F5. Creuse. RAF. Rayez la mention inutile... Je ne raye rien. Journée morte. Je m'ennuie de ne rien faire. Il y deux heures, je citais Technikart : "Pourquoi vous allez aimer vous faire chier au boulot". Ma réponse : "Parce que je peux écrire. Surfer. Lire (En ligne)". A ce propos, j'ai lu Geradon (Merci Miss C !)... Par hasard... Parce qu'il est belge (".be")... Le garçon ne manque pas de charme(s). Ecriture stylée... Pas parfaite... Mais stylée ("Le style, avant tout" dit Katerine, chanteur inutile). J'aime et je suis jaloux... Auto-flagellation. J'aimerais savoir faire des formules ("Le ciel beige craque comme cent tibias" - Geradon - Le 20/03/2004) mais, lorsque j'essaye, je me trouve nul, con, lourd... J'en suis réduit à Sujet/Verbe/Complément. Phrases courtes. Un jour, mon père m'a dit : "Pour être efficace, faire un bon exposé, écrire une belle rédaction, il faut faire des phrases courtes". C'est ce que j'ai fait. Et aujourd'hui, je suis incapable de faire long (Mais je peux faire tortueux, pas clair, stupide. Urk !). Alea Jacta Est.
- Erm... There's a chicken in the attic.
- A what ?
- A chicken ! You know... "Chicken" like in "The Monty Pythons and the Holy Grail".
- Ah ! Un poulet.
De l'Art de bloguer n'importe comment, n'importe nawak... Parce que je suis heureux ! Tout simplement ! Je suis le ventre... Elle est mon coeur... Amoureux... Demain, vais-je vendre mon cul ou faire parler ma tête ? Eh ! Toi ! Tête de couille (C'est pas moi qui l'ai dit)... Bah ! Quitte à faire dans le physique. Topologie d'mon corps.
Depuis quelques jours, j'honnis un accessoire de mode (Rendu populaire par Johnny Hallyday) : la casquette Von Dutch. Une casquette portée par les kaÿras (En français dans le texte ?) chics (C'est à dire "thunées")... La casquette Von Dutch, c'est une pâle copie des casquettes de routiers US ou bien de garagistes Made In Russ Meyer Land. Et je suis persuadé que 90% des personnes qui portent cette casquette ne savent pas qui est Russ Meyer ! Oui... Je suis un intégriste de la mode mais, après tout, chacun fait ce qu'il veut (On vit en démocratie ?)... C'est une question de style.
Ajoût (Rapide) de fin de journée... Pour vous signaler que "Dolorosa Soror" de Florence Dugas fait partie d'une trilogie (La trilogie sadienne de Florence Dugas, la trilogie de la douleur... Tout un programme !). Le volet deux s'appelle "L'Evangile d'Eros". Le volet trois s'appelle "Post-scriptum". Ces trois livres sont édités chez Le Cercle Poche. That's all folks !
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Il y a maintenant quelques jours que je veux faire de la publicité pour le site de Tribal Act (Site en construction). C'est à Tribal Act (161, rue Amelot - 75011 Paris) que j'ai VRAIMENT (Dans ma chair !) découvert le tatouage et le piercing. Et, même si les "pères et mères" fondateurs du magasin sont partis, je garde une certaine tendresse pour Tribal Act.
Ceci m'y a fait penser :
Il tenait à la main une sorte de courte poire au bout de laquelle brillait une aiguille. Il appuya sur un bouton. En trois secondes, l'aiguille fut portée au rouge.
Je me penchai vers l'exécuteur :
- Percez-lui les deux seins, s'il vous plaît. Juste derrière la pointe.
Nathalie eut un mouvement, l'homme hésita, je la giflai doucement. Elle s'immobilisa.
Le nègre chinois lui passa un coton imbibé sur les seins, et les pointes se durcirent, devant nous.
- Ce sera plus facile, dit-il. Surtout, ne bougez pas, mademoiselle.
Il y eut un léger grésillement. Une vague odeur de cochon grillé se mêla aux effluves alcoolisées.
- Si vous voulez, vous pouvez tout de suite installer les anneaux, dit-il.
Je l'avais prévu. Je sortis de mon sac de petits anneaux d'or, d'un centimètre et demi de diamètre à peu près, pour laisser à la pointe la place de s'allonger sans buter sur le métal.
- Passez-les-lui, dis-je.
Les doigts sombres qui tripotaient les seins blancs paraissaient obscènes.
Du bout des doigts, je fis balloter ces nouveaux ornements. Nathalie n'avait pas cessé de me regarder.
- Lève-toi, ordonnai-je. Soulève ta jupe. Qu'est-ce que tu as dessous ? Enlève-moi ces collants, le froid n'est pas une excuse pour te carapaçonner ainsi. Le slip aussi. Bien. Rassieds-toi. Plus en arrière. Mets les cuisses sur les accoudoirs. C'est bien, ma belle. Ma toute belle.
L'homme attendait, gluant d'excitation, les yeux rivés sur le sexe rasé de Nathalie. Je me penchai, écartai les grandes lèvres et dégageai son clitoris, sous lequel je pressai mon doigt :
- Percez-la ici, dis-je.
Il s'agenouilla entre les cuisses ouvertes, son coton d'une main, l'aiguille rouge de l'autre. Nathalie ne cessait pas de me fixer. Soudain, une larme glissa de sa paupière. Elle ne fit pas un geste pour l'essuyer.
- Je ne peux pas passer de l'alcool ici, dit l'homme. Elle va hurler.
- Mais non, dis-je, bien sûr qu'elle ne hurlera pas. N'est-ce pas que tu ne vas pas hurler ?
Elle eut une sorte de spasme, bouche ouverte, comme un poisson, quand le type passa son coton sur les muqueuses délicates. Et un haut-le-corps quand il écarta à son tour les lèvres délicates et pinça entre ses doigts la petite crête de chair.
- Attendez, dis-je.
Je me penchai sur Nathalie et l'embrassai, doucement. Elle garda les yeux ouverts, et saisit entre ses dents ma lèvre inférieure.
- Allez-y, murmurai-je.
Il y eut un grésillement. Nathalie me mordit jusqu'au sang - et j'eus soudain l'impression que c'était le goût de son propre sang que j'avais dans la bouche. Elle avait fermé les yeux, finalement, et de grosses larmes roulaient sur ses joues. Elle lâcha ma lèvre. Le sang-mêlé se releva, un peu congestionné.
- Vous pouvez passer un anneau, dit-il avec un effort.
Je lui en donnai un, un peu plus large que ceux des seins.
- Faites, dis-je.
Il se pencha à nouveau, tatônna plus longtemps.
- Ecarte-toi davantage, lui demandai-je.
Elle obéit. Qu'aurait-elle pu faire d'autre ?
L'anneau d'or brillait d'un éclat incongru dans ce sexe épilé.
* : quoi que ? La séance a lieu chez un bijoutier, pas chez un pierceur professionnel et je n'ai pas suffisament d'expérience en la matière... Je ne peux donc pas vraiment juger de l'acte. Si vous voulez me faire partager votre expérience, m'éclairer, merci de m'écrire à cette adresse e-mail.
