains d'Oeuvres tient plus du lieu de rencontre que de la salle de concert. Au final (Bis), un concert très Mains d'Oeuvres ! Et ce soir, je remets ça ! Tribute to K Records (J'ai envie de voir C.O.C.O.) + JR Ewing.
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