Lonely, loneliness, solitude... Parfois, je m'emmerde, alors j'écris. Ecriture automatique, stupidités en tous genres, souvent téléguidées (Influencées) par mes lectures, mes envies, mes pensées, mes trucs... Conscients ou inconscients. Bref... On n'aurait pas dû l'inviter.
Victor (Alias Gontran), veau fort dévot. Marié, 2 enfants... Deux petites vaches à couettes et tâches de rousseurs.
L'action se passe au supermarché. Non. Elle se passe au bureau.
- Pataquès ? Je me sens patraque...
- Yes ?
- Indisposé. Pas bien... Limite décédé. HS !
- Chie-moi dans la bouche !
- Ouais... Pourquoi pas ?
Dialogue sans queue ni tête. Tête de noeud. Braquemart ? Monsieur Noir... Mister Pink and Mister Orange... Agent Orange. L'agent Orange se manipule brutalement la bidoche... Comme Specs. Ouais ! Comme Specs ! Gilbert Schwartz. Héro, zéro, feu-follet, un truc... Qui pue.
La belle Markie de Sade, dominatrice aux seins ronds, au sexe de paille. I feel strange. Pourquoi ne pas zapper, passer la tête par la fenêtre, dire "Bonjour !". Voir... Oiseau et gloire. Une croix de Saint-André, objet du culte, objet du cul... Vibromasseur. Je suis définitivement obsédé. Rien ne fonctionne, ne marche. Univers syncopé. Dérapage et... Décalage. La valeur est inexacte... Je prends peur. Peur perverse, excitante, haletante. Aller plus vite. Chuintement. Vapeurs abscontes. Stop !
Reprendre le rythme.
Voilà... C'est écrit. Ca ne ressemble à rien. Ce sont mes peurs, mon histoire (Petit "h"). ca vous a plu ? Vous en voulez encore ?
D'aventure en aventure... Ecrire sur soi. Etre plus personnel. Ne pas être un simple site "à caractère informatif". C'est ce que je dois faire... Comme un sacerdoce. I love to love but my baby just love to dance... Comme une litanie.
Hier soir, vers 20h00, je me suis penché sur le cas "That Strange Girl", un beau, un intéressant, site de pornographie "alternative" (Alterporn). Qualité principale : TSG mixe filles et garçons (Nus). A mon avis, la pornographie, même alternative, n'a pas de sexe... Alors, pourquoi trouve-t-on si peu de sites "mixtes" ? Pourquoi ces ghettos ? Je rêve d'un monde libre où toutes les formes de sexualité (Toutes les formes de pensée) puissent co-exister "pacifiquement", en harmonie... D'où mon engouement pour TSG, site, a priori, amateur (J'aime les amateurs) et américain (J'aime moins les américains). Les filles et garçons qui s'affichent sur ce site ne sont pas toutes et tous des top-models (Même alternatifs) mais ils ont ce côté "Girl Next Door" qui va bien... Si charmant, so sweet, si touchant. Oliver est beau (?), son tatouage parfait, Lux (The Webmaster !) est charmante, Viet énigmatique... Et les autres... Extrait d'un article consacré à TSG :
The NYU student new media magazine Read Me profiles altporn entrepreneur Lux Nightmare, a 20-year-old college student and founder of That Strange Girl. "I don't think porn is degrading. The bulk of alternaporn is just, like, 'Look! Cute girls who don't have implants!' I want people to look at my site and have sex, as opposed to the 'normal' Internet porn-patron, for whom online porn is a solo indulgence."
Note à moi-même : aujourd'hui c'est Halloween. C'est aussi la Saint Quentin... Ce qui me fait penser aux prisons américaines, à Edward Bunker... James Ellroy... Et enfin, Michael Guinzburg. La boucle est bouclée ?
Lorsque j'entends parler des incendies qui ravagent, actuellement, la Californie, je ne peux m'empêcher de penser à ce pauvre Arnold Schwarzenegger, Gouverneur Terminator élu pour le meilleur... Comme pour le pire. N'oublions pas non plus Martin Scorsese qui a dû arrêter le tournage de son nouveau film ("The Aviator" avec Leonardo Di Caprio). Grandeur et décadence des stars hollywoodiennes !
Bienvenue ! C'est aujourd'hui la Sainte Bienvenue ! De son vrai nom Benvenuta Bojani, Bienvenue est née en 1255 à Cividale, dans le Frioul. Elle mena une vie de mortifications très sévères (A la limite du BDSM... Je vous vois déjà saliver). Devenue dominicaine, elle continua sa vie austère. Morte en 1292. Béatifiée. C'est fou !
Bientôt novembre et vous ne savez pas quoi faire de vos soirées ? Allez donc voir The Incredible Defenestrors ! Vous avez le choix entre 3 dates :
- Vendredi 31/10/2003 - Alternation (21, rue Pierre-Bourdan - Paris 12 - M° : Nation) - 20h00 - Prix : libre (Il s'agit d'une soirée de soutien au village autogeré de La Valette). Au programme : New Bone Chapel, Novacaine, Incredible Defenestrors, G-String + Mix DJ.
- Vendredi 07/11/2003 - La Cantada (13, rue Moret - Paris 11 - M° : Ménilmontant) - 19h00 - Prix : une bière au comptoir ne serait pas de refus... Concert exceptionnel !
- Mardi 11/11/2003 - La Flèche d'Or (102, rue de Bagnolet - Paris 20 - M° : Alexandre Dumas) - 19h00 - Prix : 5 Euros. Soirée Motorpsycho : The Incredible Defenestrors + Anteenagers MC + Iwan le terrible (Born Bad) aux platines
Et pour mémoire...
- Lundi 24/11/2003 - L'Elysée Montmartre - 17h30 - Prix : 22 Euros en prévente (Chez Sonic Machine - 8, rue de la Fontaine du But - Paris 18 - M° : Lamarck-Caulaincourt) : Backfire + Death by Stereo + (Roget Miret and The) Disasters + Ignite + Length of Time + Madball + Suicidal Tendencies.
- Mercredi 26/11/2003 - La Flèche d'Or (102, rue de Bagnolet - Paris 20 - M° : Alexandre Dumas) : Marousse + Le Maximum Kouette.
- Dimanche 30/11/2003 - Le Nouveau casino (109 ,rue Oberkampf - Paris 11 - M° : Ménilmontant ou Saint-Maur) - 20h00 - Prix : 9 Euros en prévente : Harmful + Unsane.
- Samedi 06/12/2003 - House of Live (124, rue de la Boétie - Paris 8 - M° : Franklin D. Roosevelt) : Nadj.
Bientôt novembre et vous ne savez pas quoi écouter ? Jetez une oreille sur "Streetcore", le dernier album de Joe Strummer and The Mescaleros (R.I.P. En écrivant ces lignes, un petit pincement au coeur me vient. Putain... Bientôt un an !). C'est un bon album. Chronique à venir.
Moi, Moi-Même et Je... Je m'aime ! Aujourd'hui c'est la Saint Narcisse. Bonne fête Wilfried. Que tu es beau, intelligent et riche (De ça et ça ne s'achète pas ? Clin d'oeil) !
(Sur un air connu) "Tirer un petit coup c'est agréable... Tirer un petit coup c'est.. Doux". Soyons vulgaires (Et désinvoltes). Shocking ! Mais que devient Marie Trintignant ?
Retour sur ma chronique d'hier : "France Boutique" c'est bien mais sans plus. Vous pouvez attendre le DVD ou le passage TV. M'étais-je bien fait comprendre ? Hélène Fillières est toujours aussi séduisante...
Jalousie... J'ai décidé de placer la soirée d'hier sous le signe de la jalousie... La petite pointe de jalousie... Non ! Pas la grosse crise avec bris d'assiettes et rupture de ligaments... Ou d'occiput. Hier soir, j'ai reçu un colis parfumé (Jalousie 1) puis j'ai loué la prestation d'Hélène Fillières (Son "très charmant physique") dans le nouveau film de Tonie Marshall (Jalousie 2). Hic !