Chronique X. Dimanche après-midi, je me suis "maté" la première heure de "Sex Killer", un film X de Stan Lubrick. Le film se compose de quatre scènes de cul (Enfin, je crois ?). J'en ai vu trois (Sebastian Barrio et Delfynn Delage, Oscar Fess et Anastasia Kass, Sebastian Barrio et Ovidie) + trois scènes de "comédie" (Sebastian Barrio drague Delfynn Delage, présente Anastasia Kass à ses potes, emballe - Puis déballe ! - Ovidie et fait des blagues. Du grand art !). Et bien, le X, si l'on ne se branle pas pendant le film (Moi, je faisais du vélo d'appartement... Un autre genre de sport), c'est chiant... Les scènes de comédie sont connes et caricaturales... Sebastian Barrio joue les dragueurs. En trois coups de cuillère à pot, de manière bien salace et machiste ("J'ai une grosse bagnole", "T'as une bonne petite chatte"...), il emballe les filles. C'est assez dégueulasse et (Je l'espère ?) irréaliste. Bref, Sebastian Barrio, c'est une bite, un hardeur... Ce n'est pas un acteur. Idem pour les trois filles (Quoi qu'Anastasia Kass et Ovidie ne parlent pas... Ou presque !). Le seul qui soit un peu juste, émouvant (?), c'est Tony Carrera. Pour le reste, les scènes X (Qui sont, quand même, le principal dans un film de boules) sont longues... Longues et chiantes. Chaque scène dure une vingtaine de minutes : fellation, pénétration recto (Et parfois verso), éjaculation... C'est toujours le même scénario, les filles gardent toutes leurs talons hauts (Pourquoi ? "Sex Killer" n'est pas un film fétichiste... Et, au final, une fille en talons hauts, c'est presque aussi sexy qu'un mec en chaussettes)... Et seule Ovidie utilise un préservatif (Que Sebatian Barrio retire "miraculeusement" pour l'éjaculation finale). Revue de détails :
- Sebastian Barrio et Delfynn Delage : belle performance athlétique. Delfynn Delage est une championne. Par devant, par derrière... Delfynn se dilate joyeusement. Jolis trous, bien grands, bien élastiques... Et puis la rage, elle domine son sujet et moi... J'admire !
- Oscar Fess et Anastasia Kass : la plus émouvante, la plus "naturelle*" des trois scènes. Anastasia Kass est (Peut-être ?) la moins habile des trois actrices, Oscar Fess n'est ni le plus grand (Anastasia, en talons aiguilles, le dépasse de quelques centimètres. Too much !), ni le mieux membré des trois acteurs, mais cela donne une jolie scène. Hormis les positions "Spécial gros plans", les talons aiguilles et le sempiternel "Je me retire histoire de t'éjaculer sur les seins", on pourrait se croire à la maison. En tout cas, cette scène m'a accroché (Je n'ai pas dit "excité").
- Sebastian Barrio et Ovidie : la plus "Safe Sex" des trois scènes. Lors des scènes de fellation/pénétration, Sebastian Barrio utilise un préservatif. Le reste de la scène sent bon la technique, le factice. Je n'y ai vu aucun plaisir (Et l'Amour ?), juste des "Je te branle un peu mais, comme ça ne marche pas, je te refile ta queue... Je me désappe. C'est mieux ? Tu vois ma chatte ? Tu bandes ?" ou des "Bon là, faut que je reste dur !" ou des "On respire. On se retient. Pas éjaculer... Pas maintenant... OK... Ouf ! C'est bon !" et des "Bon, je vais gentiment me branler histoire de mouiller un peu, jouir un peu, rendre la scène moins pénible". Ejaculation finale sans préservatif (Ce sont les limites du Safe Sex... Personnellement, voir un acteur jouir DANS une actrice, DANS un préservatif, voir leur expression, le préservatif plein, leurs rires, cela me plairait bien). Mais j'aime toujours Ovidie...
- Et une dernière scène... Que je n'ai pas eu le courage de voir.
Sinon, "Sex Killer"... Même si le film est en solde (Chez CDiscount comme chez la plupart des revendeurs), moi, je m'attendais à une resucée de "7even" ou "Le retour du Serial Killer qui baise les filles et les tue". Une sorte de série Z version X. Déception ! Moi je retourne voir Vegas In Space (Bon... OK. Je ne l'ai jamais vu... Mais, un jour, je le verrai !).
* : et ce n'est pas parce que cette scène se déroule en pleine nature (Une sorte d'arrière-pays provençal).
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Rentoudu ! Quinze pages et cinq T-Shirts (Et un marché) plus tard, je me suis lu une bande dessinée de Ralf König. Vous ne connaissez pas Ralf König ? Moi non plus... Enfin, il y a un an, je ne le connaissais pas. Je l'ai découvert en Belgique, chez Brüsel. Retour en France... Et c'est en passant, il y a quelques semaines, chez Les mots à la bouche que je (Re)tombe dessus. CQFD... Dans les BD de Ralf König, on croise des gays ("Cuirs", folles de gym, "Folles" tout court...), quelques lesbiennes, des travestis et... Des hétéros. J'aime ce mélange. Il ressemble à la vie... Il ressemble à ma vie. Dans "Les nouveaux mecs 2 : beau bébé", Pierrette (Une "folle") définit l'hétérosexualité masculine de la façon suivante. Les hétéros :
1. Aiment le football. 2. Savent lancer (Rattraper ?) une balle. 3. Savent siffler entre leurs doigts.
Et en option :
4. Aiment les films d'horreur. 5. Vident des boyaux. 6. Se battent de temps en temps.
Personnellement, je n'aime pas le football, je ne sais pas lancer (Correctement) une balle, je ne sais pas siffler entre mes doigts, je n'aime pas les films d'horreur (J'aime les films de série Z mal ficelés... Ridiculement gores), je ne vide pas de boyaux (Sinon les miens), je ne me suis jamais battu. Et merde... Hier soir, Sofi me disait "J'aime la femme qui est en toi !"... C'est clair : je suis un homosexuel déviant (Ndla : qui aime les femmes) ! Un pervers ! Un freaks... Joie ! Bonheur !
Je disais : Ralf König. Les dessins de Ralf König me font penser à Reiser ou Bretécher. Un style simple, efficace... Caricatural ? Moi, j'aime. Derrière l'humour se cache toujours quelque chose de sérieux, une satyre, un peu de poil à gratter (Non ! Je ne parle pas du torse velu de Paul !)... Hétéros (Et homos) de tous pays : remettez-vous en question.
Vu à la TV ! France 5 change ses programmes (Ah ?) ! Depuis ce matin (Maintenant ! Aujourd'hui !), Le Bateau Livre est diffusé à 10h15 et Ubik à 11h10. Inversion... Evolution... Révoulution ? Un peu, mon neveu ! Je regarde peu la TV... Mais Le Bateau Livre et Ubik sont deux émissions que je regarde (Presque) toutes les semaines (En faisant du vélo d'appartement... Enfin, si je suis levé et si je ne suis pas en train de faire les courses... Ah ! Franprix ! Tu me sauves la vie !). Donc révolution... Je risque de m'éveiller, non plus sous le doux regard d'Elisabeth Tchoungui, mais à la voix de Frédéric Ferney. C'est moins glamour ! Bon... Tout le monde s'en bat les "BIP" de mes pérépéties télévisuelles... Mais enfin, tout ça pour dire que je suis un petit gars qui aime la routine. Aaaaah !