Alors... "France Boutique", le nouveau film de Tonie Marshall (Avec Hélène Fillières !) ? J'ai bien aimé "France Boutique". Il est vrai que j'aime, en règle générale, les films de Tonie Marshall : "Pas très catholique" avec Anémone et Grégoire Colin ou encore "Enfants de salaud" avec Jean Yanne, Molly Ringwald (Souvenez-vous de Breakfast Club), François Cluzet... Les films de Tonie Marshall sont drôles et humains. Celui-ci n'échappe pas à la règle. Dans le cadre d'une émission de téléachat dont ils sont les présentateurs vedettes, France (Karin Viard) et Olivier (François Cluzet) vivent une crise de couple. Les décors tiennent autant d'Austin Powers que de Jacques Demy (Mention spéciale au "Carré à décongeler" librement inspiré de Temps X ou Cosmos 1999). Hélène Fillières est belle. La caméra de Tonie Marshall se fait proche du corps, proche du coeur... Toujours complice de l'acteur, de l'actrice (Karin Viard, nue, de dos, magnifique)... Comme une comédie douce amère. Les seconds rôles sont séduisants. Et toujours Hélène Fillières, jeune artiste peintre gentiment sombre, déviante, SM, Francis Bacon... En complet décalage avec le reste des protagonistes. Deux magnifiques scarifications ornent son dos... Comme un arrière-goût de Joel-Peter Witkin.
Vous l'ai-je déjà dit ? Je n'ai jamais réellement lu Fernando Pessoa (1888 - 1935) mais ses vers me sont chers... Par exemple (Un exemple ayant marqué mon adolescence et inscrit, à jamais (?), sur le frigidaire de mes parents) :
Je ne suis rien.
Jamais je ne serai rien.
Je ne puis vouloir être rien.
Cela dit, je porte en moi tous les rêves du monde.
Je ne suis pas spécialement fatigué et pourtant... De dimanche - 2h00 du matin - à Lundi - 6h00 du matin - j'ai dormi 20 heures (Sur un total de 28 ou 29 si l'on tient compte du passage à l'heure d'hiver). Et je me sens groggy... J'irai bien me coucher... Ce matin, dans le métro, trois ou quatre fois, j'ai senti mes jambes flageoler, se dérober sous moi. Etonnant. I feel sick (Titre du comic que j'aurai dû lire ce matin s'il n'y avait pas eu tout ce monde. Mais d'où viennent tous ces gens ? Pourquoi prennent-ils le métro ?) !
A part ça, est-ce une impression ou était-il impossible d'allumer sa TV ce week-end sans tomber sur Judith Godrèche ou Karin Viard (En "promo" pour le film "France Boutique" de Tonie Marshall) ? Je les ai vues dans l'émission de Marc-Olivier Fogiel (France 3), dans "En apparté" (Canal +), dans l'émission d'Ardisson (France 2), dans "Ubik" (France 5)... Et je suis sûr qu'il m'en manque ! Comment justifier un tel matraquage télévisuel (Sans parler des autres media) ? Pourquoi sont-ce les filles qui s'y collent ? Où est François Cluzet (J'adore cet acteur) ? Réponses à toutes ces questions demain car moi, ce soir, je vais voir "France Boutique" en prèsence de l'équipe du film (Si j'en crois le programme)... Je me souviens avec émotion, d'un 31 décembre où, vers 20h00, j'ai été voir "Paris s'éveille", film d'Olivier ASsayas avec Judith Godrèche. Joli moment de solitude et mauvais film. Judith Godrèche, éternelle désenchantée, je vous aimais bien.
Félicitations à M et C, futures MC* dans leur MC**.
* : Maîtresses de Cérémonies. ** : Maison Chérie.
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On m'a, l'autre jour, raconté une "histoire de blondes" supposée drôle. Bizarrement, cette histoire m'a fait réfléchir. N'est-ce pas paradoxal d'appliquer un shampoing pour cheveux secs sur des cheveux mouillés ? Je me laverai les cheveux*, je crois que je n'achéterais pas de shampoing pour cheveux secs.
* : je ne me lave pas les cheveux (Plutôt le crâne). Ceux qui me connaissent savent pourquoi.
Mode, Mods et Moi. J'ai aujourd'hui (Encore !) mis une cravate. Blanche et noire, à carreaux, très "2-Tone" dans l'esprit... Qui plus est, cette cravate vient d'Irlande (Merci LN). A propos de cravate, je me permets de citer Balzac (1827) : "La cravate n'est pas seulement un utile préservatif contre les rhumes, torticolis, fluxions, maux de dents et autres gentillesses du même genre. Elle est encore une partie essentielle et obligée du vêtement qui, dans ses formes variées, apprend à connaître celui qui la porte". Oui monsieur... Mais la cravate me rappelle aussi la corde qui un jour servira à me pendre (Si ! Si ! Une chiromancienne me l'a dit*). Allez ! Pour Noël offrez-moi une cravate (Originale et "sobre" SVP)... Y'a pas à dire, quand on en est à se faire offrir des cravates, c'est sûr, on est un homme, un vrai, un pur, un dur, un tatoué... Il ne me manque que les poils (Merci de ne pas m'offrir de moquette ou d'engrais fertilisateur à Noël. Je suis presque imberbe et j'aime ça) !
* : non. C'est faux. Je n'ai jamais consulté de chiromancienne, voyante ou magicienne.
Vu sur le net : le site s'appelle Mauvais Genres et publie des critiques de livres, des biographies, des textes réalisés par des bibliothéquaires français (Enfin... Surtout brestois). La liste des ouvrages chroniqués est assez longue (Plus de 2500 titres) et n'est que très légèrement orientée (On y trouve aussi bien du roman "classique" que de la SF ou du polar). Bref, un site qui me semble plus que recommandable. J'y retourne !
Il est bientôt 15h00 et Blogger fonctionne enfin. La remarque et le post ci-après ont été écrits ce matin vers 11h00.
Vu ce matin dans le métro (Station "Les Sablons" pour celles et ceux qui se posent la question) : "Alien - Sortie, pour une durée limitée, sur vos écrans" serait le film le plus effrayant jamais réalisé. Ah bon ? Je croyais que c'était "L'exorciste". Si même les publicitaires se contredisent... Moi je vais finir par ne plus croire la TV (Qui dit toujours la vérité).
Aujourd'hui je suis habillé en Mod (Qui ne veut pas dire Ministry of Defense). Chemise fushia près du corps, cravate rose et noire (Merci LN), pantalon, chaussures (Enfin baskets Buffalo avec flammes dorées...), petit pull noir, parka (Evidemment). A propos de Mod, je cherchais ce matin un site, une image pour illustrer mon propos et en tapant "mods et rockers" dans un moteur de recherche (Google pour ne pas le nommer), je suis tombé sur ceci :
Mods and Rockers - Michel Sardou (Paroles : Patrice Laffont - Musique : Jacques Revaux)
Tu es un mod et toi rocker,
Et moi je suis entre vous deux.
Tu es un mod et toi rocker
Et moi j'ai un peu froid aux yeux.
On m'avait dit bien gentiment
D'aller à Londres faire un tour
Pour me mettre un peu au courant
De ce qui s'passe hors de la cour.
Tu es un mod et toi rocker,
Et moi je suis entre vous deux.
Tu es un mod et toi rocker,
Et moi j'ai un peu froid aux yeux.
Si les anglaises s'habillent court,
Ce n'est pas moi qui m'en plaindrai,
Mais pour pouvoir leur faire la cour
Je prendrais bien cent fois le thé.
Tu es un mod et toi rocker,
Et moi je suis entre vous deux.
Tu es un mod et toi rocker,
Et moi j'ai un peu froid aux yeux.
Quand les guitares se déchaînent,
Le soir, au coin de Trafalgar,
C'est une réaction en chaîne
Où les melons n'ont rien à voir.
Tu es un mod et toi rocker,
Et moi je suis entre vous deux.
Tu es un mod et toi rocker,
Et moi j'ai un peu froid aux yeux.
Si j'ai foulé votre gazon,
Ne me suivez donc pas ainsi.
Je réclame votre pardon.
Je vais partir. I am sorry
Tu es un mod et toi rocker,
Et moi je suis entre vous deux.