A part ça ? Encore quinze pages à lire et cinq T-Shirts à ranger. Je vous la copie ? Je vous vois venir... Looking for the perfect midnight snack ? It seems her name is Metalux. Yummy, isn't it ?
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De la Rue des Rasselins à la Villa de l'Ermitage. De la Villa de l'Ermitage à la Rue des Rasselins. Back and forth. J'écoute... "Your tongue's sticking out, your cock is erect". No Means No. L'album s'appelle "Mama", la chanson "Red Devil". Rythme formidable. Roulement de tambour. Répétitif. Répétitif. Batterie. Répétitif... Encore. J'ai été à l'Ecume-bar. Pour rien. Chronique d'une vie. Envie de raconter du quotidien, de la matière perso... (Personnage. Perd son âge. Parce qu'il ne fait pas son âge ?). Les lèvres des filles. Certaines que l'on peut voir. D'autres que l'on de peut pas. Password. Mot de passe. Faire une passe. "Tu montes chéri ?". Se faire piquer avec une mineure lorsqu'on est un homme politique, cela n'est pas sérieux... Moi, j'aime bien ces femmes ou ces jeunes hommes de 29 ans. Stuart ? Vince ? Mais qui sait de quoi je parle ? Personne... L'écriture me vient. Automatique. Sans queue, sans tête... Headless. Headless torso ou encore (Le) cavalier sans tête. Et pourquoi pas Ed Wood ?
That's the job of the spiritual teacher, you know. Not to hold us on the path, but to knock us off of it. Until we can stay on the path without being knocked.
Et si je cherchais un maître (Et non pas une maîtresse car je suis un homme marié, moi, même le 1er Mai !) ? Et si je cherchais à m'instruire ? J'ai comme une envie de faire bouger mes neurones (Mes Zutons ! En concert le lundi 24/05/2004 au Tryptique)...
Page concert. Suite... Nowaks, Yarol Poupaud Rock'n'Roll et les Hellboys sont en concert à Mains d'Oeuvre le vendredi 30/04/2004. Pas vraiment Rock'n'Roll, un peu kitsch... A propos de kitsch, les Groovie Ghoulies sont au Nouveau Casino le mercredi 09/06/2004.
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Après le bonheur, le fatalisme... Ca c'est tout moi ! Wilfried le fataliste, j'ai dû m'appeler dans une autre vie. Je suis heureux car fataliste. Comme je ne peux (Et surtout ne veux*) rien changer au monde qui m'entoure, je suis heureux. Fataliste et stoïque. Lorsque je fais un choix, j'en accepte les conséquences, bonnes ou mauvaises. Je relativise (C'est ça le secret ?). Mon seul absolu dans la vie ? "Tout est relatif"... C'est ça mon seul absolu. Ah ! Ah ! Ah ! Trop facile, jeune homme (Ndla : Jeune ? 30 ans quand même !). OK... Moi, Einstein et la relativité. Banana popsicles... Je vais aller chercher le Nommo chez les Bozo(s).
Soleil. Soleil. Soleil. Vendredi... Heureux et fatigué, je suis... Au travail, aussi (Ah ! Félicie !). Ce midi, je me suis promené, librairies anglaises (WH Smith et Calignani, rue de Rivoli), Jardin des Tuileries. Et ce matin, "Oh les filles ! Oh les filles !", je portais un pull qui sentait bon Sofi, Julia et Sylvie. Trois filles, trois femmes... Oui ! Mais c'est MON pull.
Reçu ce matin : des encouragements... "Continue ton blog, cela m'éclate bien". Merci. Ca fait toujours plaisir... Même si ce blog n'est (Ne doit être) qu'une chose intime, personnelle, à peine partagée, mon côté "Narcisse" se gargarise du fait de se savoir lu (Même s'il n'y a, je le sais, qu'une vingtaine de lecteurs réguliers).
Amélie Poulain ou le bonheur à la française, un bonheur doré, simple comme un coup de queue (Comme diraient Les Nuls).
Pornographie 027 (Click on the thumbnail to view a larger picture - Moins de 18 ans s'abstenir)
Je suis décidément bien narcissique... Jeudi 22/04/2004 : une bien belle soirée, tendre et romantique. Se souvenir des belles choses. Je t'Aime. Oui ? C'est moi... (Private Post).
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Je voulais parler du plaisir que j'ai eu, ce matin, à (Re)courir dans les rues du neuvième et dix-huitième arrondissement de Paris... Voir trois jeunes entraîneuses sortir d'un bar de nuit, les yeux cernés, et monter dans une camionnette... Un vieux clochard, la pipe au bec, marcher, marcher, marcher, tourner en rond parce qu'il ne sait pas (Ne sais plus ?) où poser sa carcasse.... Les camions poubelles. La poésie du matin (Blème).
Ce n'est pas un secret, j'achète régulièrement Rock & Folk. C'est un magazine qui sent bon le rock, les années guitares, les années 70 (Septante)... Et, bien souvent, je suis assez d'accord avec leurs choix. Par exemple, l'album des Zutons, "Who killed The Zutons ?" et l'album d'Holy Curse, "Bluer than red" obtiennent quatre petites étoiles dans les pages chroniques de R & F (N° 441 - Pages 086 et 087). Et bien, selon moi, c'est justifié (Ou presque). Ce sont deux bons albums, pas tout à fait originaux, mais bons... Du "Qui fait plaisir aux oreilles".
Mon disque du jour : "Who killed The Zutons". Un Liverpudding succulent, truffé d'épices exotiques, une digne bande-son de mélo horrifique, teintée désuétude magique, fraîcheur piquante (R & F - Mathieu Cuq, lyrique et culinaire !).
Avant tout... Merci à toi, jeune fille aux yeux chocolats, aux lèvres salées... Couleur wallpaper. Merci pour ça et pour le reste (Ndla : je dédicace ces quelques lignes à ma petite femme jalouse. Smile !).
Continuons... Ecrire sur ce blog devient un sacerdoce. "Nulla dies sine linea", disait l'Autre. Voilà... Un jour sans une ligne et je culpabiliserais presque. Ce blog fait bel et bien partie de ma vie... C'est affligeant ! Vite... Se désintoxiquer (C'est par où la sortie ?).
Continuons... "Lejaby. Remember me". Un homme sent une culotte. "Roc. Une taille en moins". Et pas de culotte ? En ce moment, la publicité m'apparaît sexuelle. Est-ce le printemps ? Le réveil des hormones ? Possible (Ce qui expliquerait l'attitude des canards du Bois de Vincennes). C'est aussi la période des régimes, autre grand marronier publicitaire (Vas-y cocotte, maigrit, maigrit, maigrit...). Ce genre de pensée me vient le midi, lorsque je m'octroie une ballade entre Neuilly sur Seine (Sarkoland) et la Place des Ternes (Avec passage obligé par la FNAC, au cas où !). Ouaip... Bof... Ca ou autre chose... Nobody cares.
Continuons... Vue aujourdhui, une publicité pour l'Humanité : "Dans un monde idéal, l'Humanité n'existerait pas"... Avec un joli photo-montage de Georges Bush portant un T-Shirt Che Guevara. Rock'n'Roll !