Tu es un mod et toi rocker,
Et moi j'ai un peu froid aux yeux.
Tu es un mod et toi rocker,
Et moi j'apprécie votre terre.
Tu es un mod et toi rocker,
Et je crie très fort : "Vive l'Angleterre,
Vive l'Angleterre, vive l'Angleterre !"
Retour sur Nadj (En concert le 6 décembre 2003 au House of Live). Voici un petit "Copier - Coller" d'un article paru sur Zarico.
NADJ - Un petit bout de temps maintenant que NADJ, artiste de Chambéry, est dans notre collimateur... Lors de la première rencontre, nous avions été d'abord séduit par une personnalité hors du commun, mélange inédit de fragilité et de force de caractère, d'hypersensibilité et de culot, de douceur et de dureté... L'écoute de ses morceaux nous a ensuite troublés : toute la complexité de la jeune fille y est en effet mise à nue avec une sincérité déconcertante. Et c'est précisément dans l'authenticité de sa démarche que NADJ fait la différence : celle qui pourrait n'être que la énième révélation d'un supposé renouveau de la chanson française affirme un style singulier, sorte de songwriting à la française dont le caractère acoustique ne dissimule pas longtemps une attitude sur le fond très rock. Son écriture particulière est pour beaucoup dans cet exercice d'équilibriste : les sentiments y sont exprimés de manière abrupte, avec une métrique particulière. Tristes histoires d'amour bien sûr : "Je te veux dans mes angoisses mises à nues par le manque de poésie de nos histoires de cul" ; Coups de cafards : "Dimanche, comme une salle d'hôpital, un bistro sale, on mange le rôti familial, comme un jour idéal" ; mais aussi coups de gueule et violence du propos prenant tout le monde à contre-pieds : "des petites filles allumantes, des sourires de poupée, c'est tout ce qui tourmente (...), j'en connais des cibles, des salopes des sensibles, qui t'éloignent de toi, j'en connais des filles...". Sur scène, NADJ fait vivre ses textes d'une voix tétanisante, et l'expérience acquise en particulier lors de premières parties prestigieuses (Arno, Têtes Raides, Venus, Louise Attaque, Ben Harper...) lui permet d'affronter le public avec pour seule arme sa guitare, son talent, son charisme et ses tripes.
Pour la petite histoire (Comme pour la grande), il semblerait que Nadj est repris "Enjoy the Silence" de Depeche Mode en duo avec Philippe Prohom (Version disponible sur un cd bonus 3 titres vendu avec son album eponyme - Prohom). A vérifier... Si quelqu'un possède ce disque, ça m'intéresse.
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La rue et ses mille et un plaisirs... J'ai, ce midi, mis le nez dehors. Dix petites minutes de marche... Que n'ai-je pas vu (ou entendu) en dix minutes ! Florilège :
- Une jeune fille, quatorze ans, un pantalon taille (Très, très, très) basse, le nombril au vent, parle à son amie : "Il s'est fait aider de Justine". Ni une, ni deux, mon esprit pervers pense instantanément à Sade (Britney Spears Mix)... Les jeunes filles d'aujourd'hui sont bel(les ?) et bien en fleur.
- Une affiche de cinéma : "Freddy contre Jason". Jusqu'où iront-ils ? J'attends avec impatience "Les tomates tueuses contre les clowns de l'espace" ou "La moussaka géante contre le blob".
- Une autre affiche de cinéma : "Alien (Oui ! Le premier de la série) - Edition limitée". Décidément... Jusqu'où iront-ils ?
- Une publicité pour "Le nouveau string : Astro par Boléro". L'affiche est en noir et blanc. Une jeune fille, de dos, retire un short (Sa culotte ?) extrêmement moulant et exhibe son nouveau string. Elle tourne la tête, les yeux plongés dans ceux du spectateur (La cible de cette campagne publicitaire ne serait-elle pas les hommes ?) et dit "Je suis vierge. Et vous ?". Hum... Si la morale et la Loi ne punissaient pas si sévèrement cet acte, je me serais bien dénudé et branlé devant cette affiche. La pornographie* n'appelle-t-elle pas la pornographie* ?
* : je n'ai rien contre la pornographie. Je suis même pour... Je n'en dirais pas autant de la, malheureusement nécessaire, morale populaire. Et je vous laisse l'éternelle question "Qu'est-ce que la pornographie ?".
Breaking news ! Cette information m'a été donnée par Karin Bernfeld et, dans mon univers personnel, n'est pas sans rapport avec une certaine éleveuse d'acariens et le Maximum Kouette. Donc... L'information (Vous l'attendiez, non ?) :
NADJ, chanteuse solo et wonderful guitariste du nerf en veux-tu en voilà, est en concert au House of Live* le 6 décembre 2003 (Je n'ai pas l'horaire exact).
* : autrement dit (Enfin, sauf erreur de ma part), au Chesterfield Café - 124, rue de la Boétie - Paris 8.
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Page blanche du midi. La remplir. Comme un sacerdoce. Raconter ma vie, mes humeurs... Aller à La Poste, un billet de cinq Euros en poche. Prier pour que le changeur de monnaie fonctionne. Evidemment, il ne fonctionne pas... Faire un tour chez Monoprix (Histoire de faire de la monnaie). Se laisser tenter par la promotion "Kinder Halloween". En acheter (J'ai eu un dauphin porte-crayon K04 n°29). Avoir la monnaie... Retourner à La Poste. Acheter un timbre pour l'Italie (1 Euro les 23 grammes). Gagner un Euro (Je bénis le "BIP" qui l'a oublié dans la machine à timbres*). Se dire que la vie vaut la peine d'être vécue. Je n'écris vraiment que des conneries... Hum... Passons. Voici de la (Fort mauvaise) poésie, en anglais, made in Sméagol :
Slowly Gollum raised his eyes, Looked unwillingly into Faramir's, Dropped down his head, Shrank down, Squatting on the floor, shivering. We are lost... No name... No precious... Nothing.
* : la machine à timbre... Je me rappelle de ce temps que les moins de vingt ans connaissent, eux aussi, fort bien... Ce temps où la machine à timbres n'existait pas. OK, que ce soit à La Poste ou chez le buraliste (Deux institutions en crise si j'en crois la TV et, dixit Arno, "La télé dit toujours la vérité"), il fallait faire une petite heure de queue avant d'espérer obtenir le dit timbre mais bon... Je me prends parfois à regretter le sourire (Ou l'absence de sourire) tout à fait antipathique du vendeur, les bigoudis de la vendeuse... Ne pas se passer des choses simples... Même les pires.
Sofi m'a demandé de lire "Le retour à la terre - 1. La vraie vie" de Jean-Yves Ferri et Manu Larcenet - Collection "Poisson Pilote" chez Dargaud. Y aurait-il comme un message ?
Mieux vaut tard que jamais, je viens de finir "Horologiom" de Fabrice Lebeault - Ed. Delcourt. Et bien, laissez-moi vous dire qu'un pareil Deus Ex Machina ça vaut bien "Histoire de Veau".
REACTION by MAIL
Les MST (Maladies Sexuellement Transmissibles) s'appellent dorénavant IST (Infections Sexuellement Transmissibles). Pamela Anderson s'insurge contre le traitement des poulets servis chez KFC : on leur administrerait des drogues pour les faire grossir six fois plus rapidement qu'il y a cinquante ans... Hum ! Et les seins de Pamela (Wonderful Barbie que j'aime beaucoup) ? N'ont-ils pas subi le même traitement ?
- Du 28/10/2003 au 31/01/2004, à la Maison de la Culture du Japon à Paris (101 bis, quai Branly - Paris 15), a lieu l'exposition Hommes et Robots.
- Le 02/11/2003, de 15h00 à 18h00, à la librairie Daniel Radford (26, rue des Rosiers - Paris 4), Karin Bernfeld dédicace son dernier livre "Les portes de l'espérance".
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American Splendor. Hier j'ai vu American Splendor. Un film sur la vie d'Harvey Pekar, homme ordinaire, looser (Magnifique), scénariste de comics... Ami de Robert Crumb. Il y a un an, je ne connaissais pas Harvey Pekar. Grâce à Robert Crumb, grâce au festival de Sundance et de Cannes, j'ai fait la connaissance du bonhomme. Hier soir, ce film, sa vie, m'a fait pleurer.
La vie d'Harvey Pekar est une vie formidable. Formidable ? Man (En anglais dans le texte)... C'est une vie ordinaire (Un combat ordinaire ?) avec ses hauts et ses bas... L'homme est parfois lâche. Il fait parfois preuve de bravoure... Par bien des côtés, La vie d'Harvey Pekar ressemble à la mienne (Mais je ne ressemble pas à Harvey Pekar). J'aime l'entendre dire "There's a man for every job" ou bien "Ordinary life is pretty complex stuff". Oui ! La vie est une belle pelletée de merde que l'on s'envoie tous les jours avec bonheur. Et, certains soirs, elle a le goût du sucre... Je crois qu'il n'y a pas mieux que la vie.
Le film en lui même n'a rien d'extraordinaire. Il est même parfois chiant. On notera la mise en scène assez particulière qui mixe fiction et réalité, trucs dessinés et trucs filmés. Il faut juste aller voir ce film ou bien se le passer en DVD. On (Je) en ressort l'âme toute chamboulée : c'est bien, c'est bon.
Et si je me mettais à faire des comics ?
Remarque : Harvey Pekar, sa femme Joyce et leur (Assimilée) fille Danielle "blog" sur Internet. Je me lis ça cet après-midi (si mon travail me le permet).
Comme beaucoup vous avez lu (Et vu) les Deux Tours, le tome deux du Seigneur des Anneaux... Comme certains vous n'avez peut-être pas lu (Et vu) les Deux Tours... Quoi qu'il en soit, veuillez trouver ci-après un magnifique petit digest (En anglais) des Deux Tours :
THE TEN MINUTES TWO TOWERS
by
Molly J. RINGWRAITH
CARADHRAS
GANDALF : Isn't it odd how we fell for about three miles, and yet we ended up on top of a mountain ? BALROG : Who cares. It's freaking cold up here. I give up. GANDALF : Cool. I think I'll go buy myself something white. White is supposed to be the new black this year...
EMYN MUIL
SAM and FRODO are sitting together on a rock. SAM stretches, and drops his arm around FRODO's shoulders.
SAM : So, sir. Finally it's just you and me. FRODO : Finally ? What do you mean ? SAM : Oh, uh... Nothing... FRODO : Well, you're wrong. We've got company.
GOLLUM flies out of the rocks and pounces on FRODO.
SAM : Hey ! Wait your turn !
SAM and FRODO tie up GOLLUM.
GOLLUM : No ! Sméagol not into ropes, nassty kinky hobbitses. FRODO : We just want you to take us to Mordor, you sicko. GOLLUM : Mordor ? Hobbitses having little Goth phase, maybe ? Very angsssty, wanting to go to Mordor, yes, yes. Can Sméagol offer black eyeliner to angsssty hobbitses ? SAM : You stop talking to Mr. Hummmmm (To FRODO) You know, you wouldn't look half bad in eyeliner.
RIDDERMARK
EOMER : Hi ! Okay, stop me if you've heard this one. An elf, a man, and a dwarf walk into the Riddermark... LEGOLAS : Ooh ! And the elf shoots arrows through this git who rides up on a horse. Yeah, I have heard it ! That's one of my favorites. ARAGORN : Down, Legolas. Hey, have you folks seen a couple little guys, about this high ? EOMER : Nope. Oh ! Unless they were in that pile of corpses we burned. ARAGORN : Thank you. That's... Useful... EOMER : Yeah. my bad. Here, have some horses.
FANGORN FOREST
MERRY : Yay ! We escaped the Uruk-hai ! PIPPIN : Uh, Merry ? That tree is checking you out. TREEBEARD : Hoom ! Furry lawn ornaments !
TREEBEARD picks up MERRY and PIPPIN and carts them off.
FANGORN FOREST (Next day)
GANDALF : Hey, kids. Miss me ? ARAGORN : Gandalf ! You're alive ! LEGOLAS : I almost had a facial expression from the joy of it !
EDORAS (Ndla : A lot of political maneuvering takes place here)
THEODEN : I have ash all over my face and cannot speak for myself. GRIMA : That's the way I like it. GANDALF : Be blinded by my new robes ! Recover your smooth complexion and your senses ! THEODEN : Hurrah ! I am me again ! But, damn, my son's dead. GRIMA : Hmm. I better run. ARAGORN : Good work, sire. Now collect your people and skedaddle to Helm's Deep. EOWYN : Hal-lo, handsome ! ARAGORN : Hi. You handle pointy things very well. EOWYN : Yes. My only fear is dying a virgin. Hint, hint. ARAGORN : Okay ! Well, let's move along.
EN ROUTE TO HELM'S DEEP
LEGOLAS : Wargs !
LEGOLAS and other warriors start slinging arrows and jumping onto horses.
GIMLI : What was that God-awful noise ? LEGOLAS : I'm guessing... Wargs dying. ARAGORN : Actually, it was Legolas's fangirl contingent, shrieking in delight at his horseback-riding tricks. GIMLI : Ugh, that's sickening. Ooh, Aragorn, watch out ! Cliff !
ARAGORN falls off cliff.
LEGOLAS : No ! This is unbearable ! I almost had another facial expression !
ITHILIEN
SAM : Gollum is such a freak. FRODO : Yeah, well, you're a jerk. SAM : What ? He is a freak. FRODO : Whatever, Sam. Want some cheese with your whine ? SAM : Why are you picking on me ? FRODO : I'm so sick of listening to you. It's always nag, nag, nag. I didn't ask you to come along, you know. SAM : What the hell ? FRODO : Shut up. Screw you. Go away. SAM : What happened to the magic, Mr. Frodo ? We used to stay up till dawn, laughing, talking, sharing... FRODO : Oh, spare me.
FRODO stomps off.
RIVENDELL
ARAGORN finds himself in RIVENDELL with ARWEN lying on top of him.
ARAGORN : Hmm. This must be a dream. ARWEN : Why do you say that ? ARAGORN : Because you're not even supposed to be in this book. ARWEN : Don't be mean. I'll tell Daddy. ARAGORN : Whatever. Wake me up, would you ? Since it's not really you licking my face, I have the awful suspicion it's a horse. Or maybe Gimli.
HELM'S DEEP
ARAGORN arrives and collides with LEGOLAS.
LEGOLAS : Oh, good heavens. You look terrible. You are not wearing that to the battle tonight, are you ? And your hair ! What will we do with you ? ARAGORN : Nice to see you, too.
RIVENDELL
GALADRIEL : Hello ? Is this Elrond ? ELROND : Yes, speaking. GALADRIEL : Hi Elrond. It's Galadriel. ELROND : Hey, girl. Where are you ? GALADRIEL : In Lothlorien. Where else would I be ? Listen, I really wanted to talk to you about Frodo. ELROND : Yeah, I've been wondering about him lately. GALADRIEL : He and Aragorn have SO much stuff to do. ELROND : I know ! And Aragorn's being such a wiener, I'm not even sure I want him to marry my daughter... GALADRIEL : Did you see his hair the other week ? Hello, greaseball. ELROND : And does he, like, only have that one shirt ? Humans are so gross. Hang on. I'm getting another telepathy call. GANDALF : Hello ? Hello ? Elrond ? GALADRIEL : Gandalf ? Is that you ? ELROND : Gandalf ! Hey buddy ! GANDALF : Do you have me on three-way telepathy calling ? I hate that. ELROND : Yeah, sorry. I was talking to Galadriel. Hey, didn't you die or something ? GANDALF : No, you twit. Now quit gossiping and listen. There's a war about to start at Helm's Deep. GALADRIEL : Yeah, and ? GANDALF : And they need your help, moron. GALADRIEL (Exaggerated sigh) : Fine, whatever. I'll send Haldir or something. He's expendable.
HELM'S DEEP
LEGOLAS : This is going to be most unpleasant. Hundreds of people will die. ARAGORN : Thank you, Captain Obvious. LEGOLAS : You're just jealous because I'm pretty. ARAGORN : You're just jealous because I'm going to be king. LEGOLAS : You can bite my ass. ARAGORN : Hey, blow me.