Continuons (Encore ! Encore ! Encore !)... Dans le même genre d'idée... Dans un roman ("Half asleep in frog pajamas" de Tom Robbins - Ed. No Exit Press), j'ai vu (lu ?) une idée intéressante (Peut-être un peu fausse, malheureusement !) : vous rendez-vous compte que le travail salarié est une chose vieille de quelques centaines d'années (500 ?) alors que l'Homme vit depuis un million d'années (Un million ? Ouaip... P'têt ! J'en sais rien !). Le travail salarié n'est donc qu'un concept temporaire (A l'échelle de l'Humanité), un truc appelé à disparaître... A quand la fin du travail (Ndla : il y a un bouquin de Jeremy Rifkin qui porte ce nom. Je ne l'ai pas lu) ? Personnellement, j'aimerai bien vivre la fin du travail (Soupir)...
Et tiens ! Hier soir, j'ai vu "Immortel", le film d'Enki Bilal. Je l'ai vu, je peux en parler mais... Je ne sais pas quoi en penser. Intéressant mais pas palpitant. Je n'ai pas accroché. A voir en DVD peut-être ?
Toujours quelque chose à écrire... Même quand je n'ai rien à dire ("Alors ferme là ducon !", dit l'autre).
Ce matin, un ami m'a donné l'adresse du Website de Fantazio (Contrebarrissements en tous genres). Allez-y ! C'est mignon et Fantazio en concert c'est bien (Si ! Si !).
Le saviez-vous ? L'équivalent, en Haute Normandie, de notre LYLO parisien s'appelle Bazart (Et en plus, c'est dispo sur le web). Alors si jamais vous êtes sur Rouen, Le Havre ou Dieppe... Vous savez ce qu'il vous reste à faire (En vrac : OK, vous avez loupé le bal québécois du vendredi 16/04/2004 à Dieppe... Il vous reste le concert de Danko Jones + The Bronx + Chlorate le jeudi 22/04/2004 à Evreux ou encore la soirée Yakisakana Records du vendredi 22/04/2004 à Rouen... Et plein d'autres trucs !).
Ce sera tout pour aujourd'hui. Allez Willy ! Va au Monoprix ! Hiiiii...
Je suis, d'ordinaire, un p'tit gars qui ne rêve pas mais, cette nuit (De samedi à dimanche), j'ai fait mon premier rêve de tatoué. Rêve classique : je perdais mes tatouages. Nop ! Pas MES tatouages... Mais (Sic !) MON plus ancien tatouage, celui qui se trouve sur ma cuisse droite (Image très certainement trouvée, il y a quelques temps - années ? - sur Your Meat Is Mine. Rendons à César...). Après m'être lavé, parce que je n'ai pas fait attention, par une opération Made In Saint Esprit (?) ou pour tout autre raison (Merde ! En fait, j'sais pas pourquoi mais "Who cares ?", c'est un rêve !)... Bref. Mon tatouage est devenu une croûte : pas pratique. Faut agir... Une pichenette et toc ! La croûte est partie. Adieu mon tatouage. Il ne me reste qu'une pauvre petite trace grisâtre, un trait discontinu... Bon OK. Un tatouage de parti, dix de retrouvés (Non mais ! T'es con toi !)... Hum. Un tatouage de parti, il m'en reste encore trois ou quatre mais bon... C'était mon premier. C'est sentimental... D'où question : aurais-je les couilles de me refaire tatouer... Le même truc, la même douleur ? The end*.
* : ouais, je sais... Mais les rêves finissent toujours de façon conne.
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Pour ceux qui le souhaitent (Ou ceux qui ne savent pas quoi faire lundi soir, ou les autres...), vous avez demain (Lundi quoi !) une soirée Motorpsycho à la Flèche d'Or. C'est du punk, ça sent le printemps et c'est 6 €.
Chronique du samedi. Glande... TV (The Simple Life sur Canal +)... Papouilles... DVD... Internet... Music... DVD. DVD surtout. Des DVD musicaux. Des concerts. Nashville Pussy Live au Trabendo (10/12/2002. J'y étais. Vous pouvez m'apercevoir sur la droite de l'écran à la 37ème minute). No Means No et les Hanson Brothers Live in London (Un DVD de 178 minutes !). Attirons votre attention sur cet excellent groupe qu'est No Means No. Pour ceux qui ne le saurez pas, No Means No fait du punk, du hardcore (Un brin Noise ? Pop ? Jazzy ? Urk !) depuis 25 ans... D'où cette phrase qui figure sur la pochette de leur dernier disque : "How fucken old are no means no ? Give it up grand dads !". Ce dernier disque n'est pas un nouvel album mais une joyeuse compilation du nom de "The people's choice" qui, comme son nom l'indique (?), reprend tous les tubes du combo. Rien de neuf sous le soleil canadien... Mais, si vous êtes un petit nouveau qui ne connait pas (Encore !) No Means No alors ce disque est une excellente introduction à l'univers des frères Wright.
Remarque 1 : pourquoi la plupart des groupes que j'aime ont-ils créé leur propre label : The Ex et Ex Records, Fugazi et Dischord Records, No Means No et Wrong Records ? Aurais-je l'oreille politique, férocement indépendante ? Et si le rock était une question de volonté...
Remarque 2 : le 27/06/2004, The Ex est en concert avec No Means No (Et quelques autres groupes) au Melkweg d'Amsterdam. Pas mal la Hollande...
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Pourquoi n'en ai-je pas encore parlé ? Peut-être parce que cela me semble évident, presque intime... En tout cas plus intime qu'un cliché de ma bite, plus précieux aussi... Voilà c'est ICI et c'est une belle histoire.
"Grotesque and disturbing to the fullest, nauseatingly invasive at times". Voilà. Ecrit par Ashley Arias le 01/03/2004. Chronique d'un film sorti le 24/12/2003 à New York (Et cette semaine à Paris), vu le 16/04/2004 par votre serviteur. Mais de quoi parle-t-on ? Du premier film de Patty Jenkins, Monster, starring Charlize Theron (Qui porte un dentier. Je n'en dirait pas plus sur sa performance physique) et Christina Ricci. Monster c'est l'histoire d'Aileen Wuormos, Serial Killer femme Made In USA, exécutée en 2002. C'est l'histoire d'un couple de lesbiennes. Bande son impeccable. Moi, j'en suis ressorti, le ventre noué, plein d'énergie, bizarrement heureux.
Commentaires :
Le plus dérangeant dans Monster, c’est notre implication dans cette sordide histoire. En effet, plus le film avance et plus on éprouve de la sympathie pour un personnage antipathique au premier abord (www.commeaucinema.com). Pas faux. Charlize Theron en fait des tonnes. Son personnage - Aileen Wuormos - m'est apparu dérangeant, comme un freak*, une plus qu'humaine, une caricature et puis, au fil du temps, on s'habitue, on compatit... La Serial Killer (Killeuse ?) devient touchante. On tend vers l'histoire d'Amour.
* (La preuve) : Jouant indéniablement sur la fascination qu’exerce cette transformation, Monster, contrairement à ce qu’il prétend vouloir condamner, contribue à faire de son personnage un véritable phénomène de foire. (Amélie Dubois - Article entier disponible dans Les Inrocks n°437, page 45). OK ?
Mais encore ? Allez voir le film. C'est mon conseil du soir et c'est un bon conseil (Et pour moi, dodo, histoire de digérer ce film... Ouf !).
Je suis parfois réactionnaire... Coup de gueule : OK ! Je suis un garçon qui traverse souvent (Très souvent) hors des clous. Mais bon... Parfois, je traverse dans les clous (En particulier lorsque, entre le trottoir d'en face et moi, il y a des voitures). J'attends bien sagement que le feu passe au rouge... Et là, parce que j'ai le droit, je traverse. Attention ! Qu'une voiture passe au rouge et je m'énerve ! Je joue les matamors et foudroie le conducteur du regard ! De la même façon, ce matin, j'ai trouvé particulièrement "impolis" les gens qui, malgré le flot de voitures, traversent au vert et engueulent les conducteurs qui auraient le malheur de ne pas s'arrêter... Non mais oh ! Je veux bien que ce soit les heures de pointe, qu'il ne faille surtout pas être en retard au bureau, mais enfin : "Et la politesse bordel ?"... Et dire qu'en Belgique, les voitures s'arrêtent systématiquement pour laisser passage aux piétons. Pays civilisé ! En Belgique, je traverse toujours (Ou presque) dans les clous.
A ce propos, vous ai-je déjà parlé de ma théorie concernant les feux tricolores ? Non... Remédions-y. Vous avez sans doute remarqué le bonhomme rouge (Walk !) et le bonhomme vert (Don't walk !) qui nous refuse ou nous donne la permission de traverser. Hypothèse : nous ne sommes pas seuls dans l'univers, des Martiens (Ou des E.T.) ont déjà visité la Terre, ils cherchent à nous dominer (David Vincent les a vus et Fox Mulder wants to believe ! Alors ?)... Dure, dure l'hypothèse ? Non ! La preuve : si le bonhomme rouge représente l'Homme, être constitué de sang rouge et que le bonhomme vert représente le Martien, être constitué de sang vert (C'est bien connu !) alors l'alternance bonhomme rouge / bonhomme vert représente l'éternel combat entre l'Homme et le Martien. C'est pas un signe ça ? Moi, je parle aux feux tricolores... Ce sont les totems modernes.
Ca claudique. Ca claudique... On s'remet en route. Blah-blah quotidien (Avec archives). Take One... Action ! Il y a 24h00 (Hier, pour ceux qui n'auraient pas suivis), j'étais à Brussel (Ou Bruxelles, ou BXL, ou B1000). Je suis allé au café. En sirotant une bière, je me suis livré à plusieurs réflexions :
1. Réflexion 1 (Deux hommes jouent aux échecs) : le mot "échec", lorsqu'il s'agit du jeu d'échecs, prend un "S". C'est dommage... Ne sommes nous pas tous, pessimistes que nous sommes, des joueurs d'échec (Sans "S"), allant d'insuccès en insuccès, glanant difficilement quelques victoires sur la vie (Pensée philosophico-ridicule) ? La notion de joueur d'échec (Sans "S") me plaît bien.
2. Réflexion 2 (L'obsession) : en 36 heures de séjour sur le territoire belge, je n'ai pas pu (Ou pas voulu ?) mettre la main sur un dictionnaire. D'où la question suivante, obsédante, énigmatique... "Gaufres", mot que l'on rencontre à tous les coins de rue dans les quartiers dits "touristiques" de BXL, prend-il un "F" (Comme dans "Wafels") ou deux ? Retour en France... Alors ? Que nous dit le Petit Larousse (En couleurs) ? Hum... Un "F". Ah ! Ces belges ! Ne sont finalement pas si originaux que ça (Et moi, pas super fort en orthographe) !
3. Réflexion 3 (Scène de vie) : j'ai vu une femme, la quarantaine, lire et fumer une clope en promenant son chien (Tenu en laisse). Est-ce une attitude bruxelloise ou bien (Aaaaah !) aurais-je rencontré l'un des avatars de Kali ?
4. Réflexion 4 (Parce qu'en 36 heures, je n'ai rien foutu à BXL) : je devrais rédiger un "Petit guide des musées que je n'ai pas visités". Chapitre 1 : le MIM (Musée des Instruments de Musique)... C'est un musée à visiter le matin (Car la visite me semble rapide et puis, commencer sa journée en musique, c'est sympa !). A l'entrée, vous avez le droit à une jolie brochure trilingue et colorée (Une couleur par idiome) et (Super !) à un casque à tenir bien serré sur vos deux oreilles tout le long de la visite (Très certainement pour vous jouer les sons produits par les instruments... A moins que cela ne soit pour vous donner des détails fort utiles du genre : "Toilettes à gauche", "Le sandwich jambon-chicon-beurre est à 3 € ! N'oubliez pas de passer par la cafétéria !", "Vous êtes belle comme un xylophone"... Ou encore pour vous réchauffer les oreilles ? Joie !). Résultat : à la sortie, les visiteurs font une gueule d'enterrement. Pas encourageant... Bref, à peine entré, j'ai décidé (En accord avec ma partenaire) de ne pas visiter le MIM.
REACTION by MAIL
C'est l'histoire d'un suisse. Non... C'est l'histoire d'un mail. Mail reçu cet après-midi. L'Helvète Underground a vu Einstürzende Neubauten à Fribourg le 07/04/2004. Il me l'a écrit. Je les ai vus la veille à Paris... Fatigué, j'ai décidé de ne pas chroniquer ce concert (Fatigue = manque d'objectivité). Mais bon... J'ai fait un semblant de chronique pour l'homme de Vevey (Suisse. Cette ville abrite le siège des tabacs Ormond... Le fameux Mecarillos que fumait mon papa ! Souvenirs, souvenirs...) alors, je vous le livre, brut de décoffrage. Concert d'Einstürzende Neubauten au Bataclan le Mardi 06/04/2004 (Voici une photo... "Gentiment" piquée sur le site de Stéphane burlot) :
J'étais extrêmement fatigué et suis parti (Je crois) pendant le dernier rappel. Niveau musical, le concert m'a paru meilleur (Plus industriel, plus mécanique) que celui de la tournée des 20 ans de Neubauten... Un peu moins d'émotion peut-être. Je suis sous le charme (Bon souvenir) mais pas subjugué car, pendant ce concert rien ne m'a véritablement surpris. Tout est bien fait, porteur d'émotion mais bon, il manque la petite étincelle... Celle qui fait vraiment tout péter (Ndla : c'est toujours le cas avec Neubauten. Les concerts de Neubauten m'ont toujours paru frustants. Au moment de "l'orgasme musical"... Stop : la chanson s'arrête ! Frustrant). Voilà.
Lundi 12/04/2004 (Lundi de pâques). Une semaine après (Retour de vacances)... Petite lassitude. Mélancolie (Passagère !!!!!). Voilà pour l'état d'esprit... Comme un prélude à la joie. OK ?
En vacances, j'ai vu (Dans l'ordre), Pourville, Veules Les Roses, Fécamp, Valmont (Beurk !), Le Tréport, Mers Les Bains et Dieppe... Puis mariage (Cérémonie + Repas + "Pouêt ! Pouêt !") et retour. Ouf ! Demain, la Belgique, Bruxelles et l'expostion Ferraille chez Brüsel... Retour (Et reprise du travail) : jeudi. Voilà pour mon emploi du temps (Ndla : Pauvre gars ! Personne ne s'en soucie de ton emploi du temps !).