(Ten minutes later)
LEGOLAS : I didn't mean that. ARAGORN : It's okay. Me neither. LEGOLAS : Kiss and make up ? ARAGORN : How about I squeeze your shoulder in a very special way ?
FANGORN FOREST
PIPPIN : So we're still riding on this tree bloke's shoulders... MERRY : Uh-huh. I have splinters in places you don't even want to imagine.
ITHILIEN
SAM seasons their rabbit stew as GOLLUM watches.
GOLLUM : Ssstupid fat hobbit ! Using sage in stew like thisss ! SAM : What's your problem ? Sage brings out the flavor. GOLLUM : Sméagol would use nice mix of rosemary and lavender, yess, precious. FRODO : Hey, you guys ? Something's out there in the forest. SAM : Rosemary ? Hm, maybe. But you know what would be good with this, is a basic bechamel sauce with some dill. GOLLUM : Sssimple hobbit. Anyone makesss bechamel. Vichyssoise much tastier and more difficult... Yes... FRODO : Hello ? Guys ? Seriously, someone's coming. SAM : Now, if you only found us some eggs, I could make crepes, wrap up the meat, drizzle the juices over it with a little bit of blackcurrant chutney... FRODO : Hey, you guys, look ! It's Martha Stewart ! GOLLUM : Where ? SAM : Where ? FRODO : Now that I have your attention, may I point out the Oliphaunt that's about to step on us ? FARAMIR : Look ! Strange little men ! Let's take them home.
FARAMIR blindfolds SAM and FRODO and hauls them away.
HELM'S DEEP
ROHIRRIM GUARD : Sire, there are some really femmy people at the gate. They have bows. ARAGORN : Those are Elves. Let them in. ROHIRRIM GUARD : Oh ! Elves ! Wow, I didn't expect that. GIMLI : Arr ! I'm funny because I'm short. LEGOLAS : I'm funny because I make fun of how short you are !
HENNETH ANNUN
FARAMIR : So, who are you, exactly ? FRODO : I'm Frodo. This is Sam. FARAMIR : Your... Iimage consultant ? SAM : His gardener. FARAMIR : Ohh, like in a "Lady Chatterley's Lover" kind of way ? SAM : Exactly. FRODO : Right... What ?
HELM'S DEEP
ARAGORN : This siege is lasting forever. LEGOLAS : We will fight to the death. We will not fail you. GIMLI : Aragorn ! Toss me ! ARAGORN : Um, is this really the time ? GIMLI : Yes ! Toss me ! ARAGORN : Look, I don't think about you that way... GIMLI : No, you freak, throw me onto the Orcs !
FANGORN FOREST
TREEBEARD : We have opted, hoom, not to do a damn thing. PIPPIN : I didn't expect that. MERRY : Don't you even care ? This is your planet too ! PIPPIN : You're very handsome when you yell at trees, Merry. MERRY : Am I ? Thanks. TREEBEARD : Hoom, don't care. Taking you home. PIPPIN (To MERRY) : Wait ! I know. I'll bat my eyelashes at him. MERRY : Good plan. I know I sure can't resist you when you do that. (Winks at PIPPIN) PIPPIN (To TREEBEARD) : Mr. Tree, sir, could you take us south, pleeeeease ? TREEBEARD : Ooom... Damn it, hoom... How can I say no to those eyes.
OSGILIATH
FRODO puts on some black eyeliner, climbs to the top of a ruined building, and holds up the Ring. SAM pounces him and brings him tumbling down the stairs.
FRODO : Ow ! Hey ! That's it. This time I'm cutting your throat. SAM : But Mr. Frodo... I was saving the world... You were going to give the Ring to that Nazgul... FRODO : No, I wasn't. I was doing a lightning experiment. SAM : Well, that's pretty stupid too, now isn't it. FRODO : Hmm. I suppose so. Sorry, dude.
FRODO puts down the sword. SAM gets up and starts a speech.
SAM : There are good things in the world. And that's what we're protecting. And up there, it's their time, but down here, it's our time...
ISENGARD
TREEBEARD finds a field of stumps near SARUMAN's place.
TREEBEARD : What the bloody... ENTS ! ATTACK ! MERRY : Once again, Pippin's wily eyelashes save the world. PIPPIN : Aww, you're just saying that.
SAM (V.O.) : ... And I have a dream that my eighteen children will one day live in a Shire where they will not be judged by the color of their teeth but by the content of their character...
HELM'S DEEP
GANDALF and EOMER and a few thousand ROHIRRIM come charging down and wipe out the rest of the ORC army. EOWYN and ARAGORN and LEGOLAS and GIMLI and THEODEN all cheer.
ARAGORN : Gandalf, finally ! GANDALF : Yes, my boy, I have come back. ARAGORN : Took you freaking long enough.
SAM (V.O.) : The world will little note nor long remember what we say here, but it can never forget what they did here. It is for us the living rather to be dedicated here to the unfinished work which they who fought here have thus far so nobly advanced... FRODO (V.O.) : Um... Sam...
ARAGORN : You know what would have been really cool, though... EOWYN : What ? ARAGORN : An army of flesh-eating trees to destroy the Orcs who are running away.
ISENGARD
TREEBEARD : Hey. We're busy flooding Isengard here. We can't be two places at once.
OSGILIATH
SAM : ... Let me assert my firm belief that the only thing we have to fear is fear itself... Nameless, unreasoning, unjustified terror which paralyzes needed efforts to... FRODO : SAM ! SAM : What ? FRODO : They're letting us go. Come on. SAM : Oh. Oh, good.
EN ROUTE TO MORDOR
SAM : They're going to tell stories about you. Frodo the Incredibly Cute. FRODO : Ordinarily I would tell you to stop hitting on me, but you've saved my life so many times now, I guess I'll settle for being uncomfortably flattered. SAM : Cool. Oh, and by the way ? FRODO : Yes ? SAM : The tortured look really does work for you. Very hot. FRODO : Aww, thanks. You deserve a special shoulder-squeeze for that. SAM : Did you learn that move from Aragorn ? FRODO : Yeah. You like it ? GOLLUM : (Mumble, mumble)... Kill... (Mumble)... Death to hobbits... (Mumble, mumble)... Feed them to her... (Mumble, mumble)... Pain, suffering... (Mumble)... Make them cry... (Mumble)... Kill hobbitses... (Mumble)... She will destroy hobbitses...
Je viens de découvrir Strawberry Switchblade, un groupe écossais made in 80's. A certains moments, ces deux filles me font penser à Shonen Knife, un groupe japonais dont le dernier album (Candy Rock) vient de sortir. J'aime Strawberry Switchblade et j'adore Shonen Knife. Ce n'est pas de la grande musique, je vous l'accorde, mais des chansons comme "Cycling is fun" ou "I wanna eat choco bars" de Shonen Knife valent leur pesant de Kinder (Une denrée beaucoup plus précieuse que la sacro-sainte cacahouète) ! Ces trois japonaises (Naoko, Atsuko et Michie*) me font mourir... J'ai découvert Shonen Knife il y a une dizaine d'années, vraisemblablement après lecture d'un article dans un canard rock quelconque (Rock et Folk, Les Inrockuptibles, Best ou Hard Rock Magazine). J'ai acheté l'album "Let's Knife" et là... Coup de foudre (Achetez-le !)... Mélodie singulières, pop(s) et très légèrement punks (Un punk à la Hello Kitty !). J'ai enchainé avec "We Are Very Happy You Came" un live très mignon, sucré, avec une reprise des Ramones (Jérémie spéciale dédicace)... Je ne suis malheureusement pas un spécialiste de la discographie de Shonen Knife mais j'attire votre attention (Vous lecteur, lecteurs) sur l'album tribute "Every Band Has A Shonen Knife Who Loves Them" ou figure une reprise de "Burning Farm" par Sonic Youth et, dans la version double-LP, une reprise de "Watching Girl" par Babes In Toyland (Un autre de mes groupes de filles fétiches). OK... Ce tribute n'est pas le plus terrible des albums mais "J'aime l'idée". Retour à Strawberry Switchblade. J'aime leur nom, leur look et ce que j'ai pu entendre d'elles me fait craquer. C'est aussi niais qu'un morceau de Lio. Le son est très 80's. Les influences définitivement gothiques (Un joli mot qui ne veut quasiment rien dire). Bref... Que du bonheur... Je vais très certainement me passer ça en boucle (Et m'en lasser).
J'aime les groupes de filles.
Un point commun entre Stawberry Switchblade et Shonen Knife ?
* : pour la petite histoire, Michie a quitté le groupe.
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Wilfried au travail : en ce moment je passe 50% de mes journées de travail (Soit 3h54 très précises) à glander ou à appuyer sur la touche F5 (Actualiser) de mon clavier... Et lorsque je reçois un mail "professionel", il s'agit une fois sur deux de conneries et autres blagues de potaches (Ndla : peut-être ne suis-je pas le seul à glander ?). Exemple :
Nouvelle franco-française : je viens d'apprendre, avec 24 heures de retard, qui est la nouvelle Marianne. C'est elle. Si ! Si ! Je vous le jure... 2 secondes... Je vais gerber.
Socrate, le demi-chien, est de retour (Cf. 14/10/2003 - 1:42 PM) ! En VA (Version Anglaise). Merci MissX*.
- (The Woman) Why do we submit ? Why do we willingly obey Man? - (Socrate, The Half-Dog) Hey! We're not the same! - Yes, we are. We've got to face the truth that being dominated gives us a secret pleasure. - What are you saying? - I am saying that when he orders, "Sit!", you obey and you feel butterflies in your stomach too. Admit it! If he were more respectful to you then you would love him less. Admit it! You like him to be your Lord and Master. - You're crazy! - And we hide our intelligence because if he were to learn that we are smarter than him then he would doubt his power. - What do you know about love? - And he would dominate us less and then we would get less pleasure. - Shut up!
* : l'alter-ego anglais de Miss Bescherelle (Pour ce qui est de ce Journal).
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Mes livres (En ce moment, j'aime faire des listes) :
- J'ai aimé "Les portes de l'espérance" de Karin Bernfeld.
- On m'a offert "Ecstasy" et "Melancholia" de Murakami Ryù.
- Je lis "Trois filles et leur mère" de Pierre Louÿs.
Sexe, Philosophie et Bande dessinée (Non ! Je ne parlerai pas de Robert Crumb). Comme promis, un extrait de "Socrate le Demi-Chien - Héraclès" par Sfar et Blain. Page 44. Une Femme et Socrate, le Demi-Chien*, se promènent. Ils parlent d'Héraclès... Extrait :
- (La Femme) Pourquoi nous soumettons-nous à lui de la sorte ? Pourquoi obéissons-nous servilement à l'homme ? - (Socrate, le Demi-Chien) Ho ! Ne me mets pas dans le même sac que toi ! - Si, il faut voir les choses en face. Etre dominés nous procure un plaisir inavouable mais très intense. - Qu'est-ce que tu racontes ? - Je raconte que lorsqu'il te dit d'une voix forte "Couche-toi", tu t'exécutes en frissonnant de bonheur gastrique. Dis-le, que s'il était plus respectueux de toi, tu l'aimerais moins. Dis-le, que tu aimes qu'il soit ton seigneur. - Folle ! - Et nous dissimulons notre intelligence, car s'il apprenait que nous lui sommes supérieurs, il douterait de sa puissance. - Que sais-tu de l'Amour ? - Et il nous dominerait moins bien, ça nous procurerait moins de plaisir. - Tais-toi !
Sfar se prendrait-il pour Sade ou pour Sacher-Masoch ? Ce petit dialogue me fait frissoner de bonheur (Gastrique - Ndla : il faut que je traduise ce texte en anglais pour l'envoyer à qui de droit). Remettons au goût du jour la vieille rhétorique du Maître et de l'esclave. Qui est le Maître ? Qui est l'esclave ?
- J'ai gagné 2 Mo en "rangeant (Couper, Copier, Coller, Supprimer)" ce Journal. Hum...
- J'ai dormi 12h vendredi, 10h samedi, 10h dimanche et 8h hier soir. Je récupère... Je pète la forme !
- J'ai lu "Socrate le Demi-Chien - Héraclès" par Sfar et Blain. Je vous en livre un extrait (Très légèrement sexuel. Très légèrement philosophique) ce midi.
- Je viens d'échanger un "Weyoun, Loyal Subject of the Dominion - 3R171" contre un "Steeled By Loss - 3R57".
- Dans 15 minutes, j'ai une réunion (Paraît-il super importante). Serait-ce le début de la révolte (Voire de la révolution) in mon boulot (Très alimentaire) ? Bizarrement... Je n'angoisse pas.
- Ce soir je vais faire des courses chez Franprix (Dois-je mettre ma liste de courses en ligne ?).
Le mot "Scary" (Comme dans "I'm not sure, both exciting and scary...") est un mot Glam. Glam comme dans Glam-Rock ou Glamour. "Scary" me fait toujours penser à Scary Monsters de David Bowie ou au Rocky Horror Picture Show. Ne me demandez pas pourquoi. C'est ainsi et c'est tout. "Scary" est définitivement un mot Glam. Quoi que ? "Scary"... C'est aussi un mot un peu Beetlejuice sur les bords.
SCARY MONSTERS (And Super Creeps) - David Bowie
She had an horror of rooms she was tired you can't hide beat When I looked in her eyes they were blue but nobody home Well she could've been a killer if she didn't walk the way she do, and she do She opened strange doors that we'd never close again
She began to wail jealousies scream Waiting at the lights know what I mean
Scary monsters, super creeps Keep me running, running scared Scary monsters, super creeps Keep me running, running scared
She asked me to stay and I stole her room She asked for my love and I gave her a dangerous mind Now she's stupid in the street and she can't socialise Well I love the little girl and I'll love her till the day she dies
She wails Jimmy's guitar sound jealousies scream Waiting at the lights know what I mean
Scary monsters, super creeps Keep me running, running scared Scary monsters, super creeps Keep me running, running scared
Scary monsters, super creeps Keep me running, running scared Scary monsters, and super creeps Keep me running, running scared
J'ai retrouvé le titre de "Jay and Silent Bob" en VF ! C'est "Jay et Motus Bob". Une bien belle traduction... (Et une bien belle news from "what'sthepoop?dotcom" par le Dr. Zooburger aka Zoidberg)
REACTION by MAIL
I love Futurama Comic Books ! Futurama ! Futurama ! Futurama ! J'ai lu ce matin, dans le métro, le numéro 15 ("Fry me to the moon")... Trop fort ! Connaissez-vous the old adage of "w.w.c.s.d." (A utiliser en cas de "P'tain mais qu'est-ce que je dois faire ?") ? Non ? Et bien il s'agit du "What Would Cybill Shepard Do"... Vraiment trop fort ! Hilarant ! Pour ceux qui ne connaissent pas Cybill Shepard (Levez la main !), je vous conseille de regarder le feuilleton "Clair de lune (Titre français)" avec Bruce Willis et Cybill Shepard.
Au fait... J'ai choisi Lala, je suis donc gay (Ndla : il faut en informer Sofi). A ce propos, le salon "Rainbow attitude" a lieu ce week-end Porte de Versailles. Je vous y attends ?
12 Octobre. C'est ma fête (Je fais ce qui me plaît). Phrase du jour : "Je choisis toujours la connerie". Vu hier dans une librairie parisienne : l'adaptation de "Jay and Silent Bob" en français... Le titre (Dont je ne me souviens pas) m'a fait rire. Ecrire pour ne rien dire. J'ai mal à la tête (C'est le vin).
Sophie la sorcière se sert un sandwich à la sirène. Un monstre n'est pas très sympathique (In "L'alphabet des Monstres" de Capucine Mazille).
Jour de pleurs. Crying Day... Crying Game. Il n'est pas encore midi et j'ai déjà pleuré deux fois aujourd'hui. De bonnes et belles pleurs. Des pleurs pleines de joie et d'émotion. J'ai pleuré devant Star Trek DS9 - Episode Body Parts... La fin est déchirante. J'ai pleuré en refermant "Les portes de l'espérance (Petah'Tikva)" de Karin Bernfeld. Je dois être à vif en ce moment. Il faut que je dorme... Que mon corps se repose.