Souvenirs...
- Pourville : Pourville "hors saison" c'est une rue, un bord de mer, quelques maisons aux volets clos, un parking... Une sorte de No Man's Land... Peu ou pas d'activité (Pas de magasin. Une huitrière !). Un vrai décor de film... Et, au milieu de cette inactivité poétique, un restaurant "Les Régates (Tél : 02 35 84 11 33 - Publicité gratuite)" dans lequel officie un Chef Cuisinier, un créateur. Drôle d'endroit pour une rencontre... Pourville : entre David Lynch et Federico Fellini... "E la nave va". Calme.
- Veules Les Roses : ici coule le fleuve le plus petit du monde (1100 m) : La Veules (Avec un "S"). Dicton cauchois : " Vent d'amont, pas de pesson". Ben alors... N'irai pas à la pêche !
- Fécamp : MAGNIFIQUE ! J'adore cette ancienne ville de pêcheurs (C'est la patrie des Terre-Neuvas ! Vive la pêche à la morue !)... Son Bout-Menteux. Pour un repas liquide, commander une frite, une bière, un café et un calva (Supérieur). "J'ai bien mangé. J'ai bien bu. J'ai la peau du ventre... Hic !". Bon ben... J'ai aussi visité (Et aimé) l'exposition de Lorjou, peintre méconnu.
- Valmont : une rue amusante (Ouuuuuah ! La poilade !). C'est tout !
- Le Tréport : n'y suis qu'passé... Ville touristique, "populaire", alternance de restaurants (Du poisson , des fruits de mers...) et de boutiques de souvenirs (Avec plein de trucs "à ton nom" - Des bols, des bracelets... - et plein de cartes postales très très très "culs" !). Kitsch ?
- Mers Les Bains : bord de Mer (Ou de Mers) en travaux + jolies maisons. A boire !!!!! Hum... Le cidre pression Dagan (Un produit Loïc Raison), c'est pas bon ! Note comique, urologique et olfactive : après un verre de cidre Dagan, mon pipi sent la pomme (Et le vôtre ?).
- Dieppe : Déjà-vu(e)... Une ancienne ville portuaire qui, malheureusement, tend vers le "bobo balnéaire". Il y a trois ans, j'aimais. Aujourd'hui, j'aime moins.
Mardi 06/04/2004 - 23h00 - Rue de la Croix St-Simon - Un groupe de jeunes filles : "La masturbation du téton gauche ça, ça me fait de l'effet". Shocking ?
Mardi 06/06/2004 - 23h00 : je revenais du Concert d'Einstürzende Neubauten. Clap ! Clap ! Clap ! Bon concert. J'étais malheureusement un peu fatigué... Pas de chronique.
Petit plan concert pour le mardi 13/04/2004 - 20h30 : King Khan & His Shrines sont au Glaz'art. Spectacle ! Spectacle ! Spectacle !
D'ici une heure, je décolle. Direction le bord de mer. Un milieu "Internet less", donc pas de mise à jour avant lundi. En attendant une photo... Comme une dernière image, une dernière impression.
Pornographie 025 (Click on the thumbnail to view a larger picture - Moins de 18 ans s'abstenir)
Citation (Extraite du livre de Pascal Tourain - "L'Homme Tatoué" - Edité à 500 exemplaires aux éditions du Yunnan. Pour mémoire, le spectacle "L'Homme Tatoué" est joué tous les lundis soirs, à 20h30, à l'Ecume-bar... Et ce jusqu'au 12 juillet 2004 !)... Citation, donc : "J'ai un copain qui appelle les tatouages des filtres d'intelligence, ça laisse tout le reste à l'extérieur". Sauf erreur de ma part, ce copain ne s'appelle pas Collin J. Rae : "Immortalize yourself in INK !"... L'homme va se faire tatouer des prénoms sur la main (35 $ le prénom. Oui, toi aussi tu peux faire tatouer ton prénom sur la main de Collin ! Il suffit de lui écrire !). Non mais OH ! Pourquoi ne pas vendre un rein ? OK. L'homme est photographe. Tout ceci fait peut-être partie d'une "performance", un truc artistique... Mais ce n'est pas dit (En tout cas, sur son site). Ca sent plutôt l'opération mercantile... M'enfin ! Et vous voudriez que l'on ne prenne plus les tatoués pour des marginaux, des loosers, des "mauvais garçons (Bikers, Marins & Zonzon United)" ? Repassez plutôt par la case départ et ne touchez pas 20 000.
En allumant mon PC, je voulais parler de Dogville (Souvenez-vous ! Hier, j'en étais au chapitre trois). Un film que j'ai beaucoup aimé. Mise en scène intéressante, proche du théâtre (Le décor !), un brin "arty"... J'ai aimé le jeu d'acteurs et surtout le propos... Dans la dernière scène (Dialogue entre Nicole Kidman / Grace et James Caan / The Big Man), je me suis identifié à Nicole Kidman / Grace, l'arrogante. Si arrogante qu'elle se prend pour une sainte : elle pardonne son prochain, qu'elle que soit la faute qu'il ait commise. Elle s'interdit de voir les zones d'ombre, les trucs crades qui font l'âme humaine... Je suis un peu comme ça. D'apparence "zen" car manichéen. Je relativise énormément, pardonne, reste intouchable... Peut-être n'aime-je (Ndla : belle inversion !) pas mon prochain ? Peut-être suis-je un pauvre con méprisant ? Toujours est-il que "ne pas considérer les gens (?) comme intrinsèquement mauvais et cons" me permet d'aller de l'avant (Comme Nicole Kidman / Grace, je suis doué d'un don rare : je regarde toujours vers l'avenir). Optimiste !
Titoff ou Titof ? Béatrice Dalle ou Béatrice Valle ? Normal (Au sens de "Qui répond à la norme") ou X ? Choisissez votre cinéma... Ce matin, j'ai choisi Dogville de Lars Von Trier. Au centre de la ville, "Elm Street"¨(Ou "Elm Street" ?). C'est un film en neuf chapitres + un prologue. Pour des raisons "indépendantes de ma volonté", Je me suis arrêté au chapitre trois... A suivre. Dans le même genre d'idée, je dirais Plan 9 ou Plan 69 ? La liste est sans fin... Et c'est un post sans queue (Que ?) ni tête.
Pour ceux qui lisent Inkorrekt, le blog Sexe de John B. Root, vous pouvez vous arrêtez là. Sinon, pour les autres, pour faire avancer le schmilblick, pour faire passer le buz, pour donner dans le plagiat et parler de "Shocking Truth" (Documentaire d'Alexa Wolf), voici un article d'Isabelle Sorrente "GANG BANG - La pornographie, bagne sexuel industriel" et une critique du film ("The new swedish sexpolitation" - En anglais dans le texte). Bonne lecture.