Ce journal est un journal intime. Une boîte à trésors. Je vais donc y déposer un truc extrêmement personnel... Ma lettre à Karin* :
Petah'Tikva. Merci Karin. J'ai fini "Les portes de l'espérance" ce matin, dans le métro... Une larme au coin de l'oeil. De l'émotion. Le coeur au bord des lèvres (En ce moment, je me sens quelque peu à vif, écorché, avide de sensations... Ceci explique peut-être cela). Dans 2 jours, je fête l'anniversaire de ma grand-mère (83 ans). Comme un fait exprès... Bref. De tes trois romans, récits, chroniques, autobiographies (Et j'en passe) c'est "Les portes de l'espérance" que je préfère. Etonnant non ? C'est très certainement ton livre le plus éloigné de moi... Peut-être le plus proche de mon Moi (Le profond, le psycho-psycha-j'y comprends rien-litique). Merci Karin.
Merde... J'ai l'air d'un fan.
Sans rire, "Les portes de l'espèrance" me semble un produit plus fini, plus raffiné (Et, paradoxalement, plus brut), plus proche de la corde sensible, plus mature peut-être (Est-ce pour cela que cela parle à un presque trentenaire de mon espèce ?) qu'Alice et Apologie. J'ai d'abord aimé son style (Ton écriture) et, petit à petit, j'y ai retrouvé mes (Tes ?) angoisses (La nourriture, l'Amour... Le rapport entre les deux) et puis cette petite chose essentielle, le respect des grands-parents et de leurs sales manies (ils parlent trop, ils sont sales...). Je me fous de mes origines mais j'adore ces vieilles dames (Mes grands-mères) et ce merveilleux vieux bonhomme (Mon grand-père : un vrai modèle de vie... Il "cultive son jardin", il est heureux). Pour la troisième et dernière fois : merci Karin.
Wilfried
* : Ai-je tort de faire dans le mélange des genres ?
Le midi, mon collègue de travail écoute France Inter. Donc, j'écoute France Inter (Je suis un auditeur passif. Ex fumeur passif... Perdu au beau milieu d'un bureau de non fumeurs). Ce midi François Bayrou (Président de l'UDF) a décidé de se faire le chantre de "La parole décapante". François Bayrou est-il sponsorisé par Jex Four ? Est-il nécrophile... Se délectant des restes d'Alice Sapritch ? Quant au PCF, il veut devenir PCE (Parti Communiste Européen) en s'alliant aux espagnols... Voilà les nouvelles du petit monde politique français et, très honnêtement (Et sans démagogie), je m'en fous ! Sex, Sofi (My only drug) and Rock'n'Roll... That's my life.
A la une du Monde 2 "Qui sont les juifs ?". Se poser des questions. S'intéresser au problème (Non. Au sujet. "Problème" est un terme péjoratif. Je ne suis pas anti-sémite. Hum... Y a-t-il encore - De nos jours - des mots tabous ? Juif + Problème = tabou ?). Tout cela parce qu'un livre vous (Me) touche. Parce qu'il est bien écrit... "Les portes de l'espérance" de Karin Bernfeld. Dans "Alice au pays des femelles" ou "L'éloge de la passivité", ses deux précdents ouvrages, le style de Karin Bernfeld ne m'avait pas spécialement touché. Je m'étais laissé émouvoir par le sujet, les personnages, leurs aventures... Leur rapport au corps. Dans "Les portes de l'espérance" c'est le style qui m'a d'abord ému. Phrases courtes. Incisives. Et, de proche en proche, je me suis laissé faire. Je me suis pénétré du sujet : Karin Bernfeld se fait-elle la porte parole du peuple juif ? Oui... Très certainement. Et puis... Y a-t-il réellement un peuple juif ? Oui... Très certainement... Mais moi, je n'aime pas les juifs (Tout comme je n'aime pas les musulmans ou les catholiques). Moi, j'aime Sofi, j'aime Isabel, j'aime Carine (Et Karin), j'aime Hélène...
Et pendant ce temps là, il se passe des trucs en Palestine.... Mais je ne sais pas réellement quoi...
Tout le monde en parle... Alors moi aussi. Pour mémoire - Le fameux devoir de mémoire - c'est cette nuit qu'Arnold Schwarzenegger a été élu gouverneur de l'état de Californie (Comme Reagan avant lui). Moi je trouve ça plutôt drôle. Légèrement pathétique. Bien. Et si Depardieu était élu Maire de Paris, Yves Duteuil Président de la France (Et des français), Francis Lalanne Ministre de la culture (Non ! Pas Francis Lalanne !) ? Bon. Arnold. C'est un grand garçon. Une fabuleuse paire de deltoïdes (?). Un joli Conan et un Terminator quasi-humain... Ne pas oublier "Un flic à la maternelle" d'Ivan Reitman.
J'ai l'exhibitionnisme soft. Ce matin, je porte la chemise (Au sens propre) de nuit de Sofi (Aka Miss Bescherelle). So sexy and so british (L'exhibitionnisme est un truc essentiellement britannique). Pélagie... C'est un joli prénom. Bonne fête Pélagie. Aujourd'hui, c'est la sainte Pélagie.
Oyez ! Oyez ! Le Kinder nouveau est arrivé ! Après les cromignons, voici Astérix. Le Kinder se fait fier et gaulois. J'ai eu Abraracourcix, le chef gaulois (Sans ses porteurs mais avec son portant... De la haute technologie Kinderienne). A part ça, je ne déteste plus les hormones et j'aime les carottes (Quand je dis "carotte" à quoi pensez-vous ?). Je me sens tristement gai. Cela doit être la pluie... Pleut-il chez vous ?
Extrait d'un poême de Paul Verlaine appris (Et chanté) à la petite école :
O bruit doux de la pluie,
Par terre et sur les toits !
Pour un coeur qui s'ennuie,
O le chant de la pluie !
Je me sens nostalgique. Je suis décidément vieux. La preuve : j'ai acheté le dernier Iggy Pop.
La barbarie c'est moderne. Et Bernfeld c'est juif. Bernfeld = Juif. Je n'avais jamais fait le rapprochement. Bernfeld c'est juif et Wilfried c'est allemand. Ich will fried = Je veux la paix (Traduction approximative. Je n'ai jamais fait d'allemand). Wilfried : un pur produit de mon histoire familiale. Une belle histoire, légèrement sordide, totalement tabou. Je n'ai pas envie de connaître mes racines. Cela ne m'est, pour le moment, d'aucune utilité. Je suis (J'existe). C'est tout ce qui compte.
Enguelade et Proxy + : un bon résumé de ma soirée de lundi. Youpi ! Je hais les hormones. Je les adore.
Ce midi. Fnac des Ternes. Chronique. Le dernier Karin Bernfeld "Les portes de l'espérance" se trouve au rayon Sciences Humaines. Qui l'eût cru ? C'est un récit. A lire ! En quatrième de couverture, la photo de Karin Bernfeld ressemble à... Karin Bernfeld. Adolescente et fière. Un peu abîmée... Moins ingénue qu'auparavant. Elle a grandi (?). C'est étonnant.
Je vais la lire. J'en ai envie.
"I'm cute, I'm big and I'm horny". Lu ce matin dans "Fuzzy le lapin et ses copains" de Robert Crumb - Editions Cornelius. Extrait (Sans les images) :
- (Le silly pidgeon - Le héros) Quel est le sens de la vie ?
- (Une silly pidgeon - L'héroïne ?) L'amour !
- (Un intellectuel) La vie n'a pas de sens
- (Un salarié) Lutter pour survivre ! Combat de chiens !
- (Un barman) Le sens de la vie, c'est une bonne tranche de cul !
- (Une vieille dame) Tout est dans le grand livre fiston !
- (Une syndicaliste) Intellectualisme nombriliste ! Les travailleurs meurent de faim ! Rejoins la révolution du peuple !
- (Un scientifique) La vie peut être réduite à quelques formules mathématiques
- (Un autre silly pidgeon) Ecoute, mec... T'en fais pas pour ça ! Prends du bon temps ! Eclate-toi !