Pourquoi n'ai-je pas couru le Marathon de Paris ? Parce que... Parce que je n'aime ni la performance, ni la compétition. Parce que, même si j'aime courir, je n'ai pas "l'esprit de compétition" (Paradoxe ?). Courir me permet d'entrer en communion avec mon corps (Communion ? Moi, l'athé ?). Communiquer avec lui, l'environnement (La nature, la ville, l'asphalte...). Me sentir bien. De manière plus générale, tous les exercices d'endurance (Course à pied, vélo, marche...) me permettent d'être bien. Alors ? Courir ? Courir 42,195 km, au milieu d'une foule compacte, avec un temps (Au sens de "météo") incertain... Non, merci. J'ai déjà donné. Je mets moins de 3h00 pour parcourir la distance. Je le sais. Je n'ai rien à prouver (En tout cas, pas à moi-même). Cette année, j'ai rangé mes baskets. Je ne sais même pas qui a gagné... Un marocain, un éthiopien, un français, un belge... Un japonais ? Peu m'importe. Le sport est une affaire entre Moi et Moi. Je me teste. Je me prouve des trucs. Je garde l'équilibre (Physique et psychique). Vive le sport ? Le sport, c'est mon hygiène de vie. Comme le cul, l'Amour... Vous reprendrez bien - Hic ! - un verre de vin ? Hic ?
Sinon... J'ai fait le vide dans mon appartement (Dans ma tête et dans mon coeur, comme dit la chanson ?). Tabula rasa. Ca me va bien. Vous reprendrez bien un peu de - Beurp ! - poulet ?
Je suis le plus heureux des hommes. Un carré de chocolat ?
Lien : Truth Hurts ; Treasure the Thorns. Le Marathon de Paris est parti. Je vais faire du vélo. Rien d'intéressant sous le soleil. Calme plat. Calme blanc. Chronique dépressive. Hop ! Hop ! Se remonter le moral. Ne plus écrire. Blackout.
Waits (Tom).
Interpol.
Lunch (Lydia).
Fugazi (Fishbone ?).
Ramones (The).
Interpol (Le seul disque en "I" de ma discothèque).
Ex (The)*.
Demented are go**.
* : best dutch band ever ! Website.
** : pour finir en beauté. Vous avez compris l'exercice ? A vous.
Télérama. Le programme télé de ceux qui n'ont pas la télé. Journal catholique de gauche. Télérama, cette semaine fait un spécial rock. Pourquoi pas ? La sélection des "50 albums essentiels" n'est pas si mal que cela... Le "London Calling" de The Clash est classé premier. OK. Je retiendrai surtout cette mention en page 12 du cahier intérieur "Sonic Machine, un rendez-vous électrique à prix raisonnables" et la photo de Polo et ses deux comparses. Come on Polo ! Sonic Machine (143, rue Saint-Maur - 75011 Paris) : LE disquaire rock de Paris. Moi, j'aime (Ndla : moi, j'aime trop de choses).
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Je voulais parler de "Full of love" de Richard Morgiève. Un livre qui m'a touché... Je voulais parler. J'ai parlé. J'ai écrit... Et puis voilà. Bug. Ma chronique est partie aux oubliettes... Dommage, j'y avais mis du sentiment. Allez... J'essaye de la réécrire (De mémoire)... Ce sera moins bien. Chronique / Critique de "Full of love". Version 2 :
"Full of love" de Richard Morgiève. Je vous ai déjà parlé de ce livre. J'aime son style. Richard Morgiève me fait penser à Louis-Ferdinand Céline, Christine Angot, Marie L... Des écrivains du réel. Pas ce réel naturaliste, pointilleux, tout plein de descriptions, ennuyeux (Balzac ?)... Non. Un réel près de l'âme. Cinéma intérieur. De l'écriture comme d'un glaviot, couché là, sur la page, travaillé... Travaillé pour nous paraître facile. Simple. Evident... De l'écriture comme d'un morceau d'âme.
D'abord la forme : "Punctuation less", dirait un anglais. Richard morgiève n'utilise pas (Ou peu) les virgules, les points... Le cinéma intérieur ne s'arrête pas. Les images s'enchainent. 24 par secondes... La femme blonde devient brune. J'ouvre la porte. Je suis dans la chambre la rue non le soir et ma queue... Décullote-toi... La substance est rouge blanche CONSISTANTE ACGGLOMEREE ET EN MEME TEMPS FLUIDE. "Punctuation less". Bien (Ndla : j'avais écrit, dans ma première version, "Télé réalité non montée"... Oui, le cinéma intérieur c'est ça, du cinéma non monté).
Ensuite le fond : psychothérapie. Gérard, surnommé parfois Gégé, nous parle de sa mère, de son père... De son corps d'homme, de son sexe. Gérard, surnommé parfois Gégé, se soigne à coup de cinéma. Il se fait des films.
Dans ce livre, j'ai aimé les images et la forme. Le fond n'est, pour moi, qu'un prétexte, un fil conducteur nécessaire à l'exercice de style. J'ai aimé le cul sale et pervers et normal et j'ai aimé (Ndla : en chroniquant ce livre de Morgiève, je ne peux m'empêcher de faire du Morgiève, du sous Morgiève... Ecrire, pour moi, ce n'est pas produire de l'idée, du sens... Ecrire, c'est produire de l'image. Images... Personnelles et cryptées ?). Dans ce livre, j'ai aimé les références mathématiques : la règle de trois, sept, neuf, 4358 que multiplie 5286 moins 7426 plus 589 divisé par... Le cul logique. Le cul qui (Me) fait bander, ersatz d'émotion... Le cul qui (Me) fait vibrer, exister. Le cinéma, ça nourrit.
A la relecture, cette chronique est mièvre. Putain de bug ! J'avais produit un texte qui me semblait "Uplifting". Un truc grand, qui m'a fait vibrer. Puis "Ctrl + A" et "C" (Parce que je sauvegarde toujours mes écrits)... J'ai oublié le "Ctrl". Ecran quasi vide. Tout a été remplacé par "c (Minuscule)", petite lettre ridicule qui m'a presque fait chialer... Parce que quand j'écris, j'y mets du mien, du cru, de l'incarné... Un morceau de chair, du coeur. Putain ! Ca me ravage. Stop.
Vous voulez une vraie critique ? Une critique blanche, mièvre, atone et pleine de Pop-Ups ? Cliquez ici et là.
REACTION by MAIL
Chronique d'une vie. Scotché au PC dès 10H30 (Levé depuis 30 minutes)... Non pas pour bloguer (Encore que ?) mais pour regarder mes mails, un ou deux sites (Y'a une update ? Fuckin' Forum !)... Renouer avec la vie, l'extérieur. [Quote] Renouer avec la vie [Unquote] : c'est con comme expression ! Je suis chez moi, mon Amour est là, levée, belle. Merde ! Elle est là la vie... Oui mais non. La vie, c'est les autres (Ndla : je suis arrivé à cette conclusion vers 20 ans) et les autres, ce n'est pas l'Autre. La vie c'est une chose composite. Tu as un Amour (Des Amours pour les polyamoureux), des amis, des relations... Des coups de coeurs.... Des passions (Surtout !). Alors voilà... Où en étais-je ? Je m'analysais en ligne. Je projetais mon esprit, mes interrogations sur cette putain de page. Je devenais un blogueur, un vrai, un qui raconte ses petits ennuis, la pâté du chat, le rendez-vous raté d'hier soir. Non. Stop. Je préfère parler de cul. Au moins, le cul c'est honnête. Comme dirait Céline (Louis-Ferdinand) :
Il subsiste en vous toujours un petit peu de curiosité de réserve pour le côté du derrière. On se dit qu'il ne vous apprendra plus rien le derrière... Qu'on a plus une minute à perdre à son sujet et puis on recommence, encore une fois, cependant... Rien que pour en avoir le coeur net qu'il est bien vide... Et on apprend tout de même quelque chose de neuf à son égard... Ca suffit à vous remettre en train d'optimiste. On se remet à penser. On pense plus clairement qu'avant. On se remet à espérer alors qu'on espérait plus du tout... Alors, fatalement, on y retourne au derrière... Pour le même prix en somme, toujours des découvertes dans un vagin, pour tous les âges.
J'aime cette citation de Céline (Extraite d'une interview du bonhomme. Interview reprise par Fabrice Luchini dans son spectacle "Voyage au bout de la nuit"). Le côté du derrière. Du cul, de la bite... Pour tous les âges. Cliché inédit... Extrait d'un Set (Une série de photographies, en anglais dans le texte) à paraître sur No Fauxxx.
Pornographie 024 (Click on the thumbnail to view a larger picture - Moins de 18 ans s'abstenir)
Page blanche. J'accumule les images. Cinéma intérieur, comme dirait Gérard, qu'on appelle Gégé ("Full of love" de Richard Morgiève. Fini ce midi). Reading is sexy. Le poids des mots. Le choc des pages. Tourner. Regarder. Mâter. Ecrire ? Décrire... Image ! L'infirmière blanche. Combinaison blanche. Cheveux bruns. Daryl Hannah dans "Kill Bill"... Piqûre. Le cinéma intérieur n'est pas de l'écriture automatique. C'est un truc travaillé. Pas ponctué. Edition. Remplacer... La ponctuation. Besoin de se défouler. Passer à autre chose. Surgir... Et si le monde ne tournait pas rond ? J'écris comme je pisse. C'est automatique. Ca sort. Ca gicle. Ce n'est pas bon mais c'est moi (Emoi. Trop facile. La chose est aisée)... Tu veux de l'image ? OK. Un angle, un taco, un truc... Bare Pink Taco. Gros plan sur son bassin, ses lèvres. Une, deux, quatre lèvres... Suintantes. Comme une plaie. Désir. Nouvelles neuves. C'est les vacances... Tom Robbins.
Squid.
Ajout (21H30). Ne pas tenir compte du texte ci-dessus. Je suis fatigué. Merci infiniment.
REACTION by MAIL
"ASS" comme Allocation de Solidarité Spécifique (Ou Allocation Spécifique de Solidarité). Et mon cul ? Je me tiens peu (Ou pas ?) au courant de l'actualité. Ma situation n'est pas "précaire". Aussi, jusqu'à ce matin, n'ai-je jamais entendu parler de l'ASS. ASS ou "ass (En anglais dans le texte)" autrement dit "cul (En français dans le texte)". Dois-je comprendre que l'ASS est une allocation du type "T'es pauvre ? Tu l'as dans le cul !" ? Humour noir (Ndla : rien à voir avec Dieudonné) ? Faute de goût ? Lapsus révélateur ? Décidément, je ne comprends rien à la politique. Take it in the ass, boy.
Back from La Musardine. Vu Emmanuel Pierrat... La séance de dédicace s'est bien passée. Je vous raconte... Moi, le rouge aux joues (Cela s'est-il vu ?), faisant le pied de grue (Nonchalament, un verre de blanc à la main... Question de style), je pense : "T'inquiètes Pierre*, j'ai toute la vie... Discute boulot, contrat, exposition. No problem !"... C'est à moi ????? Comme d'habitude, lorsque je suis intimidé, je fais mon fier, un peu dédaigneux, parlant trop vite, n'articulant pas... Je tends ma prose à Monsieur Emmanuel Pierrat. Il semble apprécier, me dit que mon analyse de "L'industrie du sexe et du poisson pané" est intelligente... Remerciements d'usage ? Je lui glisse que j'ai préféré "La course au tigre". Il me dit que lui aussi. OK. J'achète "Histoire d'eaux". Merci. Des fois, je me trouve un peu nunuche, un peu con... M'enfin ! Je suis heureux... C'est le principal !
Ah oui ! J'allais oublier. Emmanuel Pierrat fume des Davidoff(s), comme mon père. Je n'aime pas particulièrement l'odeur du cigare (Cigarillos ?) mais, une personne qui fume des Davidoff(s), cela me touche... Toujours. Madeleine de Proust or not madeleine de Proust ?
Photo moche : en "vrai", Emmanuel est plus beau que cela.
Je réécoute le dernier album de Daniel Darc. J'aime bien... "Mes amis (Tour à tour)"... "Et quel crime ?"... Morceaux entraînants. Un album plein de références. You really got me !
Easy come. Easy go. Ce matin, j'ai écouté Shunatao* (Album "Tribute to" chez Aminata Records). La musique le matin, ça met en train (Et, accessoirement, en métro)... Chronique du temps qui passe. Hier (Ndla : décidément, je blogue souvent sur "Hier". Serais-je d'un naturel pessimiste ?), j'ai fait du rangement. J'en suis fier. Malheureusement, personne n'était là pour témoigner de "L'avant (Rangement)" et de "L'après (Rangement)". Je suis doué en rangement. Entendons-nous bien : je ne parle pas de ménage, je parle de rangement. Je suis un maniaque. Je trie, je classe, je range, je positionne les objets (Les boîtes, les trucs...) au millimètre. Je fais, je défais, je refais... Jusqu'à atteindre la perfection. Rien n'est laissé au hasard.
Je voyage peu. A contrario, j'aime échanger des mails avec l'étranger (L'Angleterre et les USA surtout 'coz I do speak english). J'aime jouer les français, romantiques et libres (Libertaires ?)... Affirmer, haut et fort, qu'ici aussi il se passe quelque chose, que la France n'est pas le trou du cul du monde (Encore qu'être un trou du cul ne me semble pas être le plus horrible des sorts. Dans le trou du cul, au moins, il y a du passage... Et parfois, du plaisir). Communiquer me donne l'impression d'être vivant. Si l'enfer c'est les autres, alors... Bienvenue en enfer Monsieur Wilfried (Ndla : j'aime parler de moi à la troisième personne) ! En ce moment, c'est avec elle que je communique. It's better when someone is watching. Intéressant.
(1) "Partout de par le monde des hommes s'accouplent ou se font sucer en marmonnant ça vient ça vient. Mais quoi ? Mais qu'attendent-ils ? Mais qu'osent-ils espérer ?"
Poisson d'avril !
(2) "TOUT EST CONSISTANT ACGGLOMERE ET EN MEME TEMPS FLUIDE. TOUT EST OBSCUR ET LE CIEL INVISIBLE DANS CETTE PARTIE DU MONDE RIEN N'EST SILENCE. AINSI TOUT CONCOURT A UNE PARFAITE HARMONIE AUSSI PARFAITE QU'EFFRAYANTE."
Poisson d'avril !
(1) et (2) tirés de "Full of love" par Richard Morgiève (Bouquin que je lis actuellement et que je trouve... Hum... fascinant).
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