- (Un artiste) Créer ! Créer !
- (Le dictionnaire) vie : 1. Capacité qu'ont les plantes et les animaux d'absorber de la nourriture, d'en tirer de l'énergie, de se développer et d'assurer la reproduction de leur espèce.
- (Le silly pidgeon - Le héros) : Quel est le sens de la vie ?
Quant à moi, je suis coupable d'immobilisme. Je ne suis pas sorti du week-end. J'ai joué aux cartes et j'ai réparé mon PC. Pas de sortie cinéma ou de promenade amoureuse. A peine quelques caresses échangées. Quelques oeillades. Faut que j'move... Je suis encore jeune et con.
Wilfried is Archimède. Wilfried est Archimède. Ce matin sous ma douche je me suis crié "Eurêka ! J'ai trouvé !"... Allumer l'ordinateur. Vérifier (Et rectifier) les adresses IP et "Bingo !". Mes 2 PC (Wly98 et Wly2000) se reconnaissent. La poignée de main a été franche et extrêmement cordiale. Ils s'aiment... Et ont comme une envie de se partager la connexion Internet (Les p'tits saligots).
Comme quoi la douche n'a pas que des vertus érotiques et (Ou) hygiéniques.
I've got a problem. J'ai un problème. Mes 2 PC ne veulent pas fonctionner en réseau. C'est cruel. J'ai bien suivi tous les tutoriaux possibles et imaginables... Rien n'y fait. L'un des PC (Sous Windows 98) a définitivement décidé de ne pas reconnaître l'existence de son homologue (Sous Windows 2000 Pro). Je le hais !
Je me suis classé 86ème sur 115 participants au Jour 2 (Samedi) du Championnat de France 2003 de LotR. 3 victoires et 5 défaites. Un résultat honorable... J'ai fait quelques erreurs stratégiques qui m'ont peut-être coûté une ou deux victoires. Ce n'est pas grave. Je ne me serais de toutes façons pas qualifié pour le jour 3 (Aujourd'hui). J'ai adoré jouer mon Deck : Sméagol, Frodo, Sam, Merry et Pippin contre le monde entier. Sméagol en pourfendeur de Nazgûls et autres Trolls des Cavernes. I had fun.
EVE Partouze générale ? Vous connaissez l'histoire de Jesse James. Comment il vécu ? Comment il est mort ? Ca vous a plu... Vous en voulez encore... Et bien voici l'histoire de Victor, veau dévot, branleur notoire et, pour l'heure, mateur amateur. Victor mate. Victor mate la lune d'Eva, femme nue, Souveraine Lunaire. Eva est dodue, charnue, ventrue, callipyge... Un bel arrière-train, deux globes qui vont, et viennent, au rythme de ses pas. Victor bande à mort ! Ses mains s'activent (Voilà que ça le reprend). Il se masturbe et tache son slip (Kangourou) : une belle carte de France (Et de Navarre). Eva, qui mène la marche, ne voit rien... Mais elle n'entend pas moins. Ni une ! Ni deux ! Elle se retourne, se jette sur le veau et s'empale sur le sexe encore turgescent de Victor. Zap Cosmique ! Un portail spatio-temporel (Un truc bleu qui fait "Schbouing !") s'ouvre dans le couloir. Encore fumant (Voyage dans le temps et l'espace oblige), un homme nu sort du portail et s'écroule sur le sol. A son cou, deux grosses couilles poilues ! Vous le reconnaissez ? C'est Adam, l'homme nu ! Et les couilles de Dieu, grand Seigneur bovin !
Pause... Moment de tension.
Adam se relève et fait face à Eva. Cette dernière, juché sur le membre de Victor, est bouche-bée (Et sexe béant). Adam... Eva. Eva... Adam. Eva, femme nue. Adam, homme nu. Miracle de la création. La Lune se transforme en Eden...
" Eve ! Qu'est-c’tu fais là ? - A... Ad... Adam... - Eve ! J't'ai retrouvée ! C'était-y là qu't'étais tout c'temps ? - Hum... Oui... Mais... - Ja rentré à la maison avec une bonne grosse paire de balloches (Dit-il en caressant les gonades montées en sautoir) et t'étais point là ! J'm'a suis inquiété ! - Oh ! - Furax, j'suis parti à ta r'cherche. J'ai tué douze dragons et violé treize pucelles... - Oooooh ! - ... Pi j'ai rencontré un zigue à barbe blanche qu's'appelle Yavé. M'a dit d'croquer une pomme et qu'comme ça j'te retrouverai dans l'jardin des daims. Ja rien compris... Mais j'avions faim. Alors j'ai croqué la pomme. - Hiiiii !"
Victor n'est plus du tout, mais plus du tout excité. Il a même la larme à l'oeil. "Plic !" fait la larme tombant sur le sol. "Ploc !". Et re-Zap Cosmique ! Un nouveau portail spatio-temporel (Un truc rouge qui fait "Wiiiiinnnnng !") s'ouvre au plafond. Mugissant, barrissant, vomissant, le Dieu bovin s'en extrait et, fier comme un matador, se campe sur ses deux pattes arrière et déploie ses larges ailes de cuir. Et d'une voix forte, se tournant vers Adam :
"Grâce à ma vision trans-dimensionnelle, j'ai cru voir mes couilles... Homme nu ! Soit maudit ! Que tes enfants naissent dans un monde pourri et connaissent Internet ! Que tes pieds puent matin et soir ! Que ta compagne ait les seins qui tombent ! Rend-moi mes couilles !"
Adam et sa nano-bite ne font pas le poids. L'homme nu à peur. Pire ! Il a honte ! D'un geste veule, il dénoue son collier de gonades et le tend au Dieu bovin. Celui-ci s'en saisit et d'un auguste coup de sabot propulse Adam, puis sa compagne (Magnanime le Dieu bovin, n'est-il pas ?) au firmament ! "Aaaaahhhhh !" font les deux amants, futurs géniteurs de la race humaine alors qu'ils traversent l'espace (NDLA : il s'agit d'un "Aaaaahhhhh" non sonore puisque dans l'espace personne ne vous entend crier... Même pas Sigourney Weaver).
Reste Victor et son Seigneur et Maître : Dieu.
"Mon petit Victor, doux sujet, ta Maman Hortense va être fière de toi ! Tu as parcouru plus de mille miles et vécu trois aventures. Tu as désormais le droit de prendre épouse et d'engendrer une bonne poignée de mouflets ! - Youpi ! - Que ton vœu le plus cher soit exaucé ! Que ta semence soit, dès maintenant, utilisée !"
Et toc ! Dieu bas des ailes, un nouveau portail spatio-temporel apparaît (Zap Cosmique ! C'est, cette fois, un truc rose et tremblotant qui fait "Blop ! Blop !") et une vache (90-60-90, blonde et siliconée) en sort. "Par Dieu et toutes ses couilles (Retrouvées) !", Victor n'en revient pas... Son vœu le plus cher est exaucé ! Victor is no longer a poor lonesome cowboy... But he's still far away from home !
Dieu, fort diplomate, se retire. Imitons-le... Fin du Deus Ex Machina. Rideau.
Morale de cette histoire (Si peu morale) : "Tout ça pour ça ?". Euh oui... Vous êtes déçu ? Oui... Bon alors... Les aventures de Victor, veau fort dévot : A SUIVRE... Et toc !
REACTION by MAIL
End of the Day. Un jour de jeu. Un jour de cartes. Gaming event. Championnat de France de Lord of the Ring TCG (LotR) - Jour 1 - Tournoi Open. Résultat : 7ème sur 42 participants. Résulat inespéré. Je suis qualifié pour le jour 2 et je suis crevé. Demain, 9h00, Porte d'Auteuil, je remets ça... A demain soir cher Journal. Je vais au lit.
Test 1... Test 2... Test 3... Tout fonctionne : Me, Myself and I (You ?) Version 3.00 est né.
Pour savoir à quoi s'en tenir sur la version 2.01 c'est ici (Post du 01/10/2003). Bien évidemment, je suis jeune, comique et plutôt "lourd". Je vous aime. Merci.